Platon Gorgias Croire Savoir

Phrénologie XLIX Races L Écritures LI Dessin LII Mimique LIII Mains LIV Nez LV L'homme et son ramage LVI Le royaume des signes LVII Politesse LVIII La science des signes LlX Puissance des signes LX Signes ambigus LXI Les yeux fermés LXII Savoir écouter LXIII L'ivresse LXIV Le spectateur LXV Le spectateur du spectateur LXVI Le théâtre LXVII Le comédien LXVIII Danses LXIX Poésie, musique et danse LXX Costumes LXXI Chapeau breton LXXII La mode LXXIII Rites LXXIV La ronde LXXV Des

PYRRHON, d’après DIOGÈNE LAËRCE, Vie, doctrines et sentences des philosophes illustres, IIIe s. apr. J.-C. 2- « SOCRATE. – Car l’un ne saurait point sans doute être plus raisonnable que l’autre, si les opinions de chacun sont pour chacun la vérité. » PLATON, Cratyle, IVe s. av. J.-C. 3- « L’unité de la conscience est ce qui seul constitue le rapport des représentations à un objet, c’est-à-dire leur valeur objective ; c’est elle qui en fait des connaissances [...]. » K NT i ue de la raison pur Les

est libérale (…) La science politique devrait pouvoir séparer les éléments objectifs de ceux qui ne le sont pas. » Elle doit connaître et présenter les conceptions. Comportements politiques qui soient alimentés par plusieurs sources, points de vue. Platon Protagoras dans ses dialogues, met en parallèle la démocratie où il y a de l’amateurisme car tous ne sont pas compétents. Il n’y a pas de choix fait que par des gens compétents. Sur les votants, combien se prononcent en connaissance de cause ? Quels

un engagement du sujet et une synthèse de type intuitif. Croire/savoir : Du latin credere, tenir pour vrai, croire. Opération ou acte par lequel l’esprit adhère à une proposition ou affirme la réalité d’une chose, sans pouvoir en administrer la preuve. Du latin sapere, avoir la saveur de, avoir de la pénétration ou encore comprendre quelque chose. L’acte de savoir comporte des formes et des degrés très différents, allant du simple savoir-faire, fondé sur l’expérience et la pratique, à la connaissance

l’Etat ? La désobéissance civile LA BANALITE DU MAL Rien n’est plus dangereux que d’arrêter de penser UNE AUTRE POLITIQUE EST–ELLE POSSIBLE ? Comment expliquer le discrédit actuel de la politique ? Pistes de réflexion. CONCLUSION Pour en savoir plus ---------Hannah Arendt, ou l’amour du monde est une oeuvre collective réalisée et écrite sous la coordination du chantier de l’ICEM-PEDAGOGIE FREINET ( bt2@icem-freinet.org) Auteur : Annie COll Coordination du projet : Laurence Bouchet

supposer que de fait elle n'existe pas toujours. L'une des nombreuses ambiguïtés de l'échange serait donc qu'il réclame et exige l'égalité parce qu'il peut avoir lieu sans la respecter et mettre ainsi en danger le cadre qu'il contribue à fonder, à savoir la société. Il n'y a donc pas seulement une nécessité sociale de l'échange, due à la division sociale du travail, mais une nécessité juridique et politique qu'il se fasse dans l'égalité. Aristote explique par ailleurs (Politique, 1,9) que « l'usage

sont : ▪ L’objet de la psychologie : la conduite et le lapsus. ▪ La méthode : exemple, l’interprétation fonctionnel tend à annuler…Les méthodes sont différentes mais elles cherchent à expliquer et à comprendre La question cependant est de savoir si l’avenir (donc aujourd’hui par rapport à 1950) a donné raison à Lagache. D’après Samuel Berthoud (le prof de ce cours) il semblerait que non. Naturellement la psychologie, comme les autres sciences, a plutôt tendance à se diviser en spécialisations

de ce changement ? C'est ce qui est examiné ici. La manipulation   Bien entendu, pour être efficace, la rhétorique somatique implique la justesse dans l’emploi des mots, le « pronuntiato » c'est-à-dire : l’éloquence adéquate. Comme le disait Platon des Gorgias « il faut user de la rhétorique à bon escient ». La faute est à ceux qui en usent mal, pas des maîtres qui l’enseignent. Toujours dans sa préface, Watzlawick note que la thèse exposée est simple mais que sa mise en pratique ne l’est pas. Il

Phrénologie XLIX Races L Écritures LI Dessin LII Mimique LIII Mains LIV Nez LV L'homme et son ramage LVI Le royaume des signes LVII Politesse LVIII La science des signes LlX Puissance des signes LX Signes ambigus LXI Les yeux fermés LXII Savoir écouter LXIII L'ivresse LXIV Le spectateur LXV Le spectateur du spectateur LXVI Le théâtre LXVII Le comédien LXVIII Danses LXIX Poésie, musique et danse LXX Costumes LXXI Chapeau breton LXXII La mode LXXIII Rites LXXIV La ronde LXXV Des

des caractéristiques de l'homme ? Ne serait-ce pas même un devoir (d'humanité) ?   Et encore, le passé n'est-il que du passé ? N'éclaire-t-il jamais le présent, et ne fait-il pas le présent ?   Ce qui est en jeu dans ce questionnement, c'est de savoir si la mémoire est une faculté superflue pour l'homme, ou bien si au contraire elle le rend digne de l'humanité...   Bibliographie   Borges, Fictions, Funes ou la mémoire, Folio Essais, pp. 109-18 : Funes est un personnage qui a pour particularité