Platon Protagoras éducation

cette élévation[21]. L’enquête naturaliste sur l’origine des valeurs est utilisée dans ce projet afin de montrer que les valeurs qui règnent en Occident depuis la naissance du christianisme, et dont on trouve selon Nietzsche les prémisses chez Platon, sont néfastes et ont été des instruments de domination qui ont rendu l’humanité malade. Le projet nietzschéen de réévaluation embrasse donc une partie critique, omniprésente dans son œuvre, qui doit conduire à la destruction des valeurs de l'idéalisme

avoir une collaboration permettant, l’exercice de la religion. Il assigne le pouvoir temporel et matérielle celle de guider les Hommes vers le salut. Paragraphe 2 : Nature, raison et droit, la loi dans la pensée grecque notamment chez Socrate, Platon et Aristote. Puis le positivisme juridique qui est une doctrine beaucoup plus récente. Manuel de Jean Bonnemet, les institutions de l’antiquité. La loi dans la pensée grecque, écrit par Jacqueline de Romilly, 2002. Dans l’Orient antique, la

cette question se pose le problème épistémologique (qui concerne la nature et les pouvoirs de la connaissance) fondamental de la relation entre les idées et le réel. Deux positions : empirisme nominalisme (ex. Hume) / idéalisme conceptualiste (ex. Platon). D’un côté : la réalité serait toujours multiple et singulière – les mots et concepts qui tentent de la cerner sont toujours irréels et abstraits. L’impression de comprendre naîtrait ainsi d’une illusion de maîtrise, projetant sur la réalité sensible

urbaine, avec un développement de la civilisation urbaine autour de la Mer Egée. Les côtes de l'Asie Mineure, la Grèce Orientale sont beaucoup plus urbanisées que le centre et l'ouest du pays. Il y a très peu de grandes cités qui n’aient un port.    Platon à ce propos dans Phédon, déclare que les grecs vivent autour de la mer comme des fourmis et des grenouilles autour d'une mare. Cependant sur un plan historique les grecs se sont mis que tardivement à la mer.          2) Cité et territoire    La

système va assurer la stabilité politique de Sparte pendant quatre siècles et offrir aussi à la Cité un modèle d'organisation sociale qui la transforme en une véritable machine de guerre et lui offre donc une hégémonie militaire incontestée. Pour Platon, cette réussite politique de Sparte s'explique par le fait que Lycurgue a imaginé une espèce de constitution idéale et cette opinion est partagée par beaucoup d'auteurs. Un modèle idéal c'est sûr mais à quel prix ? C'est un égalitarisme stricte entre

vraie de manière absolue. Dès lors, faut-il douter, quelle est la valeur d’un tel doute ? Vous pouvez vous demander si le doute sceptique ne conduit pas à douter de sa propre philosophie. Telle est, entre autres, la réfutation que fait Socrate à Protagoras dans le Théétète. En affirmant que tout jugement doit être suspendu, le risque est grand de ne suivre que les coutumes et de revendiquer un certain conformisme. Dès lors, là où le doute se présentait comme un refus de la crédulité, ne peut-il pas

point de vue qui tienne compte des autres et de ce qu’ils pensent. Si je suis le seul à détenir une vérité alors il ne s’agit pas d’une vérité mais d’une opinion (cf. Protagoras dans Théétète de Platon). Par définition, une vérité est ce qui vaut pour tous, ce sur quoi tout le monde peut être d’accord. Le dialogue est pour Platon la forme par excellence de la philosophie. On ne peut pas philosopher seul. Citation de Kant : Penserions-nous beaucoup, et penserions-nous bien, si nous ne pensions

ne vit que de dons de ses orateurs. De plus, il passe ses journées à déambuler dans Athènes, à observer et à discuter ; en fait, le but de ses déambulations est la recherche de la vérité par la parole. De même, il combat les sophistes tels que Protagoras et Gorgias : parce qu’ils sont soi-disant des sages qui enseignent la sagesse, ils sont populaires et très admirés du peuple grec et Socrate, pdt tte sa vie, a essayé de démontrer qu’ils ne sont pas de vrais philosophes, d’une part parce qu’ils

au juste. Le droit est la mise en théorie de la justice. La réflexion grecque a été marquée par Platon et Aristote. Platon avait une conception large de la justice rappelant parfois la conception biblique. Il a décrit la justice générale. Aristote lui, avait une conception plus étroite de la justice et s’est intéressé plutôt à la justice particulière. Justice générale : ‘’La République’’ de Platon (sous-titré ‘’de la justice’’) décrit la genèse d’une société parfaite. Il apparait comme un ouvrage

INTRO HISTORIQUE AU DROIT23OCT Pensée de Tramique. Il était plus un orateur qu’un philosophe. Sous la plume de platon il représente plus qu’un courant d’idée, les tendances naturelles du peuple. Un autre auteur décrit par platon, Calices. On le connait dans le récit «  le Gorgias ». Il prône également la loi du plus fort. Selon lui les lois sont également une convention imposée par un groupe d’hommes qui sont les plus faibles dans la cité qui essaient d’imposer leurs lois aux plus forts. Sans la