Platon Protagoras

Dans la vie quotidienne nous sommes confrontés à la diversité des opinions. nous pouvons la rencontrer En politique notamment avec les divers partis, qui se revendique d’opinions différents ou contraires. Protagoras disait « a chacun a vérité » L’opinion peut être influencé par l’expérience vécue de l’individu, ou d’une reflexion menée personellement. Ainsi, outre qu’en politique, les opinions sont relatives à chaque individu ; chacun possède ses propres opinion .Une opinion est un avis propre

d’absolument simple, singulier, à la source de notre univers. COSMOLOGIE : REPRRESENTATION GLOBALE Comment à commencer le monde ? Il y a une dimension de l’infinité dans l’univers. Au sens grec, il y a un indéfini (tuyau exam) la sophistique Protagoras Il donne naissance à la sophistique qui est l’art de la discussion, de la parole, de l’éloquence. Ce sont des professeurs qui se font payer pour apprendre l’art de prendre la parole. Leur objectif est la persuasion (= faire adhérer une autre personne

pseudo-philosophie comme la pratiquait les sophistes. Pieper balaye cette conception, car comme Socrate, il définit sa philosophie comme unique recherche de vérité. Voila pour lui à quoi sert la philosophie. Il donne pour exemple les dialogues ou Protagoras explique son enseignement de sophiste consistant à montrer comment gouverner sa maison, sa cité, ses émotions. Or d'après Pieper, les vérités philosophiques pour être philosophique sont nécessairement éternelles et ne peuvent être des simples

engendrées par la technique. I la Technique comme libération de l’humanité  On peut soutenir dans un 1er temps que la technique permet une libération de l’humanité. 1) le mythe de Prométhée Le mythe de Prométhée, raconté dans le Protagoras de Platon, permet de soutenir une telle vision libératrice de la technique. En effet, les hommes sont présentés initialement comme une espèce en défaut par rapport aux autres espèces animales. Epiméthée a attribué rapidement l’ensemble des défenses naturelles

loger car sa constitution physique est dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non

un par la comédie à travers d'une pièce de théâtre d'Aristophane; un par l'un de ses étudiants, Xénophon qui, quand il revient de la guerre, se marie et commence à écrire, notamment sur Socrate dont il fait un portrait de moralisateur; et enfin par Platon qui a aussi été élève de Socrate qui a profondément transformé sa vie. Socrate l'a touché par sa méthode et par sa mort, puisqu'il a été condamné par l'État à boire la ciguë. A partir de ce moment, là l'école socrato-platonicienne va s'opposer aux

loger car sa constitution physique est dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non

Péloponnèse », il défend la démocratie mais que si les citoyens sont vertueux et ont un gout profond pour l’utilité publique. Platon pense le contraire, la démocratie est pour lui la cause de la décadence. Le peuple a-t-il la capacité à accéder au bien et est-il donc capable au pouvoir ? 1) Les sophistes : des techniciens du pouvoir Thucydide comme Socrate ou Platon accuseront une certaine catégorie d’intellectuel qui sont les sophistes d’être responsables du dévoiement de la démocratie. Les

donc d’abord à l’idée qu’il y ait des vérités universelles, fondées sur des faits existant indépendamment de nous, c’est-à-dire de notre façon de les décrire, de nos valeurs, de nos intérêts, de nos besoins. La discussion remonte au moins à Protagoras et à Platon, le premier disant que « l’homme est la mesure de toute chose », que ce que nous tenons pour réel dépend de notre façon de catégoriser, le second faisant du réel le fondement du discours et de nos catégories. Ce qui suit vise avant tout

l'antiphilosophie. La sophistique, qui vient de Protagoras d'Abdère, s'est imposée à Athènes vers 450. Après Platon et Aristote, sophiste est devenu péjoratif. Le sophiste est le maître dévoyé qui enseigne qu'il n'y a pas de vérité en soi, qu'il n'y a que des opinions diverses variant avec les individus ou avec les cités et que l'opinion la meilleure est celle qui assure la réussite. Ce relativisme servait de fondement rhétorique. Protagoras fut le premier à enseigner "la vertu et la sagesse qui