Platon Protagoras

d'un sujet (être humain). Un objet n'existe que par l'intermédiaire que va en faire l'homme, alors que le sujet existe par lui-même. Echographie en Chine (garçons préférés aux filles), donc si fille possibilité d'IVG. Mythe de Prométhée( Protagoras, Platon, 320d-322b): donne aux hommes la technique (art du feu) mais pas la prudence, pas les règles de la juste utilisation de la machine (science politique) 2. La question du possible La technique décide de ce qui est possible mais elle

| *R. SCHOR, Histoire de la société française au XXème siècle, Belin __________ LA POLITIQUE ARISTOTE*, Les Politiques, trad. Pellegrin, G.F. ROUSSEAU*, Du Contrat social, G.F. PLATON, Gorgias, République, Politique, Protagoras, G.F. MACHIAVEL, Le Prince, G.F. LA BOETIE, Discours sur la servitude volontaire, G.F. LOCKE, Second traité du gouvernement civil, Vrin. HOBBES, Léviathan ou Matière, forme et puissance de l’Etat civil et chrétien, Folio

mémoire. IV.) Question-source : le conflit des opinions s'explique-t-il par la différence et l'inégalité des individus ? V.) Antithèse : « L’homme [individuel] est la mesure de toutes choses » (thèse du sophiste Protagoras, rappelée par Platon dans son dialogue Théétète) : ce principe évident (ou tenu pour tel) doit nous faire admettre la corrélation entre relativisme -- à chacun sa vérité --, subjectivisme -- la subjectivité individuelle est insurmontable --, le scepticisme

manquer d'inspirer aussi tous les espoirs de progrès que devaient permettre l'esprit d'examen et l'expérimentation scientifique. C'est ce deuxième sens que privilégiera le mot "humanisme", à partir du XIXème siècle, en faisant siens les mots de Protagoras : "L'homme est la mesure de toute chose". Cetteconfiance exaltée dans les facultés humaines préfigure l'idéal des Lumières et lui survivra dans le scientisme, même si, déjà, la Renaissance, ensanglantée par les luttes religieuses, la met copieusement

être elle même mensongère. "La sensation est vraie", dit Epicure. La sensation c'est quelque chose du savoir. On ne peut contester les impressions des autres. Tout ce que les hommes croient quant à ce leur apparait vrai, selon la thèse de Protagoras que Platon développe dans le Théétète.  Nous ne  pouvons  nier la certitude du sensible qui est en chacun. Il y a un caractère infaillible de la sensation. La sensation n'est pas une science.  Nos sens sont étrangers à l'erreur et à la vérité. Nous

raison d’obligatO vitales mais aussi sociales, leT est nécessaire à l’humanité. L’homme a dû travailler, contrairement à l’animal, à cause de la disproportion entre l’ampleur de ses besoins et ses faibles aptitudes physiques. Ainsi, Dans Protagoras, Platon développe cette théorie : puisque l’homme n’a pas les capacités, il a l’intelligence pour survivre, il invente donc des techniques là où l’animal trouve dans son corps les moyens immédiats de survivre. C’est donc une faiblesse qui a fait naître

 PLATON Sa vie et ses œuvres 1. Résumé biographique Aristoclès, surnommé Platon (de platos = largeur) à cause de ses larges épaules, est né à Athènes l’an 427 avant le Christ. Issu d’une famille noble, apparentée à des autorités de la cité, il vit logiquement l’exercice de la politique comme l’idéal de sa vie : sa naissance, ses aptitudes personnelles et l’éducation reçue l’orientaient dans cette direction. Cependant, une longue fréquentation de Socrate et, surtout, l’injuste condamnation à

de Platon selon laquelle l’âme est tripartite & possède une partie désirante, qui renvoie à tous les désirs de richesse matérielle, la partie courageuse, qui recherche les honneurs, la reconnaissance & la partie rationnelle qui désire la connaissance vraie. En fonction de la partie de l’âme que l’on va privilégier, on aura des modes de vie différents : axés sur la richesse, la reconnaissance ou la connaissance. L’ignorance peut donc être le résultat de la partie dominante de notre âme. Platon ajoute

des ordres harmonieux Protagoras : « L’homme est la mesure de toute chose ». L’homme donne son opinion, Doxa, et vu que les opinions sont changeantes et instables, l’homme, qui est la mesure de tout, est donc versatile.  Il n’y a pas de vraie mesure, de critères de vérité. Cet humanisme est donc un relativisme radical. Cette pensée politique légitime la rhétorique, l’efficacité. Socrate : - Connais-toi, toi-même » - Il refuse le relativisme de Protagoras et utilise la Maïeutique

les penseurs qui se sont intéressés à ces questions, il y a les sophistes (= cherchent la sagesse) par exemple, Protagoras dont les idées sont rapportées par Platon = il pense que chaque cité est maitresse de son ordre de valeur, c’est elle qui dit le juste et l’injuste. Chaque homme peut donc avoir sa propre conception de la vérité mais il doit cependant se plier à celle de la cité. Platon, lui, va plus loin que cela, il estime que la justice réside dans le respect des lois même si les gouvernements