Platon Protagoras

travail montre combien la philosophie peut être influencée par l’état social où elle s’exerce. Si, chez les philosophes grecs, le travail est jugé indigne de l’homme véritable, c’est sans doute parce que seuls les esclaves en sont chargés. Lorsque Platon détermine les trois catégories (philosophes-dirigeants, soldats, artisans) de sa cité juste, il leur adjoint une population d’esclaves dont il précise seulement qu’ils ne sauraient être grecs. Et pour Aristote, l’esclave n’est rien de plus qu’un «

un dialogue de Platon, traîtant du genre critique. Il appartient au groupe des dialogues dits socratiques, que l'on considère habituellement comme des compositions de jeunesse. La date de composition exacte reste incertaine. Certains détails du texte, entre autres à propos de la domination des Athéniens sur Éphèse ou du nom de certains généraux étrangers recrutés par Athènes, portent à croire que le dialogue se déroule vers 401 av. J.-C.. Sommaire [masquer] 1 L’art chez Platon 2 Personnages

opinion convaincante de quelqu'un envers autrui. (Vérité diffère pour chacun => PAS SE CASSER LA TÊTE) Protagoras : 1 source de savoir : données des sens, ne peut être certain de rien d'autre ; « L'homme est la mesure de toute choses » ; il n'y a pas de vérité objective. -- Philosophes de l'âge d'or d'AthènesSocrate : existe vérité objective qu'on peut atteindre via la méthode dialectique. Platon : Théorie des Idées ( ou Formes) ; monde véritable : intelligible monde des Idées -> vérité

partie: Le travail semble être une contrainte mais il est né dans la contingence. Il est lié au fait que nous ayons des besoins de natures diverses (besoin financier, besoin de se sentir utile,...). Comme le stipule le mythe de Prométhée dans le Protagoras de Platon qui dit que l'homme a dû créé le travail pour compenser notre incapacité à se satisfaire de la nature. Le travail rend l'homme libre de vivre malgré son indéterminisme. Le second argument se fonde sur le travail comme responsable de la servitude

y au moins une chose de vrai, c’est que rien n’est vrai. En outre, on ne peut pas vivre pratiquement en sceptique ; dès qu’on fait quelque chose, on prend position. Le scepticisme suppose donc l’inactivité. b) OUI : l’allégorie de la Caverne : PLATON, La République, livre VII 3 parties : - description du monde de la caverne - on détache un prisonnier et on le force à gravir la montagne - retour de l’homme dans la caverne Cette allégorie permet de montrer les 4 étapes de la connaissance

justice, des valeurs ainsi que de la raison d’une société étant donné que commettre un acte contraire à celle-ci remet en question les fondements principaux de notre collectivité. En effet, comme mentionner dans la dissertation précédente, selon Protagoras, si on commettait tous de l’injustice, on vivrait tous dans une société anarchique. C’est-à-dire une société où il n’y a pas de normes et de lois et où tout le monde fait à leur tête, donc pour vivre harmonieusement tous ensemble, il faut que chaque

qui en découlent, n’est pas discutable et ne peut être soumise à quelconque vérités contraires. Les opinions se contredisent, mais tiennent une part de vérité. B. L’opinion, une vérité amputée : * Il y plusieurs sortes d’opinions, selon Platon, il y aurait l’opinion vraie. «L’opinion vraie n’est donc pas moins utile que la science ». Il la distingue de la vérité par la connaissance raisonnée. L’opinion est une vérité relative qui deviendra absolue par la médiatisation d’une réflexion ordonnée

en sont fiers : ils éprouvent une forme de contentement de posséder et de pouvoir gagner autant de puissance. L’invention d’outils permet à l’homme de s’affranchir de la nécessité naturelle qui le soumet à une condition de faiblesse. Platon dans son œuvre Protagoras avec le mythe de Prométhée nous fait passer ce même message. La technique est donc signe de l’humanité puisque l’homme a su utiliser la nature à son avantage. Selon Hegel, « la technique est la ruse de la raison par laquelle la nature

associé à un savoir. → Liée à la connaissance, solidaire d'une certaine connaissance dès l'origine. Illustration : La solidarité de la technique et de la connaissance est remarquablement figurée, dans le mythe de Prométhée raconté par Platon dans le Protagoras, par le « feu », ce « feu » que le titan philanthrope vole aux dieux de l'Olympe pour le donner aux hommes. Or, dans l'imaginaire collectif, le feu symbolise tout aussi bien l'activité technique que la connaissance : d'un côté, il est à la

homme public, c’est un homme politique, qui vit au milieu de la cité. Pour Platon comme pour Aristote et d’autres, « l’éducation est le reflet des lois » (Platon) : l’éducation est portée par la vie politique. Pour les Grecs, faire des lois, organiser la société, c’est déjà faire preuve d’éducation. L’éducation est au cœur même de la société. Aristote disait que « l’homme est un animal de la société ». Le but de Platon n’était pas d’écrire ni d’être philosophe, c’était de diriger la cité. Mais