Platon Protagoras

L’humain reflet la réalité à autrui lors de l’évoquer dans la parole. Ensuite, il existe une conception naturaliste du langage qui est représenté par Platon dans Cratyle, dans lequel il dit que : « chaque chose a un nom qui lui est naturellement approprié ».C’est à dire que le langage est le signe du monde. Dans cette thèse élaborée par Platon, nous pouvons remarquer que le but du langage c’est de communiquer un élément de la réalité, par le médiat du mot, qui est structuré logiquement par notre

croire ? Devons-nous croire les religieux qui disent qui qu’il existe un Dieux quand d’autres disent qu’il en existe plusieurs ou bien les personnes qui pensent que Dieu n’existe pas et qu’il provient de l’imaginaire de l’Homme ? Devons-nous croire Platon qui pensent que nous sommes préformatés avant la naissance ou Aristote qui suggère le principe de Tabula rasa ? Toutes les opinions se valent-elles ? Nous verrons dans une première partie la thèse des sceptiques sur cette question, puis dans une

souvent tentés de prétendre que la réalité est changeante, provisoire et particulière de sorte que la vérité est relative à chacun de nous, relative à chaque observateur. Tel est le point de vue notamment des sophistes dans l’Antiquité qui, comme Protagoras, soutiennent que « l’homme est la mesure de toutes choses ». Ils entendent par cette formule que la réalité dépend de l’appréhension que chaque individu en a. Le présupposé de ce jugement est que la réalité est essentiellement sensible, objet de

philosophie : * Une manière particulière de penser. La philosophie n’est pas le même chose que penser mais une manière particulière. * * Platon 6ème siècle * * La philosophie s’invente avec Platon est va entré pour la 1er fois dans la fixation d’une position métaphysique fondamentale. Introspection – regarder en soi. Platon a institué la phiolosophie et donc le désir de la sagesse. * * Descartes 17ème siècle * * Une révolution philosophique de la méthode

Introduction La sociologie a une histoire absolument brève mais elle a une très longue préhistoire. On sait qu’une forme de méditation pré- sociologique est inhérente à la pensée occidentale depuis l’antiquité grecque. On a coutume de citer à ce sujet Platon et Aristote. De nos jours, la composante totalitaire de la pensée platonicienne a fait pâlir l’influence de la République. La critique poppérienne y a fortement contribué. En revanche, l’œuvre d’Aristote, véhiculée par la pensée thomiste, reste

recueillir des inscriptions sur les vieilles pierres de Rome, il retrouve par exemple des lettres de Cicéron. Et aussi à l’aide de Boccase (1313-1375) qui est un écrivain italien. Mais nous pouvons considérer que le tout premier humaniste de ce monde est Protagoras, un sophiste du Ve siècle av Jésus Christ, pour lui « l’Homme est la mesure de toute chose. » Ce mouvement humaniste évolue de façon importante au XIVe siècle dans un contexte historique, social et culturel bien précis. Tout d’abord ont

ne fait que généraliser puisqu’on ne peut pas rencontrer tous les cas (on a ici une loi générale et on redoute de rencontrer un cas qui ne marche pas). On a alors des démonstrations qui ne sont pas forcément vraies mais nous ne le savons pas. Pour Platon un philosophe n’a pas besoin de démontrer : les idées sont évidentes, elles sont en face d’elles. Mais il fera des démonstrations pour l’apprenti, pour le former. Ces démonstrations sont préparatoires, elles préparent l’élève à se détacher du corps pour

5°) qu’est-ce que pour Platon le véritable amour ? C’est un amour entre deux hommes qui font le pacte de renoncer au désir, pour s’adonner à la philosophie. C’est comme une amitié privilégiée, une complicité qui permet aux amoureux de continuer ensemble leur élévation vers le Bien et le Beau. En renonçant au sexe et au désir, ils espèrent accéder à l’immortalité de l’âme.   DOUBLE NATURE DE L’AMOUR : Socrate (nous allons considérer que Diotime n’est qu’une couverture pour que Socrate rapporte

la formulation pour l’autre. Nietzsche parle donc d’une « terrible nécessité » qui pousse l’homme, « le plus menacé des animaux » à entrer à relation avec les autres. On peut peut-être voir ici une reprise du mythe de Prométhée décrit par Platon dans le Protagoras. L’homme, isolé est affaibli, incapable de se défendre contre l’ensemble des agressions dont la nature le menace. C’est uniquement grâce à la collaboration avec les autres qu’il peut développer les deux facultés qui lui permettent de se défendre

régulièrement sur la place publique (agora). Les cités sont présentes dans beaucoup d’autres civilisations antiques, comme chez les Etrusques (centre nord Italie). Pourquoi les grecs vivaient en cité ? Pour se protéger, pour la force…etc. Mythes de Platon a Protagoras (sophiste, 5eme siècle vers 450). Le temps des mortels est arrivé, ils vont être engendrés. Le frère de Prométhée qui a pour nom Epiméthée. Se sont deux frères, deux titans. Epiméthée distribue des compétences a tous les animaux, et quand