Platon Théorie D Un état Idéal

La démocratie consiste en « un effort perpétuel des gouvernés contre les abus de pouvoir » (Alain). Car, « ce ne sont pas les pierres mais les hommes qui constituent le véritable rempart des cités » ( Platon). Née à Athènes sous Périclès ( V ème siècle avant J-C), la démocratie est le régime dans lequel le peuple est le véritable détenteur du pouvoir politique ; elle est communément définie comme « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » ( Lincoln ). La démocratie dans son contenu

renvoie au pôle positif et l’injustice au pôle négatif. L’écart que l’injustice instaure par rapport aux normes de la justice apparaît comme une perturbation, une altération à laquelle s’attache un jugement de désapprobation. Ainsi pour Aristote cet état qu’est la justice est une vertu et l’état contraire, l’injustice, relève du vice. L’action injuste est celle qui provoque le blâme. L’injustice est cet écart qui vient rompre l’équilibre et l’harmonie que la justice a pour but d’instaurer entre

beaucoup à l’Antiquité, aussi bien en ce qui concerne la forme que le fond. La dénonciation de la tyrannie est un thème développé notamment par Platon et Aristote. De même, la « philia » (amitié) comme vertu sociale remonte à la Politique d’Aristote. Mais la Boétie s’inscrit également dans son temps, et il sera un précurseur du contractualisme qui est la théorie selon laquelle la société est fondée sur le contrat social, et de la conception moderne de l’Etat. L’ouvrage est comparable à l’Utopie de More

Le monde grec : Platon 1. Son œuvre 2. Son importance 3. L’époque de Platon 4. La raison 5. Le dialogue démocratique 6. La méthode socratique 7. Le dialogue platonicien 8. La citée platonicienne 9. le philosophe roi 10. La place de la philosophie 11. quelque remarque sur la philosophie de Platon. 1. Son œuvre ( 35 dialogues, 13 lettres. On doute de l’authenticité de toutes les lettres. Dans son œuvre, jamais Platon parle en son nom. Il y a toujours

société et de produire de la culture, l’homme vivait à l’état de nature. Quel est-il ? Deux sentiments dominent l’homme : l’amour de soi ; la pitié (qui compense avec l’amour propre puisqu’il induit une annulation de l’indifférence à autrui). Dans cet état de nature, les hommes ne connaissent ni le bien, ni le mal ; ils vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui

publique, si son existence peut produire une révolution dangereuse dans le gouvernement établi, la mort de ce citoyen devient nécessaire. Mais sous le règne tranquille des lois, sous une forme de gouvernement approuvé par la nation entière, dans un État bien défendu au-dehors, et soutenu dans l'intérieur par la force et par l'opinion peut-être plus puissante que la force même, dans un pays où l'autorité est exercée par le souverain lui-même, où les richesses ne peuvent acheter que les plaisirs et

extérieur des choses comme objets, il serait l'espace de l'événement de l'« il y a », du don d'un monde, de la venue infinie de l'être comme existences singulières. Dans un premier moment nous examinerons l'idée de reproduction du visible à partir de Platon et à partir de l'idée traditionnelle selon laquelle l'art imite la nature. Nous examinerons surtout les présupposés de ces thèses et les discuterons en proposant deux sens radicalement différents de l'imitation. Le second sens nous donnera à commencer

à manifester, ici aussi, son influence. L'homme ne tarda pas à comprendre que l'excitation sexuelle, qui chez les animaux repose seulement sur une impulsion passagère et le plus souvent périodique, étai... KANT et la République de Platon... La République de Platon est devenue proverbiale, comme exemple prétendu frappant d'une perfection imaginaire qui ne peut avoir son siège que dans le cerveau d'un penseur oisif. Mais il vaudrait bien mieux s'attacher davantage à cette idée et (là où cet homme

Synthèse de Français 1. L’humanisme 1.1 L e siècle de l’Humanisme Le nom Humanisme vient du latin humanitas. Sens courant : théorie qui prend comme fin l’épanouissement de l’homme par ses propres forces. Sens historique : mouvement intellectuel né en Italie au 14èS puis répandu dans toute l’Europe à la renaissance caractérisé par l’étude des œuvres de l’antiquité. Au Moyen-Âge l’homme va se libérer de sa crainte du jugement de Dieu car à la Renaissance l’homme va profiter d’avantage

soit d'une loi au sens « d’obligation juridique ». Ainsi, la question de savoir ce qui nous pousse à obéir aux lois ne se pose pas du point de vue des lois de la nature qui expriment une nécessité. En revanche, en ce qui concerne les lois au sein d’un Etat, la situation est différente. De fait, celles-ci constituent avant tout des obligations auxquelles il est possible de désobéir. Obéir suppose une soumission à une autorité, et se poser la question de pourquoi obéir aux lois revient à se demander ce