Platon Théorie D Un état Idéal

Sommaire Introduction....................................................................... Chapitre 1 : Les présocratiques : les initiateurs ................ Chapitre 2 : Socrate contre les sophistes .......................... Chapitre 3 : Platon et la théorie des idées ........................ Chapitre 4 : Aristote, science et réalisme dans un monde imparfait .................................................. Chapitre 5 : Diogène le cynique......................................... Chapitre 6 : Épicure

justice un idéal particulier, l’idéal de justice n’est pas le même pour les classes prépondérantes que pour les classes non possédantes ; les conceptions idéales de la justice n’ont aucune valeur objective. » * Citations  «  Le président ne sert qu’à inaugurer les chrysanthèmes » * 4 juristes sélectionnés par Napoléon Bonaparte I « la loi ne dispose que pour l’avenir, elle n’a point d’effet rétroactif » -> article 2 du premier code. * Platon « la société idéale assigne à chacun

a toutes les définitions simple... dès lors quel sont les fondement du droit? Qu'est ce qu'il le justifie? Qu'est ce qui le définie? Quel sont ses sources? Le droit est un phénomène d'une extrême complexité qui depuis l antiquité les philosophes (Platon, Rousseau...). Pour ces deux auteurs c'est de la Loi dont il s agit (à l Antiquité et au XVIIIème). Réfléchir sur le droit suppose de réfléchir sur l'homme sur sa place, sur son rôle dans la société, sur la justice et de réfléchir sur l'exercice

------------------------------------------------- Fiche SPG – INTRO. I) définition du politique. 1) polysémie du mot . POLIS: territoire, unité sociale ac frontières. POLITEA: système politique institutionnalisé, délibération, agora, Finley: idéal délibératif. Discussion rationnelle. POLITIKE: science du gouvernement. POLITIQUE: androgyne. LES po: personnel po, élus, professionnels LA PO PUB: po du gouv, programme d'action, action publique, gouvernance (multiples acteurs). LA po: lutte

inégalités naturelles entre les hommes Callicles : personnage de Platon dans son œuvre « Gorgias »  ce qui est normal c’est que la force l’emporte toujours & le droit construit par les hommes n’aurait pas à être remis en cause.  Droit imposé par les plus fort : injustice apparaît si l’ordre naturel venait a être renversé  La loi ne peut donc pas aller à l’encontre de ce qui n’est pas naturel. On peut identifier quelques courants : Théorie classique du droit naturel  imposée aux hommes par les forces

constitue une espèce d’avatar (tardif) du stoicisme en général. Cette pensée est en réalité née 3 siécles avant Sénèque. Grèce-Athènes : le stoicisme va voir le jour au moment même où va s’achever la grande période classique grecque (Calliclès, Socrate, Platon, Aristote). 322 avant JC : mort d’Aristote (précepteur d’Alexandre) 323 avant JC : mort d’Alexandre. Ces deux dates marquent la fin de la grande époque grecque. Ce qui commence c’est la « période hellénistique ». Pendant les 3 siècles qui vont

du droit et la théorie du droit. Deux disciplines académiques que existent encore aujourd’hui. La philosophie du droit telle qu’elle est proposée selon le concept Hégélien  il est à l’origine de cette expression dans un ouvrage que va paraitre en 1921, suivi par un autre que va prendre cet intitulé. Nous avons également la théorie du droit, concept plus récent du 20ème, qui va être repris par Kelsen, annoncé dès les années 20 avec la création de revues internationales de la théorie du droit. La distinction

quelques ouvrages de lui et que l’ordre d’exposition ne tiendra pas compte de l’ordre chronologique de parution, mais du principe d’idées développées. Max Horkheimer écrit en 1937, la Théorie traditionnelle et théorie critique, ouvrage dans lequel il expose l’idée que la théorie critique fait partie intégrante de la connaissance. Mieux, la raison a pour caractéristique principale le sens critique. Dans La dialectique de la raison (1947) , Horkheimer

coeur de notre réflexion à l’intérieur de ce cycle se situe dans le cours sur le travail scientifique, où sera abordée la perception, puis comment cette perception pure dans la relation de la théorie scientifique à l’expérience et quel rôle jouent la démonstration et l’interprétation dans l’émergence de ces théories scientifiques. Il est évident que la question de la vérité ne se distingue pas de l’étude de la perception de la connaissance scientifique, si on cherche les moyens et procédures que l’homme

pouvant nous être utile, mais ils diffèrent en plusieurs points : Le besoin a un caractère de légitimité, il est nécessaire à l’existence, au développement d’un être vivant, il est matériel alors que le désir est de l’ordre du spirituel, il tend vers un idéal, un objet qu’on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. On peut alors se demander si l’objet qui satisfait un besoin ne peut-il pas combler aussi un désir ? Ou est-ce-que l’objet du désir est désirable justement qu’il va