Platonisme

rugueux constituent les chairs. Les idées Platon assimile le réel (ce qui est vrai) aux idées, mais les idées de Platon sont objectives, elles sont hors de l’âme, elles sont même en dehors de l’âme du Demiurge, puisqu’il les contemple. Le Platonisme est un idéalisme, mais il n’est pas subjectiviste, Platon s’oppose aux sophistes (qui disaient que l’homme était la mesure de toute chose), pour lui les idées sont objectives, elles sont ailleurs dans un monde idéal. Mais c’est grâce à l’apparition

enfin le stoïcisme impérial (Ier siècle) avec Sénèque, Epictète et Marc Aurèle qui délaissent la physique et la logique pour se consacrer à la morale. Après Marc Aurèle, certains stoïciens se sont alliés avec l’aristotélisme et d’autres avec le platonisme qui développent quelques fois des thèses contradictoires avec les positions d’origine. Cette philosophie a pour but principal d’atteindre le bonheur et la liberté absolus. Pour cela, se sont développés six principes de la morale stoïcienne : liberté

montre que Maurice Scène s’inspire du platonisme.     ( Pernette Dugillet (1520-1545) qui est une femme.  Sa poésie est très originale puisqu’elle va inverser la tendance, à savoir qu’elle des hommes un objet érotique, dont on détaille les charmes, elle était évidemment du côté épicurien. ( Louise Labé (1524-1566) qui est également une femme. Ces 3 auteurs vont s’inspirer de l’Antiquité, de 2 grands courants philosophiques antiques : ( Platon (=Platonisme : rencontre de 2 esprits, pour Platon

analytique éternel retour et son extrême cohérence Kant t fêlure une mystérieuse cohérence, Cogito pour un moi dissous # Logique et ontologique de la différence selon Platon la tâche de la philosophie moderne : renversement du platonisme « le monde héraclitéen gronde dans le platonisme. » Idée et un concept propre de la différence méthode de la division # Les figures de la méthode de la division : les prétendants, l'épreuve-fondement, les questions problèmes, le (non)-être et le statut du négatif Aristote

de la beauté et des vertus de la femme aimée mais cruelle. + Style précieux riche en figure, en particulier l’antithèse et la métaphore. Forme du sonnet et de la chanson. * Le néoplatonisme : relecture de Platon. Tentative de réconcilier le platonisme et le christianisme. Pour chaque élément du quotidien, on peut remonter à un autre idéal supérieur, transcendant : dieu. * Renaissance du lyrisme amoureux avec Maurice Sève salué comme un précurseur par la pléiade. Et Louise Labé Œuvres, 1555

inconnaissable ne peuvent nous permettre de connaître ce dont elle sont les Idées… De plus, elle si comme pour Platon, elles sont immobiles, comment peuvent elles rendre compte du mouvement du monde sensible ? Aristote oppose une nouvelle théorie au Platonisme : l’hylémorphisme, (càd la théorie de l’unité de la forme et de la matière) : pour le philosophe, tout être est l’union d’une forme (ce que l’objet est devenu, considéré dans son essence) et d’une matière (“j’appelle matière le sujet premier de

saisie de l'essentiel Seuls ceux qui pourront suivre cet enseignement jusque la seront adptes à gouverner la cité. Platon les appelera les philosophes rois : la cité sera juste qu'a condition d'être gouvernée par des hommes justes Conclusion : Le Platonisme nous enseigne que pour sortir de l'apparence des simulacres, pour éviter un monde ou l'injustice semble la regle, un seul moyen : éduquer. Elle n'est pas chez Platon induction, transmission de savoir comme marchandise mais une conversion du corps

méthode, alors qu’il bâtit cet édifice particulier qu’est sa « morale provisoire », de « changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde ». Voila un discours sur lequel tous les discours moralisateurs peuvent se mettre d’accord : stoïcisme, épicurisme, platonisme l’affirment en chœur : pour maîtriser les désirs, il faut les remettre à leur juste place et les soumettre à la raison, qui doit être le vrai guide de nos vies. C’est ainsi que Platon reconnaît aux désirs une juste place dans ce qu’il appelle «

Portrait de Baudelaire Rejetant le réalisme et le positivisme dont il est contemporain, Baudelaire sublime la sensibilité et cherche à atteindre la vérité essentielle, la vérité humaine de l'univers, ce qui le rapproche en termes philosophiques du platonisme. Il écrit ainsi en introduction à trois de ces poèmes dans le Salon de 1846 : « La première affaire d'un artiste est de substituer l'homme à la nature et de protester contre elle. Cette protestation ne se fait pas de parti pris, froidement, comme

exigence et se connaissant versatile et inassouvissable, il désire l’amour ardent, exalté jusqu’au mysticisme. D’ailleurs la plupart des héros romantiques qui voulurent l’amour à tout prix furent incapables d’aimer : le sentiment chez eux, tourne au platonisme le plus mince, devient une pure flamme intellectuelle ou se perd dans l’appétit grossier.  Leur prétendu amour du beau cache une infirmité secrète. Ainsi certains souffrent d’un désir de domination qu’ils ne satisfont pas parce qu’ils n’ont pas