Platonisme

Écoles pythagoriciennes 1.7 Hérodote et Thucydide 2 La relation entre Socrate et Platon 2.1 Ce que Platon pensait de Socrate 2.2 L'influence de Socrate sur Platon 3 Les dialogues de Platon 4 La philosophie de Platon 4.1 Les influences 4.2 Le platonisme 4.3 Contexte philosophique 4.4 Théorie de la connaissance 4.4.1 Monde sensible et opinion 4.4.2 Hypothèse des Idées (les Formes intelligibles) 4.4.3 Degrés de connaissance 4.4.4 L'amour de la connaissance 4.4.5 La réminiscence 4.4.6 La dialectique

Ces humanistes sont avant tout chrétiens. Aussi vont-ils christianiser certains écrits antiques comme le Banquet de Platon par Marsile Ficin. Le platonisme, largement véhiculé par Ficin, se répand notamment en France grâce à Jacques Lefèvre d'Etaples (v 1450-1537), Charles de Bouvelles (v 1480-1533) et Symphorien Champier (1472-v 1539). Dans ce platonisme, c'est l'étude de Dieu comme principe ou comme fin qui est au centre du débat. Après 1530 et la création du collège de France de François Ier

Intercollégial de philosophie, 13e édition Éric Tremblay Michel Onfray, philosophe français contemporain, est l’instigateur de l’Université populaire de Caën, où il enseigne la contre-histoire de la philosophie. Dans son essai sur la Théorie du corps amoureux, Michel Onfray réactualise l’épicurisme hédoniste. Dans son ouvrage Le souci des plaisirs, il critique la codification de la sexualité par les interdits judéo-christiano-islamistes qui caractérisent la haine du corps. Il développe la

rejoint à Assos, il met en route un projet d'école. Il y effectuera un nombre important d'observation sur la nature. C'est durant cette période de voyage que naît son platonisme critique selon Werner Jaeger, qui voit durant cette période l'éclosion d'une philosophie de transition, où Aristote procède à des corrections du platonisme. Il termine sa Physique ainsi que sa Métaphysique, Du ciel, De la génération et de la corruption, la Rhétorique, la Poétique et une partie de l’Éthique à Nicomaque.

GRANDS COURANTS DE PENSEE PHILOSOPHIQUE LES GRANDS COURANTS DE PENSEE PHILOSOPHIQUE 1 -LE PLATONISME On appelle ainsi la philosophie de Platon et celle de ses disciples, c’est-à-dire la philosophie qui considère que le vrai monde, le monde réel, est celui des Idées absolues, par opposition au monde sensible, qui est celui de l’ignorance et de l’illusion. Aujourd’hui les seuls à pouvoir être vraiment platoniciens sont des mathématiciens (pas tous). Beaucoup de mathématiciens, en effet, pensent

mathématiques platoniciennes A. Le problème de la totalité et du tiers exclu B. Formalisme contre constructivisme C. Les divers degrés du platonisme II. L'évaluation de ce choix épistémologique A. La valeur générale de l'attitude platonicienne B. La remise en cause du platonisme absolu C. L'évaluation contemporaine de Bernays du problème D. La voie d'un platonisme restreint C’est au XXe siècle grâce aux succès remportés par la médecine que la question de la diffusion de la santé auprès de l’ensemble

autres | - mais elle oblige à respecter leur liberté | - Elle permet de créer notre propre morale | - mais elle nous oblige à connaître l’angoisse de créer notre liberté | Qu’est-ce que le platonisme ? Platon : 4ème Siècle ACN => Antiquité. Sa philosophie : le Platonisme Dualisme de Platon : Deux => deux mondes : Monde Sensible | Monde des Idées | - Réalité perçue par nos sens=> Monde concret.- Monde « imparfait »- COPIE- Inférieur => moins

laquelle Zeller parle de subjectivité abstraite, cette philosophie se développe à Alexandrie, et dans l’espace culturel Alexandrin. Elle est représenté par l’éclectisme qui essaie a une synthèse des doctrine antérieure, et le néo-platonisme, qui reprend les thème du platonisme dans le contexte de mysticisme. Conclusion La science elle-même n'est encore qu'un fait comme les autres. D'où vient que la science est possible ? À quelles conditions le monde peut-il être pensé ? Il faut une science de

vérité, mais philosophie et foi atteignent leur plénitude lorsqu’elles se recouvrent l’une de l’autre. Chez Saint Augustin, la réflexion philosophique et la révélation se complètent : aux deux, il doit la notion de transcendance. * Il doit au platonisme d’avoir saisi la nature spirituelle de Dieu. * Il doit au christianisme la connaissance de la Trinité, de la personnalité de Dieu, et de l’amour comme substance divine. Il combat sans cesse le penchant de l’homme à se représenter Dieu matériellement

J-C. L’historien Émile Bréhier considère que, malgré les différences fondamentales qu’il y a entre le platonisme, l’aristotélisme, l’épicurisme, le stoïcisme et le pyrrhonisme, l’unité de la philosophie hellénistique se constitue effectivement autour d’un univers de problèmes communs. Ces différentes philosophies postulent la dépendance du bonheur et des règles