Plèbe

et est rentré en vigueur la même année. Nous nous situons donc sous l’Empire tardif et le règne de Justinien Ier. Cet ouvrage vise à identifier les sources du droit romain. Gaius distingue 4 sources ≠, à savoir : le Peuple, se divisant entre la Plèbe et les Patriciens, le Sénat, qui ordonne et établit les sénatus-consultes, l’Empereur, s’appuyant sur sa Constitution et pour finir, les magistrats qui rédigent des édits. Nous pouvons envisager ce commentaire sous la problématique suivante : quelles

descendants d’illustres lignées dont les ancêtres se sont souvent distingués par de glorieux faits d’armes ou une carrière politique bien remplie. Ils détiennent de vastes capitaux fonciers et en retirent tout le prestige social qui est le leur. La plèbe réunit en revanche dans ses rangs ceux qui n’ont pas le privilège d’une brillante naissance : simples artisans, boutiquiers, paysans. Citoyens, ils participent librement aux Comices. Mais le scrutin tel qu’il est appliqué (Les plus fortunés votent

plébiscites Sont des décisions prises par un tribuns. Lex Hortensia → promulguée en -287, résultat conflits patriciens / plébéiens Elle va permettre l’assimilation des plébiscites aux lois, c’est-à-dire c’est un plébiscite voté dans le concile de la plèbe qui va être désormais applicable à l’ensemble des citoyens. Loi camuléia : du nom de son auteur camuleius était un plébiscite qui est devenu une loi. Transition : Les sources du droit qui étaient à l'origine uniquement constituées de coutumes,

de roi. La séparation des pouvoirs a une origine oligarchique pour empêcher un seul homme de reprendre tous les pouvoirs. - Deuxième révolution en 493, ayant pour acteur une couche de la population non noble et peut être pas citoyenne, c’est la plèbe = le peuple ; opposition avec les patriciens de patres (les pères de la cité) - Au départ refus de faire le service militaire alors que le danger est grand contre les Etrusques. Les plébéiens sont les plus nombreux donc la cité a besoin d’eux pour

mais relié aux Plébéiens(2). Après avoir mené des batailles (qu’il remporte) en Asie, il démarre le cursus honorum et devient tribun militaire, puis questeur en 69 av. J.-C. en Espagne, puis édile en 65 av. J.-C. Il se fait aimer du peuple (la plèbe) en organisant des jeux d’une somptueux. Mais pratiquement ruiné, il devient gouverneur de la Gaule cisalpine et transalpine (actuellement l’Italie du nord et la Provence). Il fait alors une campagne brillante et rétablit sa fortune. À partir de -60

par le peuple et la plèbe (I.) que Gaius distingue des «sources institutionnelles», l’ensemble des règles édictées par l’Empereur, le Sénat et certains «magistrats du peuple romain» (II.). Les sources populaires du droit romain. Gaius précise que les règles ordonnées et établies par le peuple et les praticiens constituent des lois, tandis que celles qui sont ordonnées et établies par la plèbe portent le nom de plébiscites. La différenciation entre le peuple et la plèbe. Le droit romain

entre l’attribution de la charge de consul et celle de proconsul. En ce qui concerne les élections, le magistrat organisant l’élection (les consuls pour toutes les magistratures proprement dîtes ; les tribuns pour les tribuns et les édiles de la plèbe) a d’abord joui d’un quasi-monopole de présentation (deux candidats par poste). C’est la proclamation consulaire (renuntiatio) du choix populaire qui vaut désignation de l’élu et non la manifestation elle-même de la volonté de l’Assemblée. Le choix

que vont préconisés successivement ces deux frères. Ils paieront de leurs vie cette idée jugé trop audacieuse et surtout trop contraire aux intérêts des familles sénatoriales. § 1 Le tribunat de Tiberius Tiberius est élu au tribunat de la plèbe en 133; il a 30 ans; ce n'est pas un révolutionnaire acquis certes il a des idées réformatrices mais il n'entend pas bousculer les valeurs de la Cité. Bien au contraire il veut la doter de ce qui à nouveau de ce qui lui fait défaut à savoir une classe

s’est mise en place. Commence une lutte avec le reste de la cité, la Plèbe. Comme le dit Gaius par « La plèbe diffère du peuple en ce que sous le nom de peuple on entend tous les citoyens, patriciens compris, tandis que sous le nom de plèbe on entend les citoyens autres que les patriciens », il existe une distinction entre Praticiens et Plébéiens, en effet les Patriciens ne font pas partie de la Plèbe. Face à cette aristocratie, la Plèbe révoltée et s'est progressivement donnée des institutions. Notamment

renforce donc la suprématie sociale des plus riches et surtout de l’ordre sénatorial, tandis qu’il réduit les pouvoirs politiques du Sénat pour renforcer les siens. Pour éviter toute révolte les empereurs cherchent à se concilier une plèbe privée de droits politiques. La plèbe est un terme employé, dans un sens péjoratif pour désigner les classes populaires urbaines ou les bénéficiaires des distributions de blé, bien que ces derniers ne soient pas forcément pauvres. Ils la font donc profiter des richesses