Plèbe

républicaines et leur évolution => Chapeau introductif Dès les origines de la république, Rome est une citée marquée par une distinction sociale entre la plèbe et le patriciat (l'équivalent romain de l'aristocratie). La patriciat est divisé en grandes familles prétendant avoir créé Rome, et s'arrangent des privilèges qui les distinguent de la plèbe. Cette division va évoluer vers un système plus démocratique de production du droit. Cela passe par la mise en place d'un système institutionnel très équilibré

Tables » (-451) Crise sociale à lieu à Rome au milieu du Vème siècle avant J-C. On observe le passage de la royauté à la République confiée aux mains des mêmes élites qu’auparavant. Or, la plèbe ne veut plus du pouvoir des chefs de famille, elle souhaite que la République devienne l’affaire de tous. Ainsi cette plèbe va réclamer des droits politiques. L’une de ces revendications sera que le droit soit mis par écrit. Cela marque en -451 à la fin du monopole des pontifes concernant les règles de droit

empereurs prendront des mesures contre les hérétiques, volonté de monopole religieux qui interdit la liberté de croyance et la libre opinion. La plèbe — les plébéiens — se définit par opposition aux patriciens ou plus tard à la nobilitas : c’est la partie du peuple qui s’oppose à l’organisation oligarchique de la cité. Dans le langage courant, la plèbe désigne la population. -Héritière de la recommandation du Haut Moyen Âge, la vassalité est la situation de dépendance d’un homme libre (vassal, du

ont cherché à s’organiser en se réunissant (les conciles de la plèbe) et en se donnant des représentants (les tribuns de la plèbe). Les plébéiens obtiennent des conceptions des patriciens, l’égalité des droits. A la fin, les plébéiens, ont gardé les droits que les patriciens ont exclus. Les tribuns de la plèbe apparaissent en 494 et, les conciles de la plèbe en 471. Les mesures de protection sont les pouvoirs des tribuns de la plèbe qui ont le droit de s’opposer à toute proposition d’un magistrat

pouvoir politique et religieux mais avec des devoirs militaires important., c’est ce qu’on appelle la Plèbe. Très vite la Plèbe est revendicatrice, une révolte éclate en 494 av. J-C « Sécession de la Plèbe » sur l’Aventin, suite à cela les plébéiens refusent d’être enrôlés et de faire la guerre. Les Patriciens négocient avec les Plébéiens, qui gagnent en magistratures spécifiques (les tribuns de la Plèbe. Ils ont le droit de Véto). En 367 av. J-C, de nouvelles avancées se font sentir, les lois licinio-sextiennes

pourquoi les nations civilisées sont tombées sous la domination romaine. La constitution romaine s'est formée peu à peu, pendant les premiers siècles de la république, au milieu de luttes incéssantes tant à l'intérieur de la cité avec la lutte entre la Plèbe et les Patriciens pour l'égalité politique et civile, qu'à l'extérieur avec les luttes contre les voisins immédiats de Rome, la conquête de l'Italie, les luttes contre Carthage et les débuts des grandes conquêtes. De plus, il ne faut pas oublier qu'à

devaient même marcher, parler et rire pour qu'on puisse bien les choisir. Ces esclaves représentaient une partie importante des travailleurs puisque les patriciens, que l'on définit comme les riches de l'Empire, méprisaient le travail et que même la plèbe ( gens du peuple dont les artisans) trouvaient naturel de posséder des esclaves pour les aider dans leurs tâches.[4] En plus d'être déportés de leur territoire, ces esclaves étaient bien souvent séparés de tous les individus qui leurs étaient familiers

vraie nature, marquée par sa bienveillance, lorsqu’il parvint au pouvoir impérial. - Dans cet extrait, Suétone évoque tout d’abord la bienveillance de Titus à l’égard des membres de l’aristocratie (l. 1-10), avant de présenter ses relations avec la plèbe, telles que se nouaient en particulier lors des spectacles (l. 10-19). Il relate ensuite les actes accomplis par Titus pour remédier aux effets de l’éruption du Vésuve et d’un incendie s’étant produit à Rome (l. 19-31). Il décrit enfin la façon dont

plébéiens et les patriciens ; en effet, plèbe et patriciat s'affrontèrent précocement afin d'obtenir pour la première et de conserver pour le second une place privilégiée dans le gouvernement de la Cité mais « ces altercations ne dégénéraient point en guerre civile » bien qu'elles marquèrent pour longtemps la scène politique d'une rivalité entre les citoyens privilégiés par l'ordre politique et les hommes exclus des considérations de l'Etat. Cette rivalité entre plèbe et patriciat n'entraina donc jamais

Les autres citoyens romains ; la plèbe, se révoltent. Le droit n’étant réservé qu’aux patriciens, ils se sentent exclus de la société et victime d’un gouvernement arbitraire. La cité romaine est en pleine crise sociale, c’est alors qu’en -450, après des négociations houleuses, les plébéiens obtiennent le droit de rédiger une loi : la loi des XII Tables. L’élaboration de cette loi, Tite-Live nous la raconte étapes par étapes dans cet extrait. La lutte de la plèbe s’inscrit comme un début d’encadrement