Ploutos

subissent les dictatures semblent envier les démocraties et les monarchies traditionelles on évolué vers la démocratie (le roi n' a plus qu'une fonction représentative et plus le vrai pouvoir, comme en Espagne, au Royaume Uni,en Hollande, en Belgique) La plouto-cratie ? c' est à dire le pouvoir des plus riches ? à vrai dire on y tend avec le libéralisme intégral mondial et certains font tout pour y parvenir en vidant la démocratie de son contenu (en rendant ses lois inopérantes face à la Loi du Marché "(libre

classe dominante est au pouvoir, elle se choisit elle-même par le mécanisme de cooptation. Ce mécanisme peut aujourd’hui prendre plusieurs formes ce qu’on appel la technocratie, tekné = technique. C’est le régime des plus compétents. La plutocratie : ploutos = richesse, c’est le régime des plus riches. L’aristocratie, aristos = le meilleur. Pour platon l’oligarchie va dégénérer lorsque la monopolisation des richesses par un petit nombre va entrainer un sentiment d’injustice de la part des plus pauvres

disant (avec une contre-partir) à Asopos où se trouve sa fille enlevée par le dieu. + Enchaîne la mort 1ere victime de la mort après sa libération + Monter un énorme rocher au sommet d'une montagne pour qu'il redescende Tartare Tantale Zeus + nymphe Plouto Roi de Phrygie ou de Lydie Donner de l'ambroisie aux mortels + faire manger son enfant par les dieux Soif et faim éternelles ( alors que l'eau et les fruits l'entourent ) Tartare Tityos Zeus + Elara Géant Fait violence à Léto + mort à cause des

vers (388), semble-t-il, à une loi qui interdisait formellement les attaques contre les personnes. C'était l'arrêt de mort de la comédie ancienne. Aristophane tenta des voies nouvelles : par le Cocalos (aujourd'hui perdu) et la seconde édition du Ploutos (388), il inaugura la satire des mœurs, d'où devait sortir la comédie nouvelle des Athéniens.

sociales. Le rire est provoqué par le simple fait de tourner en dérision les différentes classes sociales, ou certains individus. On peut constater par exemple qu’il existe de nombreuses comédies faisant une critique sociale, voire politique. Dans «Ploutos», Aristophane aborde le problème de l'inégalité des richesses. Ou encore dans «Lysistrat», où il mêle les conflits de l’État aux détails les plus intimes de la vie quotidienne, résolvant une crise politique. Dans «Les Guêpes», il vise le fonctionnement

rendirent a Mycènes et massacrèrent leur mère Clytemnestre ainsi que son amant.Peut de temps après Orestre poursuivi par les Érinyes, qui on le rôle de punir tout crimes humains, devin fou a cause d’elles.C’es la fin de la malédiction des AtridesZeus - Plouto Tantale - Dioné po Pélops-Hippodamie — Niobé Atrée — Thyeste Pitthée Egisthe Ethra - Egée Clytemnestre - Agamemnon Ménélas - Héléne _Thésée - Antiope Oreste Electre Iphigénie Hermione Hippolyte Les Atrides

d'Alexis sont souvent rattachés à cette période. Les Anciens attribuent à cette période plus de 600 pièces, toutes perdues. Cependant, on aperçoit déjà une évolution dans les deux dernières pièces conservées d'Aristophane, l'Assemblée des femmes et le Ploutos : la parabase ( partie de la comédie grecque où l'auteur s'adresse au spectateurs) disparaît, le chœur joue un rôle bien moindre, l'action progresse de manière plus logique. -La Comédie Nouvelle commence dans la seconde moitié du IVe siècle avant

morts, craint, il est représenté comme un homme mûr, barbu, tenant la corne de l'abondance, symbole des richesses du sol dont il est le maître. Il arrive que les vases le nomment explicitement Ploutôn. Pour autant, il ne doit pas être confondu avec Ploutos, personnification de la richesse. Buste d'Hadès, copie romaine d'après un original grec duve siècle av. J.-C., Sanctuaire de Samothrace, un des lieu de culte de Hadès 4/ENLEVEMENT DE PERSEPHONE. L'enlèvement de Perséphone par Hadès

sacrilège, s'unit à Electre et jeta du haut du ciel la jeune fille et le Palladium qui fut considéré par les Troyens comme la statue protectrice de leur ville.  Electre mit au monde Dardanos, premier roi de Troie, et Iasion, amant de Déméter et père de Ploutos.  On la dit aussi mère d'Harmonie selon Diodore Dans la tradition latine, Electre n'est plus l'amante de Zeus, mais l'épouse du prince étrusque Corythos. Des deux fils qui naquirent du mariage, l'un, Iasion, émigra à Samothrace et l'autre, Dardanos

avec Évonymé, tandis qu'une tradition isolée lui attribue la paternité des Dactyles par la muse Calliope. Les Hymnes orphiques lui reconnaissent également celle du dieu phrygien Sabazios et divers scholiastes lui donnent encore pour fille la nymphe Plouto, amante de Zeus et mère de Tantale. Enfin, Eustathius lui reconnaît un septième enfant par Rhéa en la personne du dieu guerrier Ényalios, plus généralement considéré comme un fils d'Arès (voire comme un simple surnom de ce dernier). Le Catalogue