Plus il est con plus il s'en donne l'air

d’amener le chien. Elle crèvera les balons. Rosie Alors je viens pas. Alex Tant pis pour toi. Rosie Chère madame Stewart, Je suis passée vous parler de l’anniversaire de ma fille Rosie, le 8 avril. Malheureusement, vous étiez absente. Je repasserai un peu plus tard dans l’après-midi, pour bavarder avec vous. J’ai l’impression qu’il y a un pe t problème entre Alex et Rosie, ils semblent fâchés. J’espère que vous pourrez m’expliquer la situa on quand nous nous verrons. Rosie aimerait vraiment qu’il assiste

que si. Je pense que ça ne sert plus à rien de se battre, d'essayer de changer les choses, de s'accrocher. À part me faire du mal, ça ne fait pas grand-chose. J'ai décidé de changer, et que mon cœur redevienne de pierre. Je repars de zéro. Tes mots ne m'atteindront plus, tes gestes non plus. Je ferai comme si je ne t'avais jamais parlé, jamais connu. Je ne sais pas si c'est la bonne solution, mais c'est ça ou souffrir d'avantage. Et, personnellement, je n'en peux plus de souffrir. Alors je passe à

Chapitre 31 : Dans la tête de LéonieUn peu plus tôt dans la journée Il pose les courses qu’on a faites dans la cuisine de mon appartement et se lave les mains. Moi (m’asseyant sur la paillasse) : tu reste un peu avec moi ?Lui (s’essuyant les mains) : tu n’as pas dormi de la nuit, tu n’es pas fatiguée ? Moi (souriant) : si mais c’est pas grave je dormirais après Lui : non je crois que je vais rentrer, et te laisser te reposer. On se voit tout à l’heure de toutes les façons ?Moi (déçue) : ok Il sort

Le très long voyage d'une baleine à bosse samedi 16 octobre 2010, 14:19 Onderkant formulier Une baleine à bosse a parcouru plus de 10.000 kilomètres entre le Brésil et Madagascar, plus long voyage jamais accompli par un mamifère. Pourquoi ? Les scientifiques s'interrogent. [pic] AP Le voyage de la baleine a été reconstitué à l'aide de photos montrant des signes distinctifs sur sa queue. L'animal avait été photographié pour la première fois au large du Brésil en août 1999. Un autre cliché

Scénario H-18413 SCÈNE 1 Personnages : Hannah, mère d’Hannah Lieu : Chez Hannah, dans la cuisine Hannah affirme à sa mère qu’elle va avoir un clone. Étant donné leur excellente situation financière, Hannah ne voit pas d’inconvénients. Pourtant, sa mère s’y oppose pour des raisons religieuses. En effet, dans leur religion, qui est le catholicisme, le clonage est très mal vu. Cependant, vivant dans une société où les parents sont totalement soumis aux enfants, sa mère n’a pas d’autre choix que

Je me précipite vers la cuisine et embrasse ma petite maman. J’engloutis au moins trois brioches et avale un bon chocolat chaud. Me voilà d’attaque. Je vais dans la salle de bains, me brosse les dents et me regarde dans le miroir pour voir si j’ai l’air présentable. Peu de temps après, maman charge les bagages et nous nous installons dans la voiture. Maman me dit en rigolant : « J’espère que ton frère, ton père et moi n’allons pas trop te manquer ! Ce serait bête que tu gâches ton voyage à cause

réalité ? Que deviendrait un monde s'il était empli de rêves et de fictions, de pulsions voguant dans l'air environnant ? Bien sûr, il existe un cadre, invisible, infranchissable, nécessaire. Mais lorsque l'on donne la possibilité à quelqu'un d'écrire sa vie autrement que dans l'espace qui lui est offert à la naissance, on peut écrire un roman. Et on peut alors vivre ce que l'on écrit, et non plus écrire ce que l'on vit. Si la fable avale la réalité, que croire, comment réagir ? Mais les pages

duré quarante-et-un mois. Choqué par le climat ambiant destructeur de mon âme, j’ai consigné jour après jour mes impressions, mes réflexions et quelques évènements qu’il m’a été donné de vivre dans ce monde déshumanisé. Je remercie toutes les personnes qui m’ont soutenu durant cette épreuve et plus particulièrement Anne L.C et Georges A. qui m’ont aidé à finaliser mes écrits. En tenant au jour le jour ce journal depuis

troisième plus grande des cinq chambres constituant mon domicile. Cette pièce était le seul endroit de la maison que je pouvais vraiment considérer comme mien. Mes parents n'y venaient jamais, ils se contentaient de cogner à ma porte en m'informant qu'ils quittaient ou que le repas était servi. J'avais repeint ma chambre moi-même d'un bleu-gris assez clair. Trois meubles de bois anciens appartenant à ma grand-mère étaient disposés dans la pièce et malgré leur âge, ils avaient l'air flambant neuf

laisse un berger allemand. Simple se trémoussa sur la banquette.— Il a un chien, dit-il.Le propriétaire du berger dévisagea celui qui venait de parler. C’était un jeune homme aux yeux clairs écarquillés.— Il a un chien, le monsieur, répéta-t-il, de plus en plus agité.— Oui, oui, lui répondit Kléber en essayant de le rappeler à l’ordre d’un froncement de sourcils.— Tu crois je peux le caresser ? dit Simple en avançant la main vers le chien.— Non ! aboya Kléber.L’homme regarda l’un après l’autre les deux