Point d'exclamation

e vers 1 est une métaphore de la femme. Baudelaire la compare à « un beau ciel d’automne, clair et rose ». Le point d’exclamation marque la stupéfaction face à la beauté. Néanmoins l’antithèse entre « automne », qui est une saison détestée par Baudelaire et assimilée au Spleen, et « beau ciel […] clair et rose » annonce que l’on n’est pas dans l’idéal. ‘Il y a un problème’ avec cette femme. Au vers 2, le « mais » introduit l’idée du Spleen plus clairement. La montée de la tristesse est comparée

plan : - Opposition de l’enfant riche et l’enfant pauvre, placés face à face, incarnent deux vies et deux mondes parfaitement antithétiques - antithèse souligné par « ces barreaux symboliques séparant deux mondes » - Le texte fait jouer point par point l’opposition. Le contraste est visible à travers les lieux, l’aspect physique des enfants et les joujoux. - lieux de vie des deux enfants, deux oppositions. La première concerne la nature : l’existence protégée par la grille « d’un vaste jardin

sauce de vinaigre » « sardines »… Son portrait moral est aussi caractérisé par à ce champs lexical «dans la mémoire de l’homme» «titube» , scène pathétique. souffrance de l’homme (répétition de dur «œuf dur », « ca ne peut pas durer » « ca dur ») point de vue de l’homme, nous sommes plongés dans ses pensées, sa souffrance, son obsession. * La tension jusqu’au crime atmosphère de tension ascendante : colère de l’homme palpable l.21 « il remue doucement la machoire » et « il ne peut rien contre

ponctuation marquant la pause dans le discours : le point, la virgule, le point virgule, les deux points. Elle se substitue aux mots de liaison comme les conjonctions de coordination et contribue donc à rendre le discours plus fluide, plus lié, plus rapide (plus direct, comme la parole ?) aussi puisqu’elle se passe de mots encombrants. Mais surtout, la ponctuation est ici éminemment expressive par l’emploi qu’elle fait des points d’interrogation et d’exclamation (§ 20). Ainsi, les questions « Avez-vous de

aucun il lui demande en réalité son avis, elle n’a pas le choix. * Pour continuer il exprime son désir de vouloir faire ses propres choix et de ne plus dépendre de sa mère ainsi commence à naître son avis de pouvoir et de domination : « Ce n’est point par leurs choix que je me détermine ». * On peut continuer sur le fait qu’il se flatte et s’élève : « Je vous nommerai, madame, un autre nom/ Si j’en avais au-dessus de Néron » dans cette même idée il pense que Junie ne peut être aimé que par lui

alexandrin. G On remarque que le poème alterne les rimes féminines et les rimes masculines. Ce sont des rimes croisées et riches. La ponctuation est peu présente au début du poème mais on remarque, petit à petit, l’apparition de nombreux point d’exclamation et point d’interrogation. Il y a des enjambements en chaque fin de strophe. On retrouve également de nombreuse figure de styles telles que des apostrophes (vers 5-21-49), des répétitions (vers 26-33), une énumération (vers 45), des personnifications

possibilité. L’espoir du poète dans cette relation est souligné par le point d’exclamation au vers 8. La conjonction de coordination « mais » au début de 3e strophe introduit l’opposition par rapport au désir du poète. Tout n’a été qu’un moment fugace. Les termes « adieu, il a fui » montrent que rien ne sera possible que tout n’a été qu’un rêve. Les assonances en « i » dans « finie, lui, fille, harmonie, fui » peuvent traduire d’un point de vue sonore la tristesse que ressent le poète car il n’a pu établir

idéologie (= étranger et dangereux), nombre d’attentats commis Terroristes dangereux, dépourvus de toute humanité, qui n’ont aucun point commun avec les " vrais " Français. - gros titres, placés en haut et en bas de l’affiche : en haut phrase nominale interrogative, écrite en blanc. en bas , phrase nominale exclamative, écrite en rouge, coupée en deux par le point d’exclamation, dont la seconde partie (" l’armée du crime ") est justifiée par le montage et la disposition des photos. Gros titre en

situation et d’émotion ( avec la métaphore « fugitive beauté ») Les vers 9 à 12 expriment le regret et la déception du narrateur, après une perte qu’il devine définitive « jamais peut-être ». La ponctuation y est très expressive avec de nombreux point d’exclamation qui traduisent les émotions du poètes et le bouleversement qu’il ressent. De plus il pose une question rhétorique d’espoir à la femme «Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? » Cependant, c’est au moment où la jeune femme disparait que

|=> permet à l'énonciateur d'exprimer un sentiment ou une |=> ah ! oh ! ouf ! hein ?! | | |émotion ; elle est souvent suivie d'un point d'exclamation ou| | | |d'un point d'interrogation. | |