Points Communs Et Spécificités Des Régimes Totalitaires

de troubles matériels .................................................................................................... 8 B - Une absence de prise en compte des particularités de la liberté de réunion ............................... 9 1 - Un régime particulièrement protecteur ..................................................................................... 9 2 - L’existence de moyens moins restrictifs de liberté .................................................................... 9 CE

politique signifie le pouvoir dans la cité et il se manifeste par des relations de commandements et d’obéissance entre ceux qui décident et les individus auxquels les décisions s’appliquent. Le pouvoir politique a donc normalement la charge du bien commun et, au service dès cette mission, il commande à l’ensemble du groupe social. Il faut, pour qu’il puisse se maintenir, que le pouvoir politique soit légitime, c'est-à-dire un pouvoir qui repose sur le consentement des membres du groupe. Le pouvoir

interprétations marxistes homogénéisantes (classes sociales) et la vision utopique de l'idéal démocratique (régulation par la citoyenneté participative). Leur "péché originel" provient de l'affichage d'un désenchantement du politique à une période où les régimes autoritaires s'imposent un peu partout dans l'Europe occidentale. De plus, ces théoriciens, à l'instar de Machiavel, annoncent le caractère incontournable du pouvoir politique. Cependant, dès ces prémisses, la théorie des élites connaît des divergences

totalitarisme (pensée unique) 1er régime totalitaire qui découle de Rousseau: la Terreur (Robespierre fonde un régime qui est orienté sur le culte d'un être suprême, il y a une vérité unique: tous ceux qui ne pensent pas comme lui sont exécutés, Robespierre a éliminé physiquement la minorité) Qu'est-ce qu'un peuple, qu'est-ce qu'une nation? Un peuple est un ensemble d'individus. Une nation est composée de personnes qui estiment avoir un passé commun et envisagent un futur commun. Une nation peut être définie

de l'homme moderne qui intervient souvent dans nos discussions, au point qu'un militant d'AC! voulait me convaincre qu'il y avait "tout" dans ce livre ! Ce que je ne crois pas mais il est certes indispensable, et d'abord pour relativiser ce qui semble si récent de la confusion des domaines public et privé ou des malheurs de l'individu (quoique les Français seraient doués pour la futilité des "petits bonheurs" 92). Bien que d'un point de vue classiquement aristocratique, il est utile aussi pour combattre

culture, puisqu’elles ont toutes des bases presque identiques. On pourrait dire qu’il y a une nation grecque, mais plusieurs Etats en son sein. A Rome, on ne parle toujours pas d’Etat, mais de respublica. Cependant, ce terme a servi à désigner un régime politique qui a gouverné Rome pendant un temps : la République. On y découvre que la chose publique est distincte des gouvernants. L’Etat, ce n’est pas la population, ni le gouvernant. La chose publique est donc au-dessus des gouvernants et en est

nationaux comme aux étrangers. Pour que l’État fonctionne et se maintienne, l'unité de la population nationale doit résulter d'une certaine harmonie et/ou homogénéité entre l'ensemble de ses membres : Des caractéristiques communes comme la langue, l'ethnie, l'histoire commune, par exemple aident à préserver cette unité nationale. Cependant, de nombreux États se trouvent être fondés sur une diversité plus ou moins contrastées de populations : pluralité de langues, d'ethnies, de religions, d'économies

L’image est le langage commun de l'humanité. Elle apparaît sur les voûtes des grottes préhistoriques bien avant que l'homme songe à édifier des temples et des tombeaux. Des millénaires la séparent de l'écriture, projection abstraite de la pensée. L'image abolit le temps et l'espace. Elle est lecture instantanée et présence immédiate du monde. L’image est alors le moyen de diffuser une information, privilégié des médias modernes dont l’objectif est d’atteindre une large audience. Le mal, en opposition

lieu (Sarajevo 1992-1995) ; un acte terroriste (le 11 septembre 2001) Thème 3 - Le siècle des totalitarismes (10-11 heures) Questions Mise en œuvre Genèse et affirmation des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) - Les régimes totalitaires dans l'entre-deux-guerres : genèse, points communs et spécificités - Les totalitarismes face aux démocraties dans les années 1930 La fin des totalitarismes - La dénazification de l'Allemagne et le procès de Nuremberg - La sortie progressive du

conception légitimatoire jus-naturaliste 1. Le jus-naturalisme classique consacre théoriquement la légitimité à base souverainiste, donc l'incorporation. Le corps public est doté, avec l'acte de son institution par les contractants libres, d'un esprit commun (la volonté générale), représentant la source de la souveraineté. La personne artificiellement créée - la personne politique - a une existence palpable au-dessus des existences particulières: c'est un Dieu artificiel, création humaine. 2. Les lois