Points de suspension

les cris de révolte contre différentes formes d’oppression et c’est ce que nous allons justifier. Dans la pièce de théâtre, on peut voir la colère d’Hélène par une ponctuation expressive : abondance d’exclamations, d’interrogations et de points de suspension « Tiens, lis ! », « Et alors ? Drancy ou ailleurs… C’est un papier non ? ». Léon ne veut pas qu’on parle et que l’on publie les souffrances des juifs (champ lexical du silence). Il souhaite évacuer un passé douloureux et il éprouve comme un

La ponctuation L’utilisation de la virgule, du point, du point d’interrogation, du point d’exclamation, des points de suspension, du deux-points, du point-virgule, des guillemets, du tiret et des parenthèses. La virgule Elle sert à juxtaposer des phrases syntaxiques ou des mots ou groupes de mots de même fonction grammaticale. Ex: Il vous faut partir, voyager, visiter, rencontrer de nouvelles personnes… La virgule Elle détache un complément de phrase déplacé. Ce complément de phrase est suivi

(L11 L14) présenté immense et ténébreux semble impressionnant. François est étonné de l’assurance du pas qu’il y entend. Il est étonné quand il découvre le personnage. 3) Pour le lecteur, le personnage semble effronté et désinvolte - L23 les points de suspension suggèrent l'ébahissement de François devant une action inattendue - L25 le choix du discourt direct rompt la narration et montre qu’ Augustin n’en a rien à faire. - L30 L'interrogation rabaisse François alors qu’Augustin ne le connait pas

ainsi fortement entrecoupé d'éclats dus à une trop vive émotion. Les alexandrins sont disloqués sous le poids de l'émotion mal contenue de Salluste. Ce manque de grandeur dans l'expression se traduit pas la ponctuation : tirets, exclamations, points de suspension viennent toujours arrêter l'expression. Les exemples sont très nombreux, surtout dans les premiers vers. On compte pas moins de huit ruptures entre les vers 3 et 9 (soit 7 vers).   Le vocabulaire employé par Salluste manque également

détachement face au réel qui lui vaut cet écart, Céline sacrifie tout pour laisser couler son lyrisme, sans entrave. Tout doit passer par le corps, y être emporté et chavirer dans le « métro émotif », sur les rails que sont ses trois points de suspension, inéluctables. Cet élément de la stylistique célinienne a souvent été attribué à un manque de vocabulaire, une incapacité de terminer ses phrases. Voilà, en fait, un exemple de l’explosion du style filé hérité de la renaissance et académisé

humaines : - L’auteur utilise un monologue, pour donner un mouvement au texte, il utilise des verbes d’action : « Courir, arriver, ira, voir », il accentue ce mouvement par l’utilisation du point d’exclamation : « Regardez les courir ! ». On remarque aussi que l’auteur emploie à deux reprises des points de suspension : « Ils sont si pressés d’y arriver… » Ce qui invite le lecteur à la réflexion. La tonalité employée par monsieur Bark est ironique : «Ils sont si pressés d’y arriver…Et arriver où, je

mort…Alors…alors…il va donc falloir que je me tue, moi!...» (p.86) Explication 2.2 (+ procédé) : Le personnage croit, à la fin de la nouvelle, qu’il doit mettre fin à ses jours pour que les manifestations du Horla cessent. Maupassant utilise les points de suspension dans la citation citée ci-haut et ceux-ci peuvent représenter l’hésitation du personnage et ses craintes face à ce qui va arriver. Mini-conclusion 2 : Les différentes manifestations de la créature ont conduits le personnage à la folie.

montre la didascalie « criant » (l-61). D'abord révoltée à cause de ce papier, Hélène use beaucoup de la ponctuation expressive dans ses propos :  « Mort à Drancy ! Mort à Drancy ! » (l-61) ; ensuite « Lis jusqu'au bout ! » (l-53) ; enfin les points de suspension dans la réplique « Pourquoi ?... » (l-78) vont trahir les sentiments d'Hélène qui est désespérée et alarmée. Elle insulte grâce à l'oxymore « Pauvre idiot » (l-64) son mari qui n'a pas l'air de la comprendre. Néanmoins, cette extrait montre

envisager... Non, il n’est pas possible qu’elle ait délibérément voulu me laisser à mon père. » Nous voyons qu’elle cherche pourquoi sa mère veut l’envoyer chez son père elle ne comprend pas et cherche la vraie raison de cette décision. Avec les points de suspension on remarque une certaine hésitation, réflexion de la part de l’auteure ce qui rend tout de suite plus réel. Nous ressentons ainsi son malaise à exprimer le fait que sa mère va la laisser chez son père. De plus, nous pouvons constater que

- Dora : « il y a trop de sang, trop de dure violence » - « flamme de la vengeance » ✓ Champ lexical de l’obligation : « il faut que » répété : martèlement pour se convaincre ? pour se donner du courage ? ✓ Ponctuation : les points de suspension peuvent dire de manière tacite l’horreur de sa prise de conscience (on l’a dit : K. est un personnage qui est tourné du coté de la vie, et là il est dans l’obligation d’être du coté du meurtre >> insupportable pour lui) ✓ Toutes les répliques