Points de suspension

Il s’agit ici d’un sonnet, forme poétique en vers (versifiée) constituée de deux quatrains (strophes de quatre vers) et de deux tercets (strophe de trois vers). On dit souvent que le dernier vers ou les deux derniers vers du poème constituent la pointe, le "concetto", l’aboutissement ultime du sens du texte, là où la vraie signification émerge, pleinement. Nous verrons comment le poète donne à cette rencontre la forme-même de l’oxymore, la conciliation des contraires (par exemple l’expression

Ainsi, ces trois scènes de séparation de Racine, Schmitt et Duras utilisent la ponctuation afin de mieux faire ressentir au lecteur les émotions éprouvées par les divers personnages au cours des scènes. Les trois textes sont marqués par les points de suspension, mais c'est tout de même Marguerite Duras qui aura employé le plus cette méthode :

signe de camaraderie 2) Les signes implicites d’une situation embarrassée * Le jeu des pronoms : « on », « je », « il » pour parler de lui Discours indirect libre, discours direct Malaise de Riquet, embarras, confusion * Les points de suspension Riquet parle de lui-même. Vides, Aurélien ne répond pas. II°) Une barrière entre les deux 1) L’opposition sociale Milieu Langage Vêtement 2) La prise de conscience de leur différence A partir de quel moment y a-t-il une

qui pourront appuyer directement ou non le point de vue retenu : présence d'un champ lexical du patriotisme : « patrie », « peuple », « France, Alsace », « Vive la France ». répétition (martèlement) : « France, Alsace, France, Alsace ». (l. 47) injonction : « il fallait la garder entre nous et ne jamais l'oublier » (l. 39) présence de points d'exclamation pour signifier la situation fort émotive (l. 9-16, par exemple) et présence des points de suspension pour signifier le sous-entendu et l'interruption

de lassitude, comme si le fait d'avoir parcouru toute sa vie avait épuisé Figaro. Rôle des « ! », « ? », « . » - Lyrisme de l'apostrophe «Ô bizarre suite d'événements !» (l. 91) - Le doute marqué par les points d'interrogation : Comment ? Pourquoi ? Qui ? (l. 91-92) - Points de suspension très symboliques (l. 106 à 108) qui montrent que Figaro se sent trahit + détresse de «Suzon, Suzon, Suzon !» (l.106-107) Ton grandiloquent, à travers des expressions que l'on pourrait qualifier d'hyperboles

................................................. 3 2. Éléments de présentation matérielle ................................................................. 3 3. Les citations, l’appel de notes et les symboles (crochets, parenthèses, points de suspension) ................................................. 5 4. Les notes et les abréviations (Ibid., op. cit., id.)................................................. 5 5. Bibliographie.........................................................

jhv gvbdchvbn dfgv dfbv fgbv cfgbvbv drytfguhjk La pluie..... Parfois Ondée ou parfois Grêle Je navigue au grès des Saisons Larmes déversées par le ciel Mon cœur est comme en suspension... Je navigue au grès des saisons J’ai le plus tendre des amants Mon cœur est comme en suspension L’Autan en emporte le vent... J’ai le plus tendre des amants J’aime les rafales de ses baisers L’Autan en emporte le vent Nuages à mes pieds déposés... J’aime les

donnerai cet anneau si tu acceptes.», elle donnerai même son anneau en or au garde pourqu’il accepte de la remettre a quelqu’un. La solitude est omniprésente, dès la première réplique il y a des points de suspension et «Toute seule», Antigone se sent seule malgré la présence du garde. Les points de suspension marquent les soupirs et la répétition de seule a un effet d’insistance. Antigone compare même sa situation à celle des animaux en disant que la leur est mieux puisqu’ils ne sont pas seuls «Deux

lui-même le bras car il croit que c’est son voleur ce qui traduit sa déraison. Les points de suspension traduisent son temps de réaction avant qu’il ne s’aperçoive que c’est lui. Son trouble lui en fait même perdre ses bonnes manières quand il s’insulte lui-même pensant que c’est son voleur avec « coquin ». Paranoïa Harpagon semble en vouloir à la terre entière L14-15 Relation logique entre les deux propositions avec le point virgule Ici, Molière a peut-être laissé un indice pour indiquer le coupable car

cependant le romantisme quand cela lui est nécessaire : « Et cependant..., aujourd'hui..., je ne sais quelle force encore m'a poussé vers vous ! Car on ne lutte point contre le ciel, on ne résiste point au sourire des anges ! on se laisse entraîner par ce qui est beau, charmant, adorable ! » L'emploi des points de suspension et des points d'exclamation donne vie au texte, l'animent et le font ressentir plus fort. Le champs lexical du divin finit de donner à ses phrases un côté irrésistiblement charmeur