Politique D Autofinancement

jugés rentables. Il existe des sources très diverses concernant l’origine des moyens servant à financer l’entreprise. Mais toutes comportent un coût dont le calcul permet de guider le choix des dirigeants. D’autre part, le choix d’une politique de financement a une incidence sur la structure du capital de l’entreprise. Ainsi, si l’on tient compte de la rentabilité requise par les apporteurs de fonds propres et du coût de la dette, une structure de financement optimale serait celle qui

entreprise, sa politique d'endettement et de refinancement. De ce qui précède nous avons entrepris notre analyse financière cas de MAROC TELECOM en vue de porter un jugement sur sa santé financière. «L'analyse financière a souvent pour objectif l'étude du passé pour diagnostiquer le présent et prévoir l'avenir. » Pour le cas de MAROC TELECOM, une question mérite d'être posée dans le cadre de notre travail : La rentabilité de MAROC TELECOM est- elle suffisante pour assurer son autofinancement ? ESIG

de production. Une fois mis en place, ils permettront à l'entreprise de produire davantage ou dans de meilleures conditions, ce qui va lui permettre de dégager des profits supplémentaires. Une entreprise peut financer ses investissements par autofinancement, sans faire appel à des capitaux extérieurs. Cette solution présente pour l'entreprise l'avantage de la rendre indépendante des tiers, mais elle a pour inconvénient majeur de limiter l'entreprise dans ses possibilités d'investissement. C'est

B) la politique monétaire et ses instruments : Puisque la monnaie sert à financer l’économie et que l’Etat est le garant de la création monétaire, cela introduit une possibilité de création monétaire en fonction d’objectif retenu. La politique monétaire désigne le contrôle de la masse monétaire et de la création monétaire pour gérer leurs effets la croissance et sur l’inflation. La politique implique principalement de contrôler la masse monétaire qui circule dans une économie cad de contrôler

police, justice. * Des idées libérales : * Laisser faire le marché, laissé jouer les mécanismes de marché (déréglementation, privatisation) * Laisser passer, la libre circulation de marchandises entre Etat, pas de protectionnisme. * Politique de l’offre, stimuler la production en insistant sur l’investissement Le deuxième courant : le courant marxiste ------------------------------------------------- Karl Marx (1818-1883) Marx, fondateur de la lutte des classes, privilégie la théorie

dividendes ) Créanciers de l’entreprise (Banques) Intérêts Collectivités territoriales, Etat Impôts, taxes , cotisations sociales Entreprise Fraction des bénéfices (réserves) entre autre sert au financement de nouveaux investissements (autofinancement) 9 L’entreprise - Réalité économique La répartition des richesses créées par l’entreprise (Insee 2014) 10 5 14/10/2014 Partage de la VA en France 11 Niveau des dépenses publiques en France : comparaison européenne France : 57% du PIB

Mauroy en 1981 : les entreprises n'ont pas cru qu'une politique keynésienne, à contre-courant de ce que faisaient les autres pays, puisse durer, elles n'ont pas investi, les français ont acheté des produits étrangers, le déficit extérieur a obligé à l'arrêt de la politique. L'investissement ne s'est évidemment pas amélioré dans la période suivante où la consommation a stagné. (document 6) Les années 80-90 sont celles du chômage de masse et des politiques de rigueur qui ont limité la croissance des revenus

mieux que l’on puisse atteindre, mais ce n’est pas le mieux qu’on puisse imaginer L’économie de divise en différentes branches : ⇨ Macroéconomie, au niveau de la nation ⇨ Microéconomie = comportements individuels L’économie est devenue politique : on sait où on veut aller, mais pas d’où on part, il existe différents avis. Adam Smith (1723-1790) : Libéralisme, bien-être, bonheur = le bien-être inclus la répartition des richesses produites à partir de ressources rares, limitées.

ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE DE L’ ENTREPRISE MAROCAINE… … … … … … … … . LE FINANCEMENT AU MAROC… … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … ... A/ Le financement par fonds propres… … … … … … … … … … … … … … … … … … … ..… .… … … … .. 1, L’ autofinancement… … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … .. 2, L’ augmentation de capital… … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … . 3, Les quasi-fonds propres… … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … … . a/

Amortissement : investissement de remplacement. Autofinancement : mode de financement par les ressources propres des entreprises. Autonomation : autonomie des salariés et automation. Brevet : favorise l'institution ( pour protéger l'inventeur pendant un certain temps pour ne pas qu'il soit copié. Branche : regroupe des entreprises ou fraction d'entreprise qui exercent la même activité. Capital humain : ensemble des compétences acquises a l'école (de la maternelle a l'université) et plus