Polyphonie

ne dissocie pas la forme du contenu d’un roman : « La forme artistique, c’est la forme d’un contenu, mais entièrement réalisée dans le matériau, et comme soudé à lui ». Dans un roman, plusieurs voix qui s’unissent et s’harmonisent : on parle de polyphonie, de dialogisme (en tant qu’elles se répondent). 5 grands types de voix : La narration directe littéraire, La narration orale traditionnelle, La narration écrite semi-littéraire et courante, Les diverses formes littéraires (écrits philosophiques

Profil, ...) - réalisation de documents critiques personnels (fiches, exposés, synthèses, ...)   Axes d'étude retenus : - Une oeuvre de circonstance qui atteint l'universalité : engagement et satire - Une oeuvre complexe : satura latine et polyphonie   Lectures méthodiques : 1. Napoléon III 1. V, 13 "L'expiation" [épopée et parodie - la caricature de Napoléon Ier] 2. III, 9 "Joyeuse vie" [opposition misère et luxe - satire d'un régime inique] 2. Le peuple 3. II, 3 "Souvenir de la nuit

possibilités sont infinies. Toutefois, cet infini artistique peut engendrer une dénaturation artistique dans la mesure où les metteurs en scène et les acteurs doivent épouser leurs sensibilités et leur langage aux volontés de l’auteur. a) Polyphonie Informationnelle (ce sont les nouvelles infos que l’écrit n’apporte pas, ce que les yeux et l’oreille permettent)  : vers plus de réalisme et de sens ? J’ai pris votre texte et j’ai rajouté d’autres choses : Les divisions qui se font voir

narrateur et du lecteur, et celui des autres personnages. L’auteur opère un brouillage des repères énonciatifs, en passant sans cesse d’un niveau à l’autre. Mais de nouveau, il s’agit d’un choix délibéré, car les enjeux de la polyphonie sont nombreux. Tout d’abord, la polyphonie créée une dynamique au récit et évite la monotonie. De plus, en multipliant les discours, Diderot met en évidence la diversité des points de vue et en appelle à l’esprit critique du lecteur. Il fait entendre plusieurs voix sur

à travers une description d’abord topographique puis constituée d’un portrait physique et moral de l’hôte. Le narrateur est ici hétérodiégétique, mais le texte recèle des trois focalisations, omnisciente, interne et externe, conduisant à une polyphonie. Le thème de cet extrait, contenu dans les deux descriptions successives qui le constituent, est l’aristocratie. Nous pouvons donc nous demander comment ce thème est décrit. Nous nous appuierons, pour tenter de le déterminer, sur la description

de droite. Tout se passe autour de la nourriture et dans une opulence démesurée qui rappelle bien sûr l’esthétique rabelaisienne mais aussi quelques scènes de peintres flamands, tel Brauwer. 2- La polyphonie Cette impression de réunion, de communion autour de l’oie est renforcée par la polyphonie du texte. La narration est ainsi superposée à du discours indirect libre à un point qu’il est parfois difficile de déterminer qui prend en charge le récit, de qui il émane. Ainsi, Gervaise est peut-être

nous faire accéder à une réalité plus profonde et subtile (psychologie). I. Polyphonie complexe qui nous fait entendre la voix de différents personnages aux contours difficilement identifiable. II. Ces sous conversations qui dévoilent les mouvements souterrains de la conscience. III. Le drame intime : rapport de force, désir d’être aimé, impossibilité d’un rapport authentique à soi et aux autres. I.a. polyphonie complexe : plusieurs voix males identifiables, on est déstabilisé car le repère

de nous faire accéder à une réalité plus profonde et subtile (psychologie). I. Polyphonie complexe qui nous fait entendre la voix de différents personnages aux contours difficilement identifiable. II. Ces sous conversations qui dévoilent les mouvements souterrains de la conscience. III. Le drame intime : rapport de force, désir d’être aimé, impossibilité d’un rapport authentique à soi et aux autres. I.a. polyphonie complexe : plusieurs voix males identifiables, on est déstabilisé car le repère

brune » + « origine andalous » exotiques, belles étrangères · « créole » + « négresse » + « îles » renvoient aux îles = Clichés romanesques · « elle avait ramené des îles cette négresse avec elle ?» interrogation indirecte au discours indirect libre = polyphonie discordante (le narrateur et le perso ne disent pas la même chose) · Le perso se pense amoureux d’elle parce qu’elle est exotique · Le narrateur lui dit que c’est parce qu’il est séduit par un certain milieu (elle est riche car elle

mélodique »; cette section joue une polyphonie où doit dominer la voix de trompette qui joue la mélodie (chant, lead) les autres instruments ayant des rôles de contrepoint (clarinette, saxo) et de soutien (trombone). L’autre section est la section rythmique (batterie, banjo, basse à vent ou à cordes, puis plus tard, piano) dont le rôle est d’assurer le rythme et la trame harmonique. Le style Nouvelle Orléans est donc essentiellement caractérisé par cette polyphonie mélodique et le rythme (beat) particulier