Polypnée

vocales du côté de l’épanchement. Un frottement pleural peut être entendu en cas d’épanchement inflammatoire de faible abondance. Les épanchements abondants sont souvent mal tolérés et se traduisent par une insuffisance respiratoire aiguë associant une polypnée (> 30/min), une cyanose, une contraction des scalènes une tachycardie > 120/min et turgescence des jugulaires. Ils justifient l’évacuation ou le drainage de l’épanchement sans délai. La radiographie thoracique de face et de profil montre une opacité

associée. 4. Des signes digestifs avec nausées, voire vomissements et douleurs abdominales sont fréquents. 5. Enfin, on note l’absence de signe de cétose : pas d’odeur acétonique de l’haleine, et l’absence d’acidose métabolique sévère : pas de polypnée de Kussmaul. 6. Au lit du malade, on constate à l’aide des bandelettes réactives, une cétonurie absente ou discrète (des traces ou une croix d’acétone n’éliminent pas le diagnostic !), une glycosurie massive, et une glycémie capillaire au bout

existe une soif majeur avec une polyurie. Des signes de déshydratation apparaissent avec pli cutanée, langue sèche (rôti), et surtout somnolence pouvant aboutir au coma. La cétose avec acidose se manifeste par une odeur cétonique de l’haleine et une polypnée bruyante. Les signes biologiques et les hyperglycémies massives, montrent une baisse des bicarbonates et du PH. Il existe aussi une perte de sodium et de potassium. UMC : Assurance complémentaire de santé. Prend en charge le remboursement de

) – Noter la présence de: * Fièvre, frissons * Râles diffus et ronflants / efficacité des efforts de toux / toux productive /nécessité d’aspirations trachéo-bronchiques * D+ pleurale , ! aux signes d’OAP * Tachycardie, polypnée * Dyspnée prononcée * Cyanose ; prendre saturation 25 Hémorragies gastro-intestinales L’hypersécrétion de sucs gastriques apparaissent pendant les périodes de stress – Noter la présence de: D+ gastriques , sang dans les

post-op pour tout patient dialysé 7. EMBOLIE GAZEUSE Etiologies : • Entrée d'air dans le CEC • Débranchement non sécurisé (retrait du détecteur d'air) • Débulage, prise d'air sur la tubulure veineuse Clinique : • Polypnée • Cyanose • asphyxie • troubles du rythme Conduite à tenir : • Arrêt immédiat de l'UF • Clamper les lignes artérielles et veineuses • Patient en déclive +++ • Oxygénothérapie • Prévenir médecin et SAMU pour

utilisée dans les formes aiguës ou subaiguës sévères, ne sont pas consensuelles et restent imprécises. - - - - - - - - - - - - ANNEXE 5 : PID d’origine néoplasique Lymphangite carcinomateuse Elle se traduit par une toux sèche rebelle et une polypnée, d’apparition progressive. Les cancers le plus fréquemment en cause sont les cancers bronchique, mammaire, gastrique et plus rarement pancréatique ou prostatique. Le diagnostic est évoqué sur les ATCD de tumeur connue, sur la radiographie de thorax

Fréquence ventilatoire 14 à 18 mouvements par minute, ventilation ample et régulière. Oxymétrie de pouls : (Vérifier la bonne mise en place du capteur) chez une personne normale de 96 à 100%. De 90 à 95%, on parle d'hypoxie légère. Bradypnée, polypnée, dyspnée, sueurs profuses, cyanose, tirage, bruits (sifflements, ronflements gargouillis) Désaturation (Satu. O² < .. %) d'hypoxie sévère FFOONNCCTTIIOONN RREENNAALLEE Rôle propre Normalité Signes d'alerte Surveillance de la diurèse

..................................................................................... 27 LA DYSPNEE: ...........................................................................................................................................28 LA POLYPNEE: .........................................................................................................................................29 LA BRADYPNEE: ..........................................................................................

|20 |Insuffisance rénale | |21 |Ictère, ascite, coma progressif |21 |Insuffisance hépatique | |22 |Cyanose, polypnée, coma progressif |22 |Insuffisance respiratoire | |23 |Coma , prise de la température |23 |Hyper et hypothermie

viscérale surajoutée): - Nicardipine (Loxen®) : 1 à 2 mg en IVD en bolus, à répéter toutes les 5 à 10 mn si besoin ou en seringue électrique à 1mg/h. ♦ Détresse vitale : - Etat de choc (hypotension artérielle, tachycardie) - Oedème aigu du poumon (polypnée > 30 cycles/minute, sueurs, cyanose, râles crépitants, SaO2 < 90 %) -Trouble de la conscience, coma (Glasgow 39° C Hypersudation Vomissement Priapisme au moins 1 signe de gravité Sensibilisation Education Surveiller jusqu’à un T.P.P*= 4h Surveiller