Polyptote

adhère : la loyauté et son amour. Nous voyons cela dans son monologue où elle se rend compte qu’elle considère ses actes comme de la tromperie, ce qui fait d’elle ni digne de son mari, le Prince de Clèves, ni de son amant, le duc de Nemours. La polyptote dans « qu’elle trompait le mari qui méritait le moins du monde d’être trompé » souligne se sentiment de culpabilité introduit auparavant par une insistance sur le processus réflexif qu’elle entreprend avec la répétition à deux reprises de « quand

autre si l’amant se faisait trop attendre ? Par ce discours ambivalent, le sujet développe le cliché de la femme légère, lunatique, qui sous des dehors chastes, appelle à l’acte de chair : c’est cet acte qui se cache vraisemblablement derrière le polyptote de l’amour : « bien-aimée » (v.4), « Ami » (v.9), « amoureuse » (v.10), « amiable » (v.12). [CONCLUSION] En attribuant symboliquement à l’homme le titre de maître, l’instance lyrique féminine inverse le rapport de domination traditionnel. Dans

compléments circonstanciels de temps et de manière au vers 2 « trois jours » et « amèrement » donne à voir que le poète est inconsolable après la perte de son enfant. La souffrance liée au chagrin est également mise en valeur aux vers 4 à travers le polyptote « souffert » « souffrance ». Cet effet de répétition insiste là aussi sur la douleur extrême que vit le poète. b) La transformation poétique d’une expérience personnelle en une expérience collective. - Si le poète a principalement recours

dans les couloirs du palais : les pts de suspension (2) renforcent la tension dramatique avec le matricide qui se prépare en coulisse et que tait Électre (horreur devant l’acte à commettre ? hésitation ? remords ?…). Interjection + exclamation + polyptote du verbe « vouloir » + expression de la nécessité avec verbe impersonnel « il faut que » : Électre est indécise et semble devoir s’autopersuader de la nécessité du meurtre (ce que montre bien le glissement de l’indicatif « veux » au subjonctif « veuille »

Aragon, Aurélien, 1944, incipit. Éléments l’étude linéaire.Aragon, Aurélien, 1944, incipit. Éléments pour l’étude linéaire.1. Lecture – Compréhension de l’extrait.Résumé du texte pour quelqu’un qui ne l’aurait pas lu.De qui ? De quoi ? Où ?Quand ? On note également ses impressions de lecture. Quel effet le narrateur a-t-il cherché à provoquer en moi (en tant que lecteur) ?Enfin, on essaie de déterminer les enjeux, le but de cet extrait.l’extrait à l’étude parle-t-il ?On peut ajouter des questions

un être d’exception amené à donner par son exemple une leçon au peuple. Il y a quand même de la compassion : registre pathétique, champ lexical du deuil et du chagrin. Pour rendre sa mort plus émouvante, il recourt à un registre tragique. Dans le polyptote sur le verbe mourir ligne 11 « Madame se meurt ! Madame est morte ! », on passe du présent au passé simple ce qui marque l’accomplissement de l’action. Par cette double exclamation Bossuet restitue la brièveté et la soudaineté de l’action. L’éloge

son maitre pousse l'homme à renoncer la vie, comment la vertue qui correspond à la plus grande valeur morale de l'homme, concept stoïciens qui génère la maîtrise de soi, de ces douleurs, de ces passion... Ne le pourra tel pas, a fortiori ? Le polyptote (l 123) prend alors tout son sens: si, dans "contemnatur, "ex frivolis causis" il ne s'agit que de maipriser la vie par incapacité a y faire face " contemptionem" équivaut pour le philosophe a la tenir pour négligeable, c'est à dire à accepter pour

effet, à travers cette interrogation, l'auteur suscite chez le lecteur un effet d'attente. L'auteur continue de vouloir confirmer le caractère surnaturel de sa rencontre avec l'inconnue en soulignant l'intensité du regard de celle-ci à travers la polyptote du vers qui suit:"elle me regarda de ce regard suprême". La beauté de cette femme est indéniable comme le montre le présent de vérité générale utilisé dans le vers 6 :"Qui reste à la beauté quand nous en triomphons". Il réitère sa proposition, l'anaphore

dans cet extrait de texte est un personnage qui renferme en lui une profonde colère envers les européens. Il pense que ceux-là ne sont en réalité que des colonisateurs qui cherchent à réduire les tahitiens à l’esclavage. Pour cela il utilise un polyptote : « esclaves » / « esclavage », ainsi que le champs lexical de l’esclavage (« enchaîner », « assujettir », « t’obéissent », « nous asservir »). En outre, il qualifie les européens de « brigands ». Ce terme, désigne les personnes commettant des crimes

entrevoir. Les vers 1681 et 1682 sont en crescendo au niveau du rythme qui est découpé en 2,2,8 et 2,4,6 ; ce qui montre la menace grandissante envers Néron. Elle avait essayé de le faire changer avec Burrhus (vers 1583). Le vers 1692 possède une polyptote du mot « cruel » (et « cruelle » au féminin). Agrippine comprend que son fils sombre dans la folie meurtrière et qu’il la tuera tôt ou tard. Burrhus est paniqué par la situation dramatique de Néron, il l’explique à Agrippine. Les mots «