Polyptote

Section 1 Le début de la section commence avec Clov, le fils adoptif de Hamm. Il y a une polyptote du verbe « finir » qui peut se rapprocher du titre de la pièce « Fin de partie ». Cette polyptote est montrée sous forme de dégradation : Clov part d’une affirmation (« fini, c’est fini ») pour déboucher sur une probabilité (« ca va peut-être finir ») qui montre qu’il n’est pas certain que tout ça finisse. Quand il parle, il marque toujours un temps de pause, sûrement pour réfléchir à sa situation

un homme est attaqué, un porc mutilé. Dans ce point exactement nous allons proposer une approche stylistique divisée en quatres parties. Dans un premier temps nous allons étudier les figures de construction et notament la repétition lexicale, le polyptote, l’enumeration et à la fin l’épanode. Dans un deuxième temps nous allons analyser l’énonciation du texte et plus précisement la deixis. Après nous allons examiner les temps verbaux dans l’éxtrait donné. A la fin nous allons nous occuper de l’étude

demi-teinte a) Des apostrophes De nombreuses apostrophes forment un hymne à la diversité en France : - Prévert fait le tour des colonies : (voir surligné en bleu) - Autres immigrés (souligné en rouge) - « étranges étrangers » : polyptote et/ou paronomase + dimension ironique due à l’adjectif « étranges » -> regard populaire porté sur les immigrés. De plus, il est répété plusieurs fois dans le texte, c’est une sorte de refrain. - « cobayes des colonies » : apostrophe péjorative qui

une vérité. Pour raconter, il faut oublier. 3. Une structure signifiante Le premier paragraphe, où la fermière raconte « la longue histoire des longues années » est clairement parastatique ; les figures de la répétition y pullulent, anaphores et polyptotes. En revanche, le dialogue où le narrateur refuse de raconter est dynamique, puisqu’il permet de dégager une idée essentielle du récit. Paradoxalement, le témoignage se trouve donc associé à l’immobilisme, le silence (ou la rétention d’information)

donne à voir une scène d’une grande violence. En plus de la répétition à la rime du complément circonstanciel « sur le front de l’armée » (v.1 et 4), on relève le champ lexical du combat, avec la répétition du mot « obus » aux vers 4 et 5, et le polyptote « sanglant » et « sang », répété à trois reprises. Le verbe « mourir » apparait lui aussi plusieurs fois, avec une opposition entre le conditionnel du premier vers et le passage au présent au vers 21 : « si je meurs », qui rend le propos moins

Séance 5 : Lecture Linéaire 11L’extrait c’est un extrait de la dernière scène de la pièce car c’est là que la scène va s’arrêté. C’est un soliloque d’Antoine il n’y a quasiment que lui qui parle mais il parle à Louis. Mais les femmes sont présentes. C’est une logorrhée. Dans la scène 11 de la première partie il se tait « pour donner l’exemple » mais ici il va parler énormément alors que d’habitude il se tait. C’est resté sous-jacent depuis le début de la pièce mais c’est à partir de là que le conflit

rend compte que c’est une pièce qui sure plus de dix ans • Intrigue : repentir d’un vieillard à la recherche de son fils (Clindor) = réconciliation du père avec son fils qui doit passer par une réconciliation avec le théâtre • Réponse recherchée : polyptote v45-46 (« réponse » « répondre ») • Changement du 1er vers de la version de 1660 (frontière un peu floue entre l’ « art » et la « nature ») c) Le genre de la pièce est-il annoncé ? • Mis sur la piste de la comédie quand on apprend la situation du

la jeune fille 1) apparition inattendue : cf. pcomposé : la rencontre vient d’avoir lieu, nous sommes juste après l’action; identité mystérieuse ; elle = « la jeune fille » en apposition ce qui permet d’encadrer le vers «  a passé » : cf v. 12 polyptote ; verbe de mouvement  Jeune : folie, beauté 2 Vive et preste comme un oiseau : Adjectifs + Comparaison : qualités qui apparente la jf à l’oiseau avant même la comparaison ; idée de vivacité et de rapidité de la rencontre 3 À la main une fleur qui

semblable. « qui vivra verra » ou « tu parles, Charles » La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification = La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être humain. Polyptote = Une polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales d’un même mot, dans une phrase. «  Madame se meurt ! Madame est mort » ou « tel est pris qui croyait prendre ». Stichomythie = La stichomythie est la partie du dialogue, au théâtre, où les

de la famille et souhaite donc être respectueuse. Suzanne, elle, fait tout l’inverse. Elle vient remettre en cause le vouvoiement de Catherine sans doute car elle est la plus jeune et donc la moins attachée aux traditions, ceci est marqué par la polyptote : “Tu vas le vouvoyer toute la vie, ils vont se vouvoyer toujours ?”. Elle vient également nous montrer une certaine crise de l’adolescence et s’opposer à l’autorité d’Antoine, symbole de la famille, avec les nombreuses interjections et mots grossiers