Polyptote

mais ce qu’il n’a jamais vu… prodige (l.20-21) ». Le chiasme : « Ce que l’homme voit fréquemment ne l’étonne pas, même s’il en ignore la cause (l.19-20) // Mais si ce qu’il n’a jamais vu arrive, il pense que c’est un prodige (l.20-21) ». Le polyptote : « Contre (l.22) / Contrairement (l.22) ». L’hyperbole, soulignée par le présentatif : « Il n’y a rien… nature » (l.23). ● Il est croyant, comme l’attestent : Le champ lexical de la religion : « Dieu (l.12), sagesse, bon, ordinaire

Texte 1 : La scène de bal dans la Princesse de Clèves : Ce document est tiré de La Princesse de Clèves, roman classique publié de manière anonyme en 1678, par Madame de Lafayette, mettant en scène la passion impossible entre le duc de Nemours et la Princesse de Clèves au travers d’intrigues mêlant des considérations précieuses, moralistes et jansénistes.Le passage se situe dans la première partie du roman et relate la rencontre des deux protagonistes du roman, la princesse de Clèves et le duc de

la répétition "Passent les jours et passent les semaines/ Ni temps passé/ Ni les amours reviennent/ Sous le pont Mirabeau coule la Seine", ici écho entre les vers 45 et 49 + polyptote de "passer" x 4 + anaphore de la comparaison "comme passe" v.46 et 49 + répétition et mise en valeur à la rime de "heure" x 3, et du polyptote de "pleures" x 2- nombreuses connotations négatives : comparaison morbide v.46 + CL "pleures" x 2, "hostile" v.52, "seuls" v.56, angoisse du temps qui passe et insatisfaction

d’ailleurs également le premier à amorcer un combat à mort quand il dit « Je sens que dans cette guerre l’un de nous deux doit succomber ». Le Capitaine se montre également très hostile face à sa femme par l’utilisation du lexique de la colère et la polyptote « hais » « haine ». Il n’hésite pas non plus à montrer à sa femme qu’ils n’ont rien en commun avec le champ lexical de l’animal : « racial » « singe » et « espèces » en exposant qu’ils ne peuvent être issus de la même espèce afin de la blesser. Cette

le guérirai, parce que c’est mon métier ; ensuite le magistrat le fera pendre, parce que c’est le sien ». Parallélisme de construction (Hypozeuxe), répétition de « parce que » (connecteur logique) dans 2 propositions circonstancielles de cause, polyptote (« guérir », « guérirai », utilisation du présentatif « c’est » : tous ces procédés mettent en relief l’aspect logique de son énoncé, sa présentation de son opinion est simple et claire, il s’agit pour lui de montrer le caractère d’évidence que revêt

réciproque : "je crus voir une fée", "elle me regarda", "elle me regarda pour la seconde fois", "je vis venir". L'insistance sur le regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe regarder et le polyptote sur le verbe voir, vers 3 et vers 14. ( Définition de polyptote : forme de répétition par la reprise du même verbe à des personnes ou des temps différents, par la reprise du même nom ou adjectif à des genres différents. ) La même allitération en "v" unit le verbe voir ( c'est

Juste la fin du monde, pièce écrite en 1990, évoque le retour du fils prodige après une longue absence. Louis revient dans sa famille pour annoncer sa fin prochaine mais il repartira sans avoir pu dévoiler son secret. un critique a déclaré au sujet de la pièce : « il ne se passe rien. Les personnages parlent pour ne rien dire ». La répétition de l’adverbe « rien » semble paradoxale puisque l’essence même du théâtre repose sur une action. Peut on dire vraiment que juste la fin du monde est une pièce

Duras organise son texte autour de reprise de mots dans des phrases différentes, ce qui crée un fil conducteur à l'argumentation. La polyptote construite avec le verbe « changer », participe à la cohésion du premier paragraphe (« n'a pas changé » l.1 ; « n'est pas changé » l.6 ; « elle a changé » l.7 ; « a-t-il changé ? » l.9 ; « changement » l.9). Cette polyptote est déplacée et mise en fin de phrase, après une virgule, ce qui insiste donc sur l'importance du changement chez la femme. La présence

réciproque : "je crus voir une fée", "elle me regarda", "elle me regarda pour la seconde fois", "je vis venir". L'insistance sur le regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe regarder et le polyptote sur le verbe voir, vers 3 et vers 14. ( Définition de polyptote : forme de répétition par la reprise du même verbe à des personnes ou des temps différents, par la reprise du même nom ou adjectif à des genres différents. ) La même allitération en "v" unit le verbe voir ( c'est

rhétorique, ça marque également le lyrisme de ce passage. * Rostand utilise la polyptote du verbe « aimer » (= à partir d’un même radical)  v.1458 « De l’amour,… De l’amour » anaphore. « Amour » est le substantif de départ « Je t’aime » v. aimer conjugué 1434 « Amour » 1435 « lorsqu’on aime » 1433 « un amour noble » 1438 « je vous aime » 1444 « je t’aime » * Allitérations qui vont servir à la polyptote (en M) pour aiMer. 1408 « émoi », 1409 « moi », 1434 « crime, escrime », 1436-37