Polyptote

la maxime dit « qui partage vos biens aspire à votre mort », autrement dit les amis veulent la mort de leurs proches pour en fait accéder à leurs biens, rares sont les personnes qui se contentent de leur part sans vouloir la part des autres. La polyptote du verbe « outrager » démontre la manière dont Flaminius et Nicomède se parlent, ils s’offensent l’un à l’autre et se rejettent la faute. Nicomède, avec ironie prétend que Attale doit régner car Rome l’a résolue, « Attale a le cœur grand, l’esprit

La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes, modes, temps) d’un même mot, dans une phrase. Exemple dans l’Oraison funèbre d’Henriette-Anne d’Angleterre de Bossuet : « […] Madame se meurt ! Madame est

spécifique à Lagarce, avec l’emploi de figure de style tel que, l’aposiopèse, l’épanorthose ou polyptote. Par exemple, dans la première partie, scène 2, page 34, (dans l’extrait nommé « les rois de France »), Catherine point de vue extérieur à la famille étant l'épouse d’Antoine, explique à Louis, pourquoi son fils s'appelle aussi Louis. Dans cet extrait on y retrouve de nombreuses épanorthoses et polyptotes dans un monologue dense et sinueux. Il est composée de redites, de retours et d’interminables

réciproque : "je crus voir une fée", "elle me regarda", "elle me regarda pour la seconde fois", "je vis venir». L’insistance sur le regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe « regarder » et le polyptote sur le verbe « voir », vers 3 et vers 14. (Définition de polyptote : forme de répétition par la reprise du même verbe à des personnes ou des temps différents, par la reprise du même nom ou adjectif à des genres différents.) L’allitération en "v" unit le verbe voir (c’est à dire

les Alarmes, les Défiances » etc. → installation d'un atmosphère monstrueuse aux enfers. Hyperboles « abîme de ténèbres et de maux », « tourments horribles » Polyptote « tourments » / « tourmentés » Périphrase « ce triste séjour des ténèbres , de l'horreur et du désespoir » (= l'enfer) b) Dénonciation par le réaction du héros Polyptote « soulagé » / « soulagement » (quand il part) Comparaison hyperbolique « comme si on avait ôté une montagne de dessus la poitrine » (idem) Champ lexical de l’émotion

nous jouissons au quotidien. Le point de vue de l’auteur sur cette idée est on ne peut plus clair : Montaigne se pose en stoïcien. Il propose de vivre en accord avec la nature. Nous pouvons noter au passage un polyptote autour de la vie au travers des termes « vie » et « vivre », polyptote qui atteste du thème central de l’extrait du texte, à savoir les différents usages que l’on peut faire de la vie. Pour assoir sa position, Montaigne nous définit la vie. En effet, à la ligne 16, il introduit

ballades au bord du lac. A travers un point de vue subjectif, le narrateur arrive à nous communiquer le paysage qui s’offre à lui et à nous le faire imaginer, il y a donc une fonction émotive. Aussi, le texte, grâce à des figures de style comme des polyptotes (flux, reflux) et des allitérations (en « s »), rendent le texte poétique et esthétique. Ce texte parle dans un premier temps des ballades du narrateur puis dans un deuxième temps du regret de ces promenades passées et de la recherche d’un bonheur

TEXTE 1LA PRINCESSE DE CLEVES SCENE DU BALIntroduction : Cet extrait qui est issue de l’œuvre intégrale « La Princesse de Clèves » est écrit par Madame de La Fayette (1634-1693) est une romancière française de la période classique. Elle est connue pour ses romans psychologiques, qui mettent en scène la passion amoureuse et ses conséquences comme La Princesse de Clèves, qu’elle publie anonymement en 1678. Contant l’histoire tragique d’un amour impossible entre

voyant, il est spectateur de profession ; il ne fait rien de ce qu'un homme doit faire, il ne sait rien de ce qu'il doit savoir ; mais il a vu, dit-il, tout ce qu'on peut voir, et il n'aura point regret de mourir. Vocabulaire de la vue employé en polyptote Vocabulaire du lieu Le personnage assiste à une grande quantité d'événements publics Présence anaphorique des pronoms de 3e personne Il y a trois mouvements essentiels à retenir de ce texte. DÉFINITION Argument d'autorité L'argument d'autorité s'appuie

n'est pas ici actrice de la scène. Elle est d'abord spectatrice de la scène avec l'expression « je la vis » reprise par le polyptote « je n'ai jamais rien vu » avant d'être auditrice des discours prononcés par l'Eglise. Néanmoins, la description de la religieuse folle est l'occasion pour Suzanne de livrer au lecteur ses pensées profondes et ses réflexions sur l’Église. Polyptote avec « je la vis » puis « vu ». description des effets que cela provoque sur la spectatrice : champ lexical de la peur « la