Polysemie Des Verbes

où se succèdent les péripéties ( événement imprévu qui modifie le cours d’une action change le déroulement des choses ) Ce registre maintient le spectateur ou le lecteur dans un état d’attente (→ suspense). Narration rapide événement inattendus Verbes d’actions phrases ? Et ! Champ lexical de l’ émotion forte LE REGISTRE LYRIQUE Le registre lyrique est l’expression des états d’âme et des émotions : plainte, regret, nostalgie, joie, etc.Ce registre est très fréquent en poésie (→ poésie romantique

contre-rejet. - L’adverbe – par sa tonalité et sa signification – semble en opposition avec l’atmosphère joyeuse voire euphorie attendu après la mention des « chansons » et des « flûtes » ≈ hypallage2 qui anticipe le sort funeste. - L’adverbe – par sa polysémie poétique – superpose, mélange l’horizon d’attente (joie) et le drame déjà en marche depuis que le navire a quitté le port. 6 Devaient la reconduire au seuil de son amant. - Auxiliaire modal devoir qui énonce à la fois ce qui probable et ce qui

et les produits tirés du travail humain. Les premiers se "génèrent" par eux-mêmes ("nature" vient du latin nascere, "naître" : est naturel ce qui possède en lui sa propre génération) ; les seconds sont "produits" par une cause humaine (l'usage des verbes corrects importe beaucoup). L'opposition entre nature et machine paraît évidente : il n'existe pas de locomotive dans la nature ; et par ailleurs, les objets naturels atteignent une perfection très supérieure à tout ce que l'industrie humaine

différents niveaux de langue), aux conventions sociales. Les italiques et les parenthèses du sous-titre signalent sans doute l'ironie du poète et son détachement des convenances. EXPLORATION : - Le thème du poème est le départ, l’errance : Les verbes de mouvement sont : « je m’en allais ; j’allais ». Les indications de lieu sont : « sous » (vers 3) ; « dans » (vers 6) ; « Mon auberge » ; « au bord des... » ; « au milieu des... ». - La phrase « Mes poches crevées » signifie que la veste portée

exercitifs. Les verdictifs sont des formules sentencielles ou actes judiciaires. Ils se construisent avec les verbes tels que « acquitter, condamner, décréter, etc.  Les exercitifs, quant à eux, traduisent un jugement, favorable ou non, sur une conduite préconisée. Ce registre regroupe les verbes « ordonner, exhorter, pardonner, autoriser, permettre, etc. ». Au nom de la polysémie, un verbe comme condamner apparaît d’ailleurs dans l’une et l’autre. Comment discriminer ses deux valeurs, c’est-à-dire

périphrase qui insiste sur la qualité du soleil et montre ainsi ses pouvoirs salvateurs. Il s'oppose à la description de la strophe 1. Il peut désigner le père de la trinité chrétienne. Vers 10 - Le soleil devient sujet du verbe "éveillé" ainsi la polysémie du mot "vers" peut faire penser que le soleil, vivant et dynamique nourrit la nature, mais nourrit aussi la création poétique. - Ses pouvoirs ne se limitent pas à se protéger de la mort, puisqu'il donne aussi la vie comme l'indique le verbe "éveiller"

composé de quatrains. Les deux derniers vers de la strophe précédente, « et la seule flamme de l'univers / est une pauvre pensée » sont importants pour le passage à analyser, puisqu'ils semblent annoncer un passage introspectif grâce notamment au verbes « penser », renforcé par les points de suspension qui marquent un glissement vers un passage introspectif. On peut donc se demander en quoi le poète par le biais de l'introspection, rend il ce passage autonome et crée une véritable rupture par rapport

beauté des femmes: il reporte la responsabilité sur elles et se pose en victime: il n'est plus sujet des verbes mais il devient objet: le pronom est COD et ce sont les femmes qui sont sujets -> « le premier objet qui nous prend » (l 2), « beautés qui nous peuvent frapper les yeux » (l 6-7), « toutes les belles ont le droit de nous charmer » (l 8), « La beauté me ravit » (l 11) (= polysémie du mot), « un beau visage qui me le demande » (l 18) => il ne peut résister à la tentation, c'est plus

poème s’organise en effet autour d’une humanisation progressive du cageot : ♦ Il est d’abord désigné comme une « simple caissette vouée au transport », le participe passé soulignant ici sa passivité ; ♦ Il devient dans le second paragraphe sujet des verbes d’action (il «sert », il «dure ») ; ♦ Enfin, le dernier paragraphe du poème repose sur une personnification de l’objet : qualifié par l’adjectif « légèrement ahuri », il se dote ici de sentiments humains. Humanisé, l’objet cesse d’être décrit de manière

1re sous-partie : une fable plaisante (v. 15 à 21) Cette seconde partie débute par une question rhétorique : La Fontaine va démontrer toute l’inventivité et la réactivité de l’orateur face à ce public dissipé. « Il prit un autre tour. » La polysémie du nom « tour », à la fois manière d’être ou de parler mais aussi manœuvre stratégique ou action inspirée par la malice, souligne cette ingéniosité. Fable dans la fable : mise en abyme du projet scriptural de l’auteur : l’orateur peut représenter