Polysemie Des Verbes

début de la description des dégâts provoqués par le tremblement de terre : c’est une hypotypose (description réaliste, animée et frappante de la scène dont on veut donner une représentation imagée et comme vécue à l’instant.) En effet, l’impératif des verbes « accourez » et « contemplez », le pronom démonstratif « ces » et le présent du verbe « terminer » (vers 11) font de ce tableau un drame en cours ce qui permet à Voltaire d’amplifier le pathétique de la scène. Le verbe « contempler » est à commenter

respect.- « je » : le poète intervient directement dans le texte, à la fin, pour raconter ce qu’il a vu. La seconde personne « tu » est ambiguë dans certains Indices temporels : « ce matin » puis « le matin » (précis au général) employé à la fois avec verbes au présent (énonciation immédiate) « Tu es las » mais aussi verbe au passé composé . « J'ai vu » Un poème qui se déroule en 24 h du matin au matin . Importance du souvenir qui provoque des retours en arrière de façon très anarchique et donc des déplacements

deuxième paragraphe commence d’ailleurs par l’anaphore « Agencé de façon » qui pourrait constituer un pléonasme ; agencer et façonner sont des verbes dont le sens est très proche ; « composer ou bâtir » ; qui en s’annulant rompt avec la première partie du poème. - Si le deuxième paragraphe semble …Avec « au terme », le poète continue à jouer sur la polysémie des mots : car si terme semble être ici synonyme de « fin » il peut également désigner un mot en lui-même. Le lien linguistique de « terme »

thématique du retour, chère à Lagarce, et s’exprime à l’aide de quatre verbes de déplacement à l’infinitif . A cela s’ajoute le préfixe « re » dans les infinitifs « retourner », « revenir » qui indique que Louis va accomplir à nouveau un itinéraire mais en sens inverse. On retrouve ici la fonction d’exposition de ce prologue : on nous annonce l’un des thèmes de la pièce, le retour du fils prodigue. Le dramaturge use de la polysémie dans l’expression « faire le voyage » pour évoquer le passage symbolique

vedette, rûussir, arriver, briller, percer, cülubre, lûgendafre,^ bonheur, victoire, triomphe, succus, star, etc. Cçs mots, qui sont réunis autour du thnme /^( ^' de la réussite, appartiennent a des parties du discours diffîirentes (adjectifs, verbes, "^^^ substantifs). On peut tenter de décrire la situation respective des termes du champ sémantique les uns par rapport aux autres par des traits oppositifs, semblables aux traits distinctifs de la phonologic. Examinons, par exemple, la série: siuge

« Voyez-vous qqch ? » « Oui, je vois votre visage qui se reflète dans l'eau ».... - « Oh ! De toutes les pêches c'est encore celle que je préférerais faire » Ici, Jean dévoile plus évidemment son appréciation à Mme Rosémilly. La métaphore et la polysémie sont employées par l'auteur : D'un part, Mme Rosémilly est comparée de manière implicite à une des pêches. D'autre part, Jean cherche à plaire Mme Rosémilly recourant au jeu de mot « la pêche » : de tous les fruits de mer qu'ils essaient de pêcher

yeux"), auditives ("entendre ton rire"), tactiles ("serrer dans ma main tes p’tits doigts.") On aime son enfant de tous ses sens. Il est bien le fruit de mes entrailles,  la chair de ma chair . Et c’est un homme qui nous le dit. Notons la polysémie du verbe "bouffer" dans l'expression " bouffer des yeux" dont le choix n’est pas innocent. Le recours au registre familier accentue l'effet d 'avidité du regard dévorant de l'adulte. De plus, l' enfance se trouve de nouveau placée sous le signe

De plus il ne connaît pas l’amour : "un désir d’une rencontre amoureuse". Duroy malgré son apparence de supériorité n’a pas d’argent ni de femme et pourtant son caractère combatif est déjà présent : "défi", "regard comme un coup d’épervier", la polysémie "conquérant", "chasseur" ; il a dans son regard l’esprit de conquête, l’apparence mais le fond est mauvais. 3) Une vision de Paris et de la société - La société d’apparence à l’image de Duroy et à l’image de la ville : champ lexical de la saleté

de cette multitude de cartes, le héros entend montrer que la fameuse carte d’identité n’est qu’un banal document administratif à l’égard de toutes les autres cartes rencontrées çà et là. L1 « Ta carte d’identité ! L29 « …une identité » La polysémie Mélédouman joue sur la pluralité de sens du mot « identité ». Dans le premier cas, il s’agit d’une simple identification administrative matérialisée par une pièce justificative qui fait l’objet d’un culte par les gardiens de l’ordre. Elle est

désigner un élément comme -is- dans fertiliser, parce qu’il n’est jamais en fin de mot (à la différence de -ot- dans tapoter, par exemple, qu’on trouve aussi dans palôt. Mais, il s’agit d’un suffixe placé après le radical. Comme ce suffixe forme des verbes à partir des adjectifs, il est nécessairement suivi d’une désinence verbale. C’est pourquoi, on peut parler des suffixes -iser, -oter, etc. 5. L’opposition entre affixes (suffixes) et désinences est moins nette avec certaines terminaisons: - dans