Polysemie Des Verbes

synesthésie. Ici les perceptions olfactives sont liées à des sensations tactiles, auditives et visuelles et cette «alchimie» tend à rendre au plus juste et dans sa variété l’impression ressentie. Cette «correspondance» est rendue possible par la polysémie de «frais» – on parle de fraîcheur olfactive, tactile et visuelle – qui admet plusieurs comparants pour un même comparé (les parfums). Le texte de P. Delerm pour sa part se termine sur une métaphore surprenante. À mi-chemin entre des métaphores

indiquent un itinéraire : « sentier »l.8 ; « wasserfall »l.11 ; « dans l ‘allée »l.14 ; « par la plaine »l.15 ; « à la grand’ville »l.16 ; « parmi les clochers et les dômes »l.17 ; « près d’un bois de lauriers »l.20-21 ; « au bas du bois »l.23-24. - verbes de mouvement : « j’ai marché »l.4 ; « courant »l.17 ; « je la chassais »l.19 ; « tombèrent »l.23. On peut ainsi en conclure que le texte rapporte le déroulement d’une matinée et le parcours qui s’y déroule dans un espace où se mêlent la campagne

d’opposition (ou d’inversion). Les mêmes mots (ou idées) sont repris, mais dans l’ordre inverse. « Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais » (Charles BAUDELAIRE) : les pronoms personnels sont repris dans l’ordre inverse (je/tu ; tu/je), et les verbes se font écho (ignore/tu ne sais ; fuis/vais), « Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger » (MOLIERE, L’Avare, III, 1), « Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu. » (Hugo). Chute : dernier vers d’un sonnet, ou conclusion inattendue

.............................................................................................................................129 10. Marques redondantes du pluriel dans les verbes .........................................................................................130 11. Les particularités graphiques des verbes, noms et adjectifs ........................................................................130 12. Les marques du pronom personnel .............................................

Une charogne :Introduction :Poème= 12 quatrains,hétéromètrie, rimes croisés ABABAuteur= Baudelaire, écrivain, poète français du 19ème siècle, connu pour avoir tisser des liens entre la beauté et le mal. Il s’installe dans le mouvement de la modernité poétique.Apparu dans le recueil « les fleurs du mal » en 1857, dans la section « spleen et idéal »Promenade d’un couple interrompue par le cadavre.Ce poème est de registre didactique, le poète transmet une infromation.1er mouvement= V1-V8= découverte

reconnaît la poésie ? Le poète est celui qui crée avec des mots. Cette création met en œuvre toutes les ressources du langage. Elle établit des liens particuliers entre la forme et le sens. Elle renouvelle ou enrichit le sens des mots en jouant sur leur polysémie, sur leurs connotations, sur les figures qui les détournent de leur sens habituel. - La poésie est guidée par la recherche prioritaire de l’harmonie formelle. - La prose subordonne le langage à un but qui lui est extérieur... de même que l'on marche

(emprunts) 4. Créer des mots entièrement nouveaux 1. Utilisation des ressources existantes A. Extension du sens On donne un sens nouveau à un mot du lexique (général ou de spécialité) On procède par métaphore ou métonymie Ce procédé ajoute de la polysémie à la langue a) Métaphore Nota : Les mots signalés par un astérisque (*) font partie de ce qu’on appelle la langue des banlieues (voir partie du cours sur la variation linguistique) La métaphore consiste à donner à un mot un autre sens en

pronoms et sur une série de verbes relatifs à des opérations intellectuelles, plus ou moins rationnelles, ou de perception. La seule "personne" explicitement présente est "on" (vers 3,14, 15, 16, 17). Ce pronom commande le verbe de mouvement "Passant", à l'initiale du texte. La mise en relation avec la biographie conduit à nuancer le caractère impersonnel de ce "on". Outre le poète, le destinataire s'y trouve peut-être inclus, invité à la flânerie. Observer les verbes dont "on" est le sujet met

métonymie ou synecdoque pour désigner une chose qu’aucun terme littéral ne désigne dans la langue : une feuille de papier, les ailes d’un moulin, ferrer un cheval[, à cheval sur un mur, les pieds d’une table]. Comme telle, la catachrèse est source de polysémie. » à Chiasme. « Figure de rhétorique formée d’un croisement de termes. » Cette figure est le contraire du parallélisme. Elle peut se présenter sous cinq aspects : - chiasme phonétique : « Secouant dans mes yeux leurs feux diamantés » (sons an-eu/eu-an)

(structure) * travail sur les caractéristiques des personnages Pouchkine : le petit poisson d’or : traitement de texte séance 3(1 H) * les marques de l’oralité dans le conte synthèse Pouchkine : texte papier séance 4(1 H) * la notion de merveilleux : polysémie du mot * Le poisson d’or est un conte merveilleux car ... (écriture d’une synthèse avec justification) fiche de vocabulaire séance 5(2 H) Le début et la fin du conte. observation Ecrire le Début et la fin d’un conte Rechercher un exemple de conte