Polysemie Des Verbes

dimensions extrêmes, notamment le « cyclone » (l. 9), « une rafale plus forte » (l. 12). La coordination de la glace et du feu (l. 2-3 puis 5-6) rend compte d’un choc violent. Relever aussi le superlatif « les glaces très anciennes » (l. 11-12). Les verbes de mouvement et la dimension sonore peuvent permettre de corroborer l’impression d’un choc extrême des éléments : « secouaient » (l. 2), « froissements » (l. 2), « craquements » (l. 2), « couraient » (l. 4), « bougeait » (l. 9). 2. Une cérémonie

mots-outils », ou pour le dire autrement des formes de sens très général, comme celles des verbes avoir, pouvoir, vouloir, être, etc., ou des adverbes, et peu de substantifs assez fortement occurrents pour justifier un calcul de spécificité. Et les auteurs s’intéressent à nouveau beaucoup, dans leur discussion et leur conclusion, à des catégories non-lexicales comme le temps auquel sont employés les verbes cooccurrents, l’un des indices majeurs de l’évolution psycholinguistique explorée. 32Ce

Mode d’action (aspect lexical) : « temps intérieur au procès » (Gustave Guillaume) ; caractéristiques du déroulement du procès ; classes (aspectuelles) de verbes[35] définies en termes des traits dynamique/ non dynamique (=statique), télique/ atélique[36], ponctuel/ non ponctuel (=duratif) (Zeno Vendler – cf. Vendler 1967): ➢ verbes d’état ([-dynamique, -télique, -ponctuel] – situations statiques, homogènes et continues, sans structure interne et sans limite temporelle inhérente) : être

-contrastive (les sons qui aide à distinguer) ; -libre (врата-ворота). La distr dépend de : -la place, -l’ordre, -la combinaison, -les particularités d’emploi. | nom | verb | adj | adv | nom | N+prépos+N(montre en or) | N+V (Chris mange) ; N+participe (homme lisant) | N+Adj (femme fatale) | N+Adv (les gens d’ici) | verb | V+N (écrire une lettre) ; V+prép+N (jouer du piano) | V+V (vouloir partir) ; V+prép+inf (essayer de comprendre) ; V+gérondif (manger en lisant) ; V+participe (jouer serré)

porté par le sujet de ses supposés synonymes. Et fait, il n’y a pas de synonyme, sans quoi il y aurait des doublons dans une langue, ce qui serait illogique et vain. Si je parviens à distinguer précisément un terme clé du sujet, y compris les mots ou verbes de liaison, d’un autre terme qui lui semble proche dans le vocabulaire de la langue, alors j’aurai rempli la tâche de conceptualisation qu’une dissertation exige ; ceci exclut toute tentative de reformulation du sujet, laquelle semble inaccessible

contraste à la rime avec un mot positif, tendre, doux (= « mon âme ») > 1er indice de l’analogie entre charogne/femme (rime « mon âme »/« infâme » dès le début du poème)–v.4–· CC lieu avec périphrase « sur un lit semé de cailloux » = sentier· Polysémie terme « lit » > lit mortuaire + lit amoureux (féminisation et érotisation du cadavre) > amour et mort (éros et thanatos).2ème indice (dès 1ère strophe) du rapprochement entre mort/amour (voir 3ème mouvement) Ainsi, le 1er mouvement (= première

87 88 90 92 95 96 96 100 103 105 106 106 107 109 109 113 114 117 118 • • • • • • Chapitre 6 Chapitre 7 Table des matières iii Relations sémantiques fondamentales Hyperonymie et hyponymie Synonymie Antonymie Conversivité Homonymie Polysémie La modélisation formelle des relations lexicales La notion de fonction lexicale Fonctions lexicales paradigmatiques Les collocations Fonctions lexicales syntagmatiques En guise de transition… Lectures complémentaires Exercices Chapitre 8 L’analyse

Ordre de base sujet-verbe-objet b) Des pronoms invariables c) Absence d’inflexions et d’affixes de dérivation. d) Présence de particules préverbales pour marquer la négation, le temps, la modalité et l’aspect. e) Utilisation de la sérialisation de verbes pour modifier le sens du verbe principal. f) Placer le verbe en début de phrase et l’usage du redoublement pour marquer l’emphase. g) Utilisation de la préposition « pour » pour marquer des constructions intentionnelles et infinitives. h) Utilisation

visent à susciter l'admiration et concourent donc, par les ressources de la description, à amplifier les forces en présence. Dressées l'une contre l'autre de manière manichéenne, elles sont violemment mises en valeur par l'ampleur des phrases, les verbes de mouvement en cascade, les rythmes (anaphores). Les images sont choisies parmi celles de l'amplification (hyperboles, gradations) et de l'analogie (personnifications, allégories mythologiques). | | | 1. Les effets recherchés sur le lecteur

notionnels notamment) : – synonymie : substituabilité dans une même contexte – antonymie : opposition de signification entre mots de la même catégorie – hyperonymie et hyponymie : relation du genre à l’espèce vs. de l’espèce au genre – homonymie et polysémie : relation entre termes dont le signifiant est synonyme vs. un seul terme qui présente des sens différents – en pratique pas toujours facile à distinguer – paronymie : relation entre mots sémantiquement différents mais phoniquement et/ou graphiquement