Ponctuation

parlent. (dialogue formel ou informel.) 8. Employez des formes contractées, des tags, des réponses courtes qui rendent le dialogue authentique. 9. Pensez aux gap fillers : well … er : um … / actually … / in fact …/ let me think … 10. Respectez la ponctuation : a) les deux points: introduire une réplique. AFFIRMATION : AFFIRMATION : agree (être d’accord) admit add / continue announce declare deny (nier) explain insist mention / remark offer (proposer) promise remind sb / repeat say, tell sb (informer)

La parenthèse a) définitions «Les parenthèses introduisent et délimitent une réflexion incidente, considérée comme moins importante et dite d’ un ton plus bas. Quand, à l’ endroit où on ouvre la parenthèse, la phrase demande un signe de ponctuation, celui-ci se place une fois la parenthèse fermée.»3 «Ce signe est avant tout un trait qui coupe et scinde; c’ est de loin le signe le plus fréquent dans VHB pour introduire une répétition ou une reformulation»4 Les parenthèses peuvent être placées

succédant et s’enchaînant les unes les autres. Suite à chacune de ces conditions, une alternative est posée. La condition est remplie ou pas. Le « ; » caractérise une pause semi-forte, un point affaibli ou une virgule renforcée. Ici, cette ponctuation, cette pause permet la réflexion. Le « ; »marque l’alternative et sa résolution. Si la condition n’est pas remplie, la phrase aurait du s’arrêter là et c’est le point. Si la condition est remplie, on passe à l’étape suivante, la condition suivante

lutte  Quelles armes vont utiliser les résistants ? Strophe 2, champ lexical de la guerre très riche.  La fin justifie les moyens, toutes les armes vont être utilisées > l’armée de l’ombre a les moyens d’agir ;  Quel est l’effet produit par la ponctuation expressive dans la strophe 2 ? Les points d’exclamation donnent du courage, sont là pour motiver les hommes et les pousser à agir. Les points de suspension évoquent le moment qui suit l’explosion et permettent de laisser planer la menace.  Quelle

moyen de synesthésies, cherche la stimulation et son Idéal. Encore une fois, il utilise le verbe être et exprime alors la certitude de sa pensée. Il expose dans ces strophes deux idées contraires, et utilise alors pour les opposer un signe de ponctuation forte, un tiret, qui marque la séparation. La première synesthésie qu’il évoque a une connotation plutôt positive. En effet, il compare des parfums « frais » et « doux » à des chairs d’enfants. Il emploie le lexique de la légèreté, et se réfère

sol Torquemada croit pouvoir s'adresser à Satan, puis se redressant, il semble vouloir se tourner vers le ciel où les âmes suppliciés montent : «Allez, allez, allez !» v. 28 (jeu d'acteur : geste des mains poussant les âmes vers l'envol). La ponctuation, les interjections, répétitions de mots... marquent l'enthousiasme du discours, montrent l'exaltation du prêtre : en effet le monologue de Torquemada est sans cesse ponctué de point d'exclamation et de modalités injonctives (par ex «Vous voilà délivrés

colère sans retenue. Son discours est ainsi fortement entrecoupé d’éclats dus à une trop vive émotion. Les alexandrins sont disloqués sous le poids de l’émotion mal contenue de Salluste. Ce manque de grandeur dans l’expression se traduit par la ponctuation : tirets, exclamations, points de suspension viennent toujours arrêter l’expression. Ainsi dans les premiers vers on ne compte pas moins de huit rupture en les vers 3 et 9.

cause, nous faire entendre sa raison. Il y en a également dans l'extrait de roman : « Pouvait on résoudre ce paradoxe ? » et « Qui s'en souciait ? ». Ces questions sont utilisées pour souligner le caractère barbare de la guerre. Les signes de ponctuation sont donc très utilisés, pour attirer l'attention du lecteur. Dans le pamphlet et dans l'extrait de roman, il y a une profusion de points d'interrogations, avec les questions rhétoriques mentionnées plus haut. Dans le poème nous pouvons remarquer

doivent être écrites dans le début de la phrase. Vérifiez la négation (particule «ne» obligatoire). Portez une attention au bon choix de l'auxiliaire (Je me suis trompée). Éliminez les phrases qui comportent un «si j'aurais» (si j'avais). Ponctuation et espacement Le point. = fin des phrases Le deux-points : = citation, explication, énumération Le point d'interrogation ? = question Les guillemets « »= citation Les points de suspension ... = énumération ou phrases non terminées... 3ème

la fin du texte, nouvelles tentatives pour renouer à nouveau une amitié ? Ils vont boire un coup « se laisse traîner » > essaient toutefois de se retrouver. Essais de la part de Riquet : essaie de s’intéresser à la vie d’Aurélien, humour (ponctuation, ironie). Reviennent au tutoiement. Aurélien essaie de se mettre à la portée de Riquet « fringué », prend un langage familier comme Riquet. Mais ça ne marche pas, car pas dit naturellement. Riquet « souligne de la voix rhabillé » >utilise le