Portrait Du Vieux

Nous sommes proches du dénouement. Don Juan est pressé de toutes parts, il recourt à des expédients pour gagner du temps : il vient de recevoir son père et lui a joué la comédie en l'assurant de sa conversion. Ce texte de Molière nous présente le portrait d'un hypocrite, sa particularité est que c'est Don Juan qui se dépeint lui-même. Cette autoanalyse lui donne toute sa force. Don Juan veut briller par son habileté devant la foi conventionnelle et grossière de son valet Sganarelle. Il va toujours

filles. Le lecteur est aussi étonné que les autres. Il est du même avis que les pensionnaires. Il ne peut croire aux dires d’un vieux seul qui attend la visite des femmes belles et jeunes et qui les fait passer pour ses filles. Seuls les événements qui viendront par la suite peuvent nous révéler la vérité de ces comportements. Le père Goriot trace le portrait tragique d’un vieux délaissé et méconnu, seul face à ses tristesses et ses maux à cause des caprices et des besoins matériels interminables de ses

fait le portrait d’une génération incapable de trouver sa place dans l’histoire. En vous appuyant sur des relevés précis du texte, montrez en quoi : Les hommes de cette génération refusent le passé : citations : “derrière eux un passé à jamais détruit” (ligne 2) signifie que revenir en arrière n’aurait aucun intérêt. “du passé ils n’en voulaient plus” (ligne 15) . figures de style : “l’océan qui sépare le vieux continent de la jeune Amérique” (ligne 6) métaphore comparant le vieux continent

Le vin des chiffonniersSouvent, à la clarté rouge d'un réverbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au coeur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux Où l'humanité grouille en ferments orageux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête Butant, et se cognant aux murs comme un poète, Et sans prendre souci des mouchards, ses sujets, Épanche tout son coeur en glorieux projets. Il prête des serments, dicte des lois sublimes, Terrasse les méchants, relève les victimes, Et sous le

l’universalité de cette disposition. => Exorde qui annonce le thème de la satire. 2ème mouvement : v. 5 à 18 Deux portraits s’opposent (le pédant vs le galant) ds ces vers qui ont pour thème la connaissance, le savoir. Vers 5 à 10 : portrait (strictement moral) d’un « pédant », type de personnage usuel ds la littérature satirique. La folie du pédant est de croire « qu’un livre fait tout » (9), critique d’un savoir purement livresque

p.84-85 chercher qui est Raphal et ce quest la Vnus de Milo.Sance 3 (1h) Etudier le portrait du personnage ponyme.Le roman p.84-85.- Bilan du 2 rsum de lecture.- Lecture haute voix puis lecture analytiqueProblmatique Quelles informations ce portrait apporte-t-il sur le personnage ponymeI. Un texte descriptif- description pause dans le rcit.- temps majoritaires imparfait, prsent.- Cet extrait est un portrait dEugnie elle sobserve ds le miroir le narrateur en profite alors pr la dcrire, on la

tout près de son roman, Eugène de Rastignac à le bac en 1819 tout comme l'auteur. 3) Le salon est d'abord décrit puis la salle à manger. Donc un regard, Après les chaises il y a la table au milieu, le sol, revêtement des murs. Avec le tableau très vieux et puis la cheminée. Dans la salle a manger la description se fixe sur les buffets gluant et tout les objets qui si trouve comme un « baromètre », « lampe a l'huile », « l'horloge » puis un « poêle vert » et une toile cirée très crasseuse. 4) En

| |Opposant : Mme. d’Hubières | |Portrait Physique |Portrait psychologique |Portrait social | |Aucune description physique. |À un moment de l’histoire : vantard |Il vit dans une famille pauvre. | |

d’or mélancoliquement. Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, Ô toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! À l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand. 15 Devant deux portraits de ma mère Ma mère, que je l’aime en ce portrait ancien, Peint aux jours glorieux qu’elle était jeune fille, Le front couleur de lys et le regard qui brille Comme un éblouissant miroir vénitien ! Ma mère que voici n’est plus du tout la même ; Les rides ont creusé le beau

Madame Rosa. Finalement rien ne s’était produit. Chapitre 18 : Madame Lola venait rendre visite à Madame Rosa. Elle faisait à manger. Ensuite il y a eu la visite du Français du deuxième (Louis Charmette), un retraité de la S.N.C.F. Il était tout aussi vieux que Madame Rosa. Il était venu parler avec elle, mais celle-ci ne faisait rien. En fait, elle avait peur. Après de longues heures, il est finalement redescendu au deuxième. Chapitre 19 : Madame Lola aidait Madame Rosa. Celle-ci avait souvent des absences