Portrait Fille Physique

cour : monde des apparences et des manières policées, royaume des intrigues et des liaisons. Il ignore si la princesse de Clèves sera une reine de vertu ou au contraire une intrigante. I- Un portrait élogieux. 1) Un modèle de perfection. Série d’informations sur le personnage : - informations physiques : « beauté, extrême jeunesse, grande beauté, blancheur de son teint, cheveux blonds, éclat, traits réguliers, visage plein de grâces et de charmes ». - informations sociales : « un des plus

éducation lourde - "plongent" : présent de vérité générale. Opposition comportement femme et comportement vertueux. - "voulut" : fin de retour en arrière, retour à la narration - "donnaient" : retour à une description physique - champs lexical de la beauté, de la vertu (but à atteindre pour l'héroïne), libertinage (piège pour l'héroïne), éducation Les temps jouent un rôle essentiel : ce sont eux qui structurent le texte. Ils indiquent également des nuances

dans le titre. En effet, le père de Sylvia, monsieur Orgon souhaite marier cette dernière. Sylvia dresse un portrait très pessimiste du genre d’homme que son père lui réserve tandis que Lisette lui dresse un portrait assez mélioratif. Le mot « hasard » introduit donc le fait qu’on ne sait pas de quel genre d’homme il va s’agir, s’il se rapprochera de l’image qu’en fait Lisette ou du portrait qu’en dresse Sylvia. La fonction du mot « jeu » est aussi confirmée par les tonalités comiques de la première

Comment au travers de la realité d'une description physique, l'auteur construit-t-il une représentation symbolique du personnage ? Tout d'abord, il dresse un portrait réaliste de Georges Duroy. Il termine ensuite avec un portrait symbolique du personnage. CONCLUSION Dans cet extrait, Maupassant a donc réussi à réaliser un portrait symbolique narcicique du personnage au delà d'une simple description physique en dressant tout d'abord un portrait réaliste d'un personnage timide, mal à l'aise et

pour caresser, pour donner, pour étreindre, une bonté de créateur, éparse, sans résistance, comme l'engourdissement d'un nerf de la volonté, une lacune dans l'énergie, presque un vice. Homme de théorie, il méditait tout un plan d'éducation pour sa fille, voulant la faire heureuse, bonne, droite et tendre. Elle était demeurée jusqu'à douze ans dans la maison, puis, malgré les pleurs de la mère, elle fut mise au Sacré-Coeur. Il l'avait tenue là sévèrement enfermée, cloîtrée, ignorée et ignorante

6) ou encore « moi, qui n'avais jamais pensé à la différence des sexes, ni regardé une fille avec un peu d'attention » (ligne 12). Ensuite, dans le texte le portrait physique de Manon est non détaillé. Elle décrite telle une « jeune » « fille »  « charmante » « moins âgée que moi », et enfin plus expérimentée » (ligne 26). En revanche, son portrait moral est beaucoup plus garni que celui du portrait physique, c'est le cas de « elle fait bien plus expérimentée » (ligne 26). Manon se démarque des

Michel Strogoff, officier russe est d?crit tr?s pr?cis"ment .c?est le portrait d?un beau gar?on, d?un homme solide . En m?me temps on peut faire un parall?le entre le portrait physique et moral du personnage. Le narrateur, ext?rieur ? l?histoire, d?crit d?une mani?re tr?s d?taill?e le physique de l?officier russe. L?auteur utilise la focalisation externe. L?auteur nous fait un portrait m?lioratif de Michel, surtout physique, mais insiste moins sur le c?t? mental du personnage Michel Strogoff

par les chemins, et qu'elle deviendrait ce qu'elle pourrait, et qu'elle crèverait, si elle voulait. – Cent francs, songea Fantine! Mais où y a-t-il un état à gagner cent sous par jour? – Allons! dit-elle, vendons le reste. L'infortunée se fit fille publique. ****** A rappeler : Un texte réaliste ? On peut poser qu'il épouse les principes d'un roman réaliste : représentation de la réalité sociale d'une époque ; observation de ses déterminations ; orientations de la réflexion. Mais le roman

en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce petit paysan était si blanc, ses yeux si doux, que l'esprit un peu romanesque de Mme de Rênal eut d'abord l'idée que ce pouvait être une jeune fille deguisée, qui venait demander quelque grâce à M. le maire. Elle eut pitié de cette pauvre créature, arrêtée à la porte d'entrée, et qui évidemment n'osait pas lever la main jusqu'à la sonnette. Mme de Rênal s'approcha, distraite un instant de l'amer

yeux par sa mère. Un portrait hyperbolique de la jeune femme est établi. Axe 1 : Portrait hyperbolique vantant les qualités de l’héroïne Axe 2 : Analyse permettant au lecteur de voir la société du XVIIème Développement : Axe 1 : Portrait hyperbolique vantant les qualités de l’héroïne - Qualification de Mlle de Chartres de « beauté à la cours » - Elle suscite de l’admiration  « attira le yeux de tout le monde » et « donna de l’admiration » - Portrait physique de l’avant-dernière