Portrait Fille Physique

“ . Contre les suppositions. Celle-ci rejete le portrait que L. décrit Fondé que sur des rumeurs reposant uniquement sur l'apparance. Elle repporte a ces portraits une series d'experiance personnelles qu'elle va reporté a la suite de la scene ou elle exprime son desenchentement et son anti-conformismse “ Il est bel homme dit-on mais c'est presque tant-pis”. S. développe son argument sur les préventions qu'elle a sur le mariage. La jeune fille Silvia a peur des hommes. Elle s’est forgée son opinion

poids des remords dont au bout de quarante ans [sa] conscience est encore chargée ». Dans le second mouvement du passage, Rousseau se propose de faire l’éloge de sa victime, Marion. Il procède d’abord à une présentation de la jeune fille. Une présentation qui a un intérêt narratif. Il s’agit ici de présenter au lecteur ce nouveau personnage. Marion est en effet la cuisinière dont s’est entourée Mme de Vercellis à la fin de sa vie. Ce que laisse suggérer les expressions euphémisantes

historique et politique, de présenter les divers personnages de la Cour. L’arrivée de l’héroïne = élément perturbateur ; va susciter l’étonnement. Etape 3 : LECTURE Etape 4 : En quoi le portrait de Mlle de Chartres va susciter l’intérêt au point de mobiliser l’attention de tous ou En quoi le portrait de Mlle de Chartres est-il caractéristique de l’héroïne classique ? Etape 4 : PLAN Une présentation méthodique du protagoniste Une SE révélatrice Placé sous le signe de

Depuis « Tout au fond, aux meilleures places (…) meublée de quenottes luisantes et microscopiques » Premières impressions sur le texte : galerie de portraits, les personnages qui ont pris place dans la voiture pour fuir Rouen au moment de la défaite contre les Prussiens sont décrits. Cf phrase qui précède le découpage : « Dans la voiture on se regardait curieusement, à la triste clarté de cette aurore » : focalisation interne suggérée par « on se regardait », effacement du narrateur omniscient

dans le texte il est dit « Pour les autres, c’est comme si elle n’existait pas. En quoi le regard de l’héroïne est-il une critique sur le monde moderne qui l’entoure ? Nous dresserons, dans un premier temps, le portrait du personnage de Lalla, se sera une description de son portrait physique, morale ainsi que ses habitudes, ses envies et son histoire (son passé). Ensuite, nous montrerons que l’atmosphère reflétée interroge le lecteur sur la place des hommes dans la société contemporaine.

l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue focalisation zéro => le narrateur est omniscient, alternance de points de vue entre Julien et Mme de Rénal A) Portrait de Julien par Mme de Rénal - focalisation interne - indétermination de Julien, description physique, beauté ambigue, presque féminine => pt de vue de Mme de Rhenal, c’est ce qu’elle attend chez un homme - subjectivité de Mme de Rénal :          -> intensifs : « si »         -> modalisateurs

Synthèse de la séquence 3 DOSSIER SUR L'ETRANGER, d'Albert Camus 1-Meursault et les personnages qui l'entourent RAYMOND SINTES Portrait physique: C'est un homme décrit comme « assez petit, avec de larges épaules et un nez de boxeur, habillé toujours très correctement » Psychologique: Raymond d'après les personnes qui l'entourent « vit des femmes » mais lui dit à tout le monde qu'il est magasinier. Meursault dit de lui qu'il est « guère aimé », qu'il «  parle souvent » et qu'il est « intéressant »

Acte I, scènes 1 à 4 Clefs d’analyse Compréhension Les personnages ● Observer le comportement de M.Orgon : vis-à-vis de sa fille (scène 2), puis de son fils (scènes 3 et 4). Le comportement de M. Orgon vis-à-vis de ses enfants (scène 2) M. Orgon se révèle un père bienveillant, « le meilleur de tous les hommes », comme le dit Lisette (scène 2, l. 59). S’il souhaite marier sa fille, il ne désire pas la contraindre. Soucieux de son bonheur, il comprend qu’elle hésite à épouser un homme qu’elle ne connaît

surnom de Grande Nanon. Quelles techniques a utilisé Balzac pour faire le portrait réaliste de la Grande Nanon ? La servitude de Nanon n’a t-elle aucune limite ? Nous partagerons l’analyse de ce texte en deux parties. Dans un premier temps nous nous pencherons sur le portrait réalisé par Balzac de la servante Nanon, puis dans un second temps nous étudierons l’asservissement dévoué qu’elle voue à son maître. Ce portrait de Nanon s'insère dans un récit réaliste. En effet on observe la présence de

descriptions des portraits de ses personnages « typiques », dominés par une passion violente = monomanie (le paternalisme du Père Goriot, la criminalité de Vautrin, la vertu de Madame de Mortsauf). Leur physique est à l’image du mental (Vautrin est roux). Balzac brosse ainsi des portraits de personnages qui lui ressemblent, à la destinée souvent tragique. Même s’il se pose en narrateur omniscient, démiurge dans ses romans. Analyse d’un personnage de Balzac : Lecture d’un portrait de Vautrin et