Portrait Physique

également pressenti plusieurs inventions comme l'avion, le parachute ou le sous-marin. On déplore que certains procédés techniques choisis par De Vinci n’aient pas mieux résisté au temps. 3. Description  de La Joconde : La Joconde est le portrait d'une jeune femme, sur fond d'un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. La femme porte une robe et, sur la tête un voile noir transparent. On remarque que totalement épilée, conformément à la mode de l'époque, elle ne présente ni

I. Origine et portrait Né en 1846, Etienne Lantier est le fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier. Après avoir été abandonnée par Lantier, Gervaise se console en épousant Coupeau, unouvrier zingueur, qui maltraite souvent l'enfant. Etienne devient alors apprenti forgeron à 12 ans, puis est envoyé en apprentissage à Lille où il deviendra mécanicien. À 21 ans, employé dans un atelierde chemin de fer, il est renvoyé pour avoir giflé son supérieur. Errant sans trouver de travail pendant huit

épouvante" et qui dégage une certaine majesté. Les comparaisons utilisées sont valorisantes : "comme le granit rose travaillé par un ouvrier habile", "dont les paupières ne s'abaissaient non plus que celles de l'épervier sacré". Au contraire, le portrait que dresse Victor Hugo de Madame Thénardier est caricatural et grossier. Il la compare à "un éléphant", à "une ogresse", "un bourreau". Enfin, le bibliothécaire, Malachie de Hildesheim, est décrit par Umberto Eco comme quelqu'un d'étrange "une aussi

qu'on apprend à connaître par son activité, les objets qu'il utilise et qui l'entourent, sa représentation physique.  C’est le portrait posé sur le chevalet qui attire d’abord l’œil du spectateur : - portrait le plus important, « officiel », celui que le peintre a signé. - Il est la façon dont il veut que le spectateur le voie. Stylisé et amélioré (rajeuni, pipe droite), ce portrait semble dédié à la postérité.  Mais il est insuffisant car encore inachevé et sans couleurs. Le spectateur

peint un grand nombre d’œuvres dont le duc et la duchesse d’Urbino. On appelle cette œuvre un diptyque. Les deux portraits ont été réalisés sur des tableaux verticaux dont les cadres furent ensuite sciés. C’est une seule et unique scène. On peut remarquer que le duc et la duchesse sont représentés de profil, conformément à la tradition du portrait de l’époque. Ces deux portraits sont réalisés grandeur nature. L'oe?uvre peut être considérée comme un pendant : c’est à dire une composition comportant

l'appareil de prise de vues cam (tronc. fam. de camera) appareil photo (paper)print tirage (sur papier) (le résultat) black-and-white print tirage noir et blanc colour print tirage couleur the vertical format le format vertical (syn. the portrait format le format portrait) the horizontal format le format horizontal (syn. the landscape format le format paysage) digital image image numérique ≠ silver image image argentique THE ORIGIN OF THE DOCUMENT / LA PROVENANCE DU DOCUMENT magazine revue photo(graphy)

des modifications entre chaque édition, et multipliait notamment le nombre des portraits qui rencontraient un grand succès. L’extrait que l’on va étudier se trouve dans le livre 2, qui traite Du mérite personnel et reflète des modifications du texte, le premier paragraphe ayant été rajouté lors de la cinquième édition tandis que les deux derniers datent de la première. Dans cette remarque, La Bruyère fait le portrait d’un parvenu dans une société de la représentation, où l’apparence est fondamentale

ses romans des portraits presque photographiques, accumulant les détails physiques, précisant la tenue vestimentaire, les accessoires et les attitudes. Ainsi, dans la première apparition du Colonel Chabert, Balzac présente son protagoniste de façon réaliste, en évoquant sa perruque, la forme de son front, la couleur de ses yeux, la forme de son visage et de sa cravate ; sans lui attribuer dans un premier temps de valeurs surnaturelles. Il fait lui-même la comparaison avec un portrait de Rembrandt.

Nous allons faire le commentaire d’un des portraits présent dans Les Caractères de Jean de la Bruyère qui caractérise l’Homme de son temps. Nous allons voir comment « Gnathon » tiré de la partie « De l’Homme » représente le dégout mais aussi le rire. D’une part La Bruyère dénonce le comportement du goinfre Gnathon il n’est nommé que une seule fois par son prénom puis appelé « il » jusqu'à la fin de son portrait on peut donc en déduire qu’on ne voit que lui par son comportement répugnant qui est

intéresseront tout d’abord au portrait qu’Erasme présente des princes, puis nous verrons leur place selon la règle. Commentaire I – Erasme montre 2 portraits différents du Prince 1- Jouisseur Le narrateur est ‘la folie’ prosopopée (procédé stylistique qui fait parler quelqu’un qui est absent ou ayant aucune caractéristique animale). Autre perceptive : critique sans censure, ni interdiction. C’est avec une apparence de récit distrayant qu’apparaissent ces portraits : prince jouisseur qui s’adonne