Portrait Satirique De

I. Un portrait argumentatif fondé sur la satire de l'égocentrisme : Une véritable caricature : le portrait suit une progression à thème constant – L'attention est focalisée sur le personnage de Gnathon (la consonance antique en fait un modèle a priori) Pourtant, le lecteur se rend compte rapidement qu'il s'agit : Portait d'un égocentrique Omniprésence du personnage manifestée à travers : l'emploi de nombreux pronoms personnels : 25 « je » (pronom sujet) + lui + soi. l'importance

une grande partie du texte. Cette scène est une représentation du mouvement littéraire Vaudeville. La scène étudiée concorde au attente du vaudeville. Tout d’abord l’intrigue se déroule dans un cadre bourgeois, de plus le dramaturge dresse un portrait satirique de cette classe sociale en pleine ascension. Dans cette pièce, Labiche utilise le comique de mœurs pour critiquer les bourgeois. En effet, il se moque du ridicule de la situation dans laquelle se trouve Berthe et Manicamp. Manicamp voit cette

Elles sont réparties dans 16 chapitres, rangés selon un principe d’élévation croissante des thèmes. Il s’agit ici du portrait satirique d’Arrias, un personnage, prétentieux, menteur et égoïste. Il se situe au début, à la 9ème remarque du chapitre V, « De la Société et de la Conversation ». Ce portrait a été ajouté lors de la 8ème édition ce qui explique qu’il soit aussi satirique puisque l’audace de l’auteur est croissante au fur et à mesure des éditions. Il appartient à un groupement de remarques

dimension incontestablement lyrique et satirique, peut-on pour autant la considérer uniquement ainsi et ne pas y chercher d'autres sens, plus proches de l'épopée et d'un idéal didactique ayant pour but de donner à ses contemporains ainsi qu'à des générations à venir un aperçu de la société d'époque? Afin d'approfondir cette idée, nous nous baserons ici sur un plan en deux temps. Pour commencer, nous nous attacherons à étudier la dimension personnelle et satirique de l'œuvre d'Agrippa d'Aubigné. Par

près les mœurs et les travers de la noblesse de la cour. Les caractère, œuvre inspirée des Caractère de Théophaste ( auteur grec de l'antiquité ) se présente comme un simple traduction de cet ouvrage. En fait c'est une série de portraits et de maximes à la tonalité satirique . La bruyère se cache derrière ce prétexte pour faire passer plus facilement sa critique. étude de droit, puis trésorier général de France au bureau des finances de la région de Caen, 1686 : il est repéré par la maison Condé

=> Exorde qui annonce le thème de la satire. 2ème mouvement : v. 5 à 18 Deux portraits s’opposent (le pédant vs le galant) ds ces vers qui ont pour thème la connaissance, le savoir. Vers 5 à 10 : portrait (strictement moral) d’un « pédant », type de personnage usuel ds la littérature satirique. La folie du pédant est de croire « qu’un livre fait tout » (9), critique d’un savoir purement livresque. Cf. lexique péjoratif qui caractérise

est dominante (imparfait) mais il y a une structure avec une trame narrative (le passé-simple). La première partie était une présentation, un portrait et est dégagée de l’ensemble du poème par un espace typographique. La deuxième partie est plus narrative (35-36-43-44-72-111-113-fin). Les moments s’enchaînent successivement. La première partie est un portrait et est descriptive. L’ensemble étant modelé sur la passion, qui est tragique, pathétique, comporte une note d’ironie et de satire très brève

qu'elle va lui faire son pour elle un gage d'amitié. Cependant, ce n'est pas le cas, Arsinoé a uniquement trouvé ce prétexte pour blâmer Célimène indirectement. Cette forme de dénonciation est toute aussi immorale que lorsque Célimène effectue des portraits de ses semblables, car les deux sont fausses. Ces femmes s'opposent, mais sont toutes deux hypocrites, de différentes manières. En prétextant l'amitié, Arsinoé cache la jalousie. En effet, elle-même était une coquette, ce qui est ironique car c'est

traçant un portrait satirique des courtisans - Une fable de La Fontaine faisant apparaître le danger et l’inconscience qu’il y a de s’associer aux Grands - Un sonnet de Verlaine qui est un éloge paradoxal de l’enterrement - Un poème de Rimbaud composé de neuf quatrains peignant les bourgeois de Charleville de manière satirique Par leur ton humoristique et leur volonté de critiquer en ridiculisant leur objet, les quatre poèmes relèvent de la poésie satirique. Cette dimension satirique apparaît

Introduction Jean de La Bruyère est un moraliste de la fin du XVIIème siècle, qui n’a achevé qu’un seul ouvrage, Les Caractères. Malgré ce titre, qu’en auteur classique, il emprunte à un ancien, Théophraste, ses « remarques » ne sont pas toutes des portraits de types humains ; il énumère dans sa Préface les différentes formes qu’il pratique, notamment la « sentence » et le « fait », qu’il emploie dans ce passage. Celui-ci se situe en ouverture du chapitre « De la ville », le 7ème du recueil, consacré