Portrait élogieux

invite déjà au sondage du monde que le texte semble nous dévoiler graduellement. 4. Vers l’intérieur du texte : Il y a dans le texte des points fondamentaux, des idées principales. Que se dégage -t-il d’une description, d’une narration, d’un portrait littéraire? Dans le cas du poème, il faut préciser le thème et les motifs. (Le thème se rattache au monde des idées et des sentiments : par exemple, le thème de l’amour; les motifs sont comme des signaux: ils indiquent la présence et le développement

Le portrait de Vautrin L’enjeu du texte Quand il présent un personnage, le narrateur veut créer un effet de réalité en imposant une physionomie. Dans le cas de Vautrin, personnage déguisé sous une fausse identité, l’entreprise est plus complexe : il faut décrire la seule apparence et en même temps livrer des indices qui préparent le dévoilement à venir. On s’interrogera donc sur le réalisme de ce portrait de ce portrait et sur sa dimension énigmatique. I) La puissance corporelle Vautrin

Fiche histoire des arts 3ème Portrait /autoportrait L’art du portrait : Pourquoi se représenter ou se représenter ? REprésenter : c’est présenter à nouveau, il s’agit donc pour les artistes de chercher à se montrer, donner une autre image d’eux-mêmes. La volonté d’échapper à la mort et au vieillissement est une des principales raisons qui pousse les artistes à faire leur autoportrait. Le Narcissisme y contribue, l’égo de l’artiste est important par rapport à son statut, d’ailleurs certains

de l’éloge des « grands ». Enfin, nous observerons comment ce texte reprend les cibles de la critique surréaliste et s’en prend à tout ce qui représente l’autorité. *** Dans un premier temps, Jacques Prévert entreprend de développer un portrait pathétique de l’homme. Il utilise le champ lexical de la souffrance physique : « touché au poumon », « maigre », « bandage herniaire », « cicatrices ». La litanie de l’anaphore du groupe de mots «l’effort humain» martèle la douleur des petites

Rubens, Caravage et Titien. Il admire les grands peintres romantiques tels que Géricault et Delacroix. Entre 1841 et 1846, il peint plusieurs autoportraits comme Le désespéré, L’homme au chien noir, L’homme blessé, L'homme à la ceinture de cuir et Portrait de l'artiste. En 1848, Gustave Courbet présente une dizaine de toiles dans des salons, il se lie d’amitié avec Jules Champfleury. En 1849, il revient à Ornans et devient célèbre avec le tableau L’après-dînée à Ornans, il obtient donc la médaille

la révolution française. Ce passage est issu du chapitre 2 de la deuxième partie et met en scène trois personnages clés qui ont été bourreaux et victimes de la "Terreur". Ils se réunissent dans un café. Dans ce passage en prose, l'auteur dresse le portrait physique de ces trois hommes. Avec un siècle de recul, Hugo connait en effet bien ces trois personnages. De plus, ils ont été peints à leur époque. Grâce à cela, on peut remarquer que la "peinture" d'Hugo est proche de la réalité. Ce texte a de

Chapitre X : Comment Mme Bouvillon ne put résister à une tentation et eut une bosse au front. Problématique : Comment le portrait fait de Madame Bouvillon contribue-t-il à rendre grotesque le personnage ? I. Un portrait caricatural 1. Le jugement du narrateur = négatif * Le déterminant devant le nom La Bouvillon → ses origines populaires + connotation dévalorisante * Choix du nom pas fait par hasard → Bouvillon = jeune bœuf

autant se relâchent les attaches avec Laon, où ils conservent propriétés et parents. L'atelier, où collaborent étroitement les trois frères, semble vite prisé. Dès 1632, il obtient de la Ville de Paris la commande du Portrait des échevins (perdu). Avant 1643, Mathieu exécute le portrait de la reine Anne d'Autriche elle-même (perdu). Les Le Nain sont choisis pour décorer la chapelle de la Vierge à Saint-Germain-des-Prés (ensemble disparu à la Révolution) et pour exécuter le tableau d'autel de quatre

continuera de peindre, son pinceau attaché à la main, durant les sept années qui lui restaient à vivre et meurt le 3 décembre 1919. II) Lise à l’ombrelle (1867). - huile sur toile, 184x115 cm, musée Folkwang. (Allemagne) En 1865, il peint un portrait William Sisley qui est accepté au salon et qui fait plutôt bonne impression. Mais pour lui a cette époque ce qui l’intéressait le plus c’est sa maitresse Lise tréhot celle qui figure sur ce tableau : « lise a l’ombrelle ». En 1867 il peint ce tableau

jouant, passe au doigt de la statue la bague qu'il destine à sa future femme. Le soir, bouleversé, il révèle au narrateur qu'il n'a pas pu reprendre l'anneau car la Vénus a serré le doigt pour le garder comme un gage de fiançailles. Portrait de la Vénus d'Ille Le portrait donné de la statue est ambigu : on la sait inanimée mais certains détails font penser le contraire. Elle est grande et entièrement en bronze Son corps est noir et ses yeux blancs (mise en relief) Elle est dénudée (peut inspirer