Portraits De Deux Personnages Opposés

et du hasard publié en 1730 ou Marivaux traite les différences sociales entre maitresse et servante. La scène d’exposition de cette pièce présente ces deux personnages tout à fait différents qui se querellent entre eux. Nous verrons tout d’abord comment l’auteur présente la scène d’exposition puis comment évolue le conflit des deux jeunes femmes. La scène d’exposition nous présente tout d’abord l’intrigue du mariage projetée, en effet le spectateur découvre que le père a demandé

La pièce rompt aussi avec les conventions sociales. Les règles de la bienséance et de la vraisemblance sont bafouées. Les valeurs chevalresques sont défiées. La religion est sujette aux moqueries. Enfin, dans les pièces classiques, tous les personnages doivent apparaître ensemble dans la première scène de l'acte I. Dans Dom Juan, le rideau se lève sur Sganarelle et Gusman. Dans cette pièce le tragique, le tragicomique et le comique s'entremèlent. Ce mélange des genres fait de Dom Juan une pièce

de la simplicité, le rejet de toute préciosité et de toute vanité, l’imperatoria brevitas qui lui firent préférer ces formes fragmentées (G). Au commencement, l’auteur, préoccupé par la réaction du public, ne fit publier qu’un nombre restreint de portraits et de remarques (G). C’est pour la même raison qu’il présenta son ouvrage comme une simple continuation et la fit précéder d’une traduction de l’auteur grec Théophraste (IIIème siècle avant JC) dont il s’est effectivement beaucoup inspiré. Son livre

fin de l'été 1849, Courbet s'attaque à son premier tableau monumental. Il souhaite en faire son "exposé de principe" et exprime son ambition en intitulant l'œuvre Tableau de figures humaines, historique d'un enterrement à Ornans. Il s'inspire des portraits collectifs des gardes civiques hollandais du XVIIe, tandis que la somptuosité des noirs rappelle l'art espagnol. Les variations des valeurs, dans les verts sombres et les gris sourds, sert une certaine austérité des tons, la facture épaisse et robuste

Lecture analytique 1: Art. (TABLEAU RÉSUMÉ). L'exposition partie 1 à 3 (p.15 à 17) -Composition du passage: 3 "tableaux" sont différents des scènes. L'entrée et la sortie du personnage indique le début et la fin de scène (théâtre classique). L'histoire que raconte la pièce est racontée en 1 journée. Le découpage de l'acte c'est quand il y a des ellipses durant la scène. Il y a des effets sur le temps. -Il y a un effet de flashback puisque dans la scène 1 où Marc annonce le flashback et

THÉRÈSE RAQUIN D’ÉMILE ZOLA Portraits physiques et moraux des deux personnages masculins de roman, afin de mettre en valeur leurs oppositions : Camille est un jeune homme de « vingt ans » (chap.II, lg.18), gâté par sa mère à cause de sa santé fragile (chap.II, « coup sur coup toutes les fièvres, toutes les maladies imaginables, lg.20-21 ». « Arrêté dans sa croissance », il demeure « petit et malingre » (chap.II, lg.26-27). Une certaine « faiblesse » (lg.29, chap.II) émane

de la passion amoureuse. Nous sommes ici au début du roman, Mlle de Chartres, la future Princesse de Clèves, fait son apparition à la cour du roi Henri II. Le lecteur découvre donc le personnage. ProblématiqueQuels sont les enjeux de ce portrait de la protagoniste ?Que nous apprend ce portrait sur le personnage en question et sur sa capacité à s’adapter à la société dans laquelle il arrive ?Mouvements du texte Voici les 3 mouvements principaux du texte 1er mvt : beauté physique 2 ème mvt :

Kerkabon et le Huron. - Quoi ? Rencontre entre un individu étrange et deux nobles : un prêtre et sa sœur. B) Un incipit annonciateur de la suite du récit - Mise en place de l’intrigue : arrivée du Huron au moment où les nobles se souviennent du frère. - Date : 1689 = Louis XIV, monarchie absolue, pas de libertés individuelles, ni de liberté d’expression et 1685 = révocation de l’Edit de Nantes. - Contraste entre les personnages. à Codes implicites C) Eléments du conte - Le merveilleux : histoire

; « Malheur à une nation qui, étant depuis longtemps civilisée, est encore conduite par d’anciens usages atroces! » :utilise le présent de verité générale : « les femmes sont curieuses » b. Il essaie de ramener son lecteur à sa cause. Pathétise les deux victimes de l'injustice. Énumérations et gradation « hâve, pâle, défait […] cachot. » Voix passive : « dont il a été rongé » Parallélisme : « qu'on lui arrachât la langue, qu'on lui coupât la main » Anaphore « combien de chansons » « combien de processions »

flatteuses à son égard. Quel message faut-il voir dans ce portrait contrasté ou les stéréotypes s’accumulent ? Adam se livre à une sorte de blason décrivant Maroie jeune et belle, reprenant les codes du Blason, mais en même temps compare cette image de femme idéale à ce qu’elle est devenue en vieillissant, non sans une ironie grinçante. Finalement ce long monologue semble être une remise en question des valeurs courtoises de l’époque. Ce portrait véhicule nombres de clichés de l’époque sur les femmes