Portraits Péjoratif

évolution du portrait : A) Qui est Pamphile ? Paragraphe 1 : Définition générale du personnage -Présentation sociale : (l2) cours du roi, « honnêteté impérieuse » (l4) --> élite sociale Paradoxalement : (l5-6) : ph dévalorise le perso -«-Phile» = aimer = perso sociable -« termes civils et hautains » (l3) --> il est à laise avec les grands de ce monde B) Cmmt nous est-il présenté ? -n'est pas statique, une progression structure le portrait Paragraphe 2 : Portrait interieur :

Marie, sa mère. Ainsi, nous verrons comment et pourquoi pouvons nous dire que Lorenzaccio est un personnage double en analysant dans un premier temps le portrait double et ambigu de Lorenzo, afin d'étudier dans un second temps son influence sur les autres personnages. PLAN DETAILLE: I- Le double portrait ambigu de Lorenzo 1°) Un portrait mélioratif de Lorenzo(celui de sa jeunesse) Regard nostalgique et aimant d'une mère « Facilité,doux amour , saint amour » Il était beau cultivé « en

Balzac fait une longue description de la pension Vauquer avant de faire le portrait des principaux pensionnaires. Balzac établit un lien étroit entre le lieu d'habitation et les personnes qui y résident. Après avoir décrit l'extérieur de la pension, le lecteur découvre l'intérieur étage par étage. PROBLEMATIQUE: Comment Balzac procède-t-il pour décrire Mme Vauquer? I- Un portrait dépréciatif (péjoratif) 1- Le portrait physique du personnage: Il est poussé jusqu'à la caricature: Le lexique

évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à la fois complexe et

a l’allure peu soigné. Portrait physique : qui commence par le haut bonnet de tulle (l.1) ; cheveux (l.2) ; sa face (l.4) ; son nez (l.5). Puis son buste ses mains l.6) ; et revient au haut sa figure (l.11) ; ses yeux (l.12) ; qui souligne sa vieillesse Enfin le bas par son jupon (l.21) qui exprime son mauvais goût Répétition de « petit » Comparaison avec des animaux : l.5 « un nez à bec de perroquet » qui a pour effet de montrer qu’elle est bavard. Portrait moral : métaphore « comme

délabrés de la ruelle et les bords de trottoirs jonchés de falques d’eau lui donnent une allure sale ; il est solitaire. Une autre ruelle succède à celle-ci, elle aussi est déserte. Pour illustrer ce cadrage urbain, le photographe a choisi un format portrait. Ce choix personnel lui a ainsi permis de mettre en valeur les lignes verticales de la composition. L’espace est ainsi dominé par les arêtes de murs et les masses sombres qui dominent presque les deux-tiers de l’image. Ces arêtes verticales des

échecs de sa génération. Il écrit encore La tentation de Saint-Antoine (1874) et les Trois contes. Sa dernière œuvre, Bouvard et Pécuchet, est un recueil d’exemples de la bêtise humaine. II- Plan du texte Problématiques : Quel est l’intérêt du portrait de Charles ? Comment le narrateur joue-t-il avec les attentes du lecteur ? Comment le personnage est-il introduit dans cet incipit ? I- Un incipit déroutant A- Le choix narratif Début in medias

tirades. Elle parle sur 55 alexandrins quand Acaste ne dit que deux demi alexandrins. Elle est donc omniprésente dans ce texte où elle ne fait que critiquer l’ensemble des personnages que les autres personnages lui proposent de décrire. b) Jeu de portraits Les autres personnages n’usent que de très courtes répliques faites seulement pour relancer le discours de Célimène. Leurs répliques ne sont que des très courtes questions comme « Et Géralde, madame ? ». Ils ne sont là que pour mettre en valeur Célimène

Dans ce passage, Balzac fait la description de la pension sale et misérable tenue par Mme Vauquier dont il fait également le portrait aussi bien physique que moral. Dans un premier temps nous allons présenter en quoi le portrait physique et moral de Mme Vauquer est péjoratif. Ensuite, nous expliquerons en quoi Mme Vauquer est à l'image de son établissement. Le portrait dressé par l'auteur est très négatif. Il veut faire passer l'idée qu'elle n'est intéressée que par l'argent et la nourriture

naïvement comme je pense que je suis fait au dehors; et l'on trouvera, je crois, que ce que je pense de moi là dessus n'est pas fort éloigné de ce qui en est.(...) La Rochefoucauld, Portraits, 1659. * médiocre signifie moyen au 17ème siècle, le mot n'est absolument pas péjoratif.   I- Rédigez une synthèse de l'analyse du tableau de Rockwell. Aidez-vous des questions ci-dessous.   - Justifiez le titre "Triple autoportrait". - Est-il