Positivisme Et Determinisme

par l'industrialisation et l'urbanisation massive de la société encore alors largement féodale. Enfin, l'influence des Lumières est alors croissante en occident et va influencer la plupart des intellectuels de l'époque. C'est d'ailleurs le positivisme des sciences rationnelles (qui est alors le courant dominant) qui va inspirer A. Comte dans la création de « sa » discipline qu'il appelle d'abord « Physique sociale », ensuite « sociologie ». Il est généralement admis qu'il existe globalement

autour de trois axes dominants: - le premier groupe met l’accent sur les forces exogènes et sur l’impact de l’environnement. Il s’agit essentiellement du courant de l’écologie des organisations d’inspiration lamarckienne ou darwinienne avec un déterminisme environnemental plus ou moins fort (Hannan et Freeman, 1977) et des approches institutionnalistes (Aldrich, 1993, Scott, 1995) qui, contrairement au courant précédant, mettent l’accent sur les dimensions culturelles, symboliques et imaginaires

(alphabétisation) ⇨ Les élites préservent leurs valeurs ⇨ Apparition de la « masse » I. Du culte de la science à la fin des tranquilles certitudes A. Le moment positiviste et scientiste 1. Définition et diffusion du positivisme et du scientisme ( Auguste Comte, entre 1830 et 1857 : La science est la religion de l’avenir et permet de percer les mystères de la nature, les mécanismes de l’univers et les secrets de la création. ⇨ Foi absolue en la science qui conduit

fin de tout homme, pris en particulier. Déterminisme : principe de base de toutes les sciences de la nature : tout phénomène à une cause, toute cause a un effet. En métaphysique, doctrine qui nie le libre arbitre de l'homme. Tout est soumis à la nécessité (cf. Les stoïciens et Spinoza). En psychanalyse, Freud postule l'existence d'un déterminisme psychique : tous les phénomènes psychiques sont produits par une cause, il n'y a pas de hasard. Déterminisme : Attitude épistémologique consistant à

* Opposition de 2 traditions en sociologie : compréhensive – objectiviste. Max Weber : En Allemagne, opposition sciences de la nature (déterminisme) et science historique (liberté). Méthode propre aux sciences de l’homme : avantage de pouvoir « comprendre de l’intérieur » les phénomènes étudiés. Emile Durkheim : En France, domination du positivisme (Comte) : sciences de la nature, seul modèle valable pour les sciences et influence marquante de la psychologie = lutte pour émanciper la sociologie

mouvement le naturalisme, comme un aboutissement de toutes les recherches menées sur le roman depuis le début du siècle. Il s’agit en fait d’aller plus loin dans la démarche réaliste, au moyen des modèles scientifiques et philosophiques empruntés au positivisme. Zola a donc entrepris d’écriture du cycle des Rougon Macquart (20 romans qui dessinent l’histoire d’une famille sous le Second Empire). Le roman devient alors pour lui un laboratoire d’écriture et a pour objectif d’étudier la société, les différents

doctrine qui atteste des efforts de l'artiste pour s'identifier au travail du biologiste : l'artiste réalise sur la matière sociale ce que le biologiste fait sur la matière animale. C'est que l'art de tout le XIXème siècle a comme épine dorsale le positivisme d'Auguste Comte : un désir d'établir le progrès de l'humanité en remplaçant la religion en édifiant l'Etat moderne. Il s'agit dès lors pour un Sainte-Beuve en 1863 d'affranchir l'humanité de ses illusions. Le terme dès lors sera récupéré par Zola

qu'il y a un réel. Le point de vue réaliste: il y a pas d'un coté des choses inaccessible, pour eux il y a que des phénomène qui existe en dehors de la conscience humaine et ce sont eux qui produisent nos perception, il forme le point de vue du positivisme. L'importance de la validation des théories scientifique , elle repose sur 4 méthodes: *hypothéticodéductive: dans les sciences modernes, science abstraite, purement formel. *méthode inductive:caractérise l'anthropologie, par de l'observation

en s´appuyant sur les découvertes et les méthodes de la médecine. Voici les principales caractéristiques : • La fatalité de l´histoire : le roman s´inscrit dans l´histoire, il peint un âge social. Les repérages historiques sont précis, les déterminismes sociaux règlent les relations humaines. • Les fatalités naturelles : l´hérédité est aussi une fatalité. Le désir, les besoins vitaux jouent un rôle essentiel dans la mécanique humaine. • Une vision sociologique dramatisée : Zola met en

fiction, un historien au présent (comme le croit Balzac) ? Le développement des sciences et le positivisme tentent certains romanciers d’accéder à une vérité romanesque par une démarche scientifique : « […] l’expérimentateur paraît et institue l’expérience, je veux dire, fait mouvoir les personnages dans une histoire particulière, pour y montrer que la succession des faits y sera telle que l’exige le déterminisme des phénomènes mis à l’étude. Le romancier part à la recherche d’une vérité. » (Le roman expérimental