Positivisme Et Littérature

purs et réicproquye. Les mariages sont organisés par les familles et l'épouse qui était livrée a son mari était totalement dépendante de lui. Le «fin'amor» peut aussi être une raltion hors-mariage qui se traduit par un jeu amoureux par étapes. La littérature courtoise: Oeuvres lyriques et romanesques du XII au Xveme siécle reflètent cet idéal. Exemple: Chrétien de Troyes qui racontent des aventures de chevaliers en parallèle avec l'amour d'une dame. Mais aussi Guillaume de Lorris -> oeuvre allégorique

L’histoire comme science sociale (XIXe – XXe) L’histoire comme discipline s’est affirmée au début du XIe s. en se positionnant, en se mesurant face aux sciences exactes et en se détachant de la littérature et de la philosophie. A partir de la deuxième moitié du XIXe s., alors que se développe différentes sciences humaines et sociales, amène l’histoire à se positionner par rapport à ces courants souvent très dynamiques. Ce qui conduit à un renouvellement des approches, des outils utilisés, des

pendant deux mois, puis la troisième République débutera. Ce siècle est aussi marqué par des grandes avancées scientifiques et par le développement industriel : la machine à vapeur, les vaccins, la photographie, les rayons X… cela donne lieu au  « positivisme ». Des régions entières s’industrialisent grâce aux fonderies et à l’électricité. Mais les artisans et les paysans commencent a avoir des difficultés à cause de l’arrivée des grands magasins. Au niveau littéraire, le « Romantisme », le « Réalisme »

chargé de mystère. [pic] 2.  Une conscience esthétique Situé par sa génération en plein cœur du XIXe siècle, au point de contact et de conflit des forces spirituelles qui animaient alors le mouvement des arts et de la littérature, Charles Baudelaire vécut au plus profond de lui-même le drame esthétique, dont il reste pour nous à la fois la conscience, la victime et le héros. Il est assez proche du romantisme pour en être l’héritier, mais il porte en lui assez de lucidité

Littérature du XIXe siècle Introduction, cours 1. La notion de siècle est récente, qu’est-ce qui distingue ce siècle ? Pour les uns c’est un siècle catastrophique, c’est le siècle du désordre, les autres disent que c’est le siècle du progrès, des avancements > positivisme. Pour Balzac > désordre, pour Zola > même si il y a eu décomposition sociale, les choses avancent. Comment définir, repérer le début du siècle, voir où les choses commencent à changer ? Certains disent 1845, traité de Vienne

Il en est de même pour la relation entre le genre et le vote, ainsi que pour la relation en la CSP et la direction du vote. Section 1 : Le positivisme ou la construction rigoureuse de l’objet . Au delà d’une école, au sens école de pensée, le positivisme se veut une pratique de la recherche fondée sur un certains nombre de règles. La positivisme se veux une attitude vis-à-vis des faits, c'est-à-dire que l’observation des faits sociaux se voit de nourrir l’analyse et l’étude de la société

assombries par les problèmes financiers et de santé et par la mort de ses amis 1880 mort ; enterré à Rouen ; Zola, E. de Goncourt le saluent comme le MAITRE Flaubert, contemporain de Baudelaire: comme lui, dans une position charnière dans la littérature du XIX siècle. Il se place entre le roman psychologique de Stendhal et le mouvement naturaliste de Zola et Maupassant, mais fortement influencé par Balzac, dont il reprend les thèmes sous une forme plus personnelle ( exemple : Le Lys dans la vallée

l’approximation des notions d’usage courant (littérature, auteur, intention, influence, style, genre…). Différentes réponses : ce qui caractérise la théorie, c’est son engagement, sa vis polemica. Théorie et pratique de la littérature Toute théorie suppose une praxis à laquelle elle s’applique. Or la théorie de la littérature n’apprend pas à écrire de la littérature : elle apprend à produire de la critique ou de l’histoire littéraire. La théorie de la littérature est une déontologie de la recherche littéraire

semble-t-il, un peu étourdiment ? Avant de répondre à cette question, il faudra mieux cerner les contours de la notion si floue de « fantastique » ; bornons-nous pourtant pour l’instant à confirmer la définition que l’auteur lui-même a donné de la littérature fantastique : [...] quand le doute eut pénétré enfin dans les esprits, l’art est devenu plus subtil. L’écrivain a cherché les nuances, a rôdé autour du surnaturel plutôt que d’y pénétrer. Il a trouvé des effets terribles en demeurant sur la limite

cette chaîne honteuse du monde intellectuel, dont vous vous obstinez à garrotter la pensée du poëte. »1 Cet extrait de l’essai de Nodier Du fantastique en littérature met en évidence une antinomie entre le rationnel et l’irrationnel. En effet, une certaine tradition existe qui considère le fantastique romantique comme une réaction contre le positivisme et le rationalisme hérités du XVIIIe siècle, comme une expression privilégiée de l’irrationnel2. Cet aspect est particulièrement présent chez Nodier. Les