Positivisme Sociologique

"L'analyse raisonnée du cours de philosophie positive" "Application de la philosophie positive au gouvernement des sociétés" (et non seulement le premier mais le deuxième titre est significatif ; nous allons voir pourquoi) "Conservation, révolution, positivisme" qui contient l'essentiel de la philosophie politique d'Emile Littré. Puis, plus tard, alors que s'approche la vieillesse "Paroles de Philosophie positive" "Auguste Comte et la philosophie positive" "Fragments de philosophie positive et de

brillamment le drapeau spiritualiste ; et l'on aurait pu penser que la victoire était définitivement acquise à ces derniers, quand se révéla parmi les disciples de Saint-Simon un philosophe de premier ordre : Auguste Comte. Il fonda un système nommé le positivisme, qui eut pour mérite d'opposer à l'imagination par trop vagabonde de ses prédécesseurs les froides et rigides doctrines de la tradition baconienne. Comte essaya de ranimer le sensualisme en lui appliquant l'idée du progrès, mais il échoua dans sa

et les conditions de vie de l’artiste ? » L’Œuvre est un roman d’Emile Zola appartenant au registre naturaliste, écrit durant la deuxième moitié du 19e siècle. S’opposant au romantisme, ce mouvement littéraire s’appuie sur le déterminisme et le positivisme. Dans ce roman, Zola raconte la vie mouvementée de Claude Lantier, un peintre naturaliste et de ses amis, avec pour thèmes principaux : l’art, la ville de Paris et la vie d’artistes maudits des naturalistes à cette époque. PLAN : I – L’Œuvre

société égalitaire. Par conséquent, les règles de droit existante devraient être conforme aux droits naturels. § 2 : La variété des courants juspositiviste Il en existe plusieurs courants : - Bentham - Ecole de l'Exégèse ou l'école du positivisme légaliste car ils étudient le code civil et ne se fonde que sur la loi. Ce courant a perduré jusqu'à la moitié du 19ème siècle - Le normativisme avec Kelsen qui selon son idée veut fonder une théorie de droit en opposition au jusnaturalisme.

Civilisation et histoire : Les progrès : Le monde change sous l'effet des progrès scientifiques et techniques qui transforment les conditions de vie : chemin de fer,photographie, vaccination,électricité... On croit au progrès et on adhère au positivisme et au scientisme : seul l'esprit rationnel et scientifique peut-être pris comme modèle. Seule la science peut résoudre les maux et répondre aux interrogations. Les inégalités sociales : Les inégalités perdurent entre classes sociales. La

La critique intellectualiste ou universitaire : L’initiateur s’appelle Emile Faguet (1847- 1921) mais le représentant le plus connu est Gustave Lanson. Cette critique universitaire est à cheval entre le positivisme et le romantisme qui a représenté une rupture avec le positivisme en adoptant l’idée du « génie » comme base de la création (elle n’a pas de dimension historique). Ainsi, la critique universitaire trouve un compromis entre les deux approches (entre l’intellect et l’intuition). E

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé dans son Cours de philosophie positive (1830-1842) que l’art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s’attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C’est ainsi qu’il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

l’´pist´mologie d’Einstein e e Certains analystes de la pens´e d’Einstein, notamment l’historien Gerald Holton mais aussi le e physicien Max Born, ont sugg´r´ qu’Einstein aurait radicalement chang´ son approche e e e ´pist´mologique, en partant d’un positivisme machien pur et dur dans sa jeunesse (et notamment e e en 1905) pour finir par un rationalisme platonisant. Je pense plutˆt, en accord avec les fines anao lyses de Michel Paty [1], qu’Einstein a toujours eu une vision multiple et nuanc´e de la th´orie

Faut-il abolir les croyances ? Les croyances sont-elles un mode de pensée inférieur qui est dépassé et rendu inutile par la connaissance scientifique ou bien sont-elles légitimes malgré l’avancée de la science ? I/ Le dépassement des croyances par la connaissance scientifique 1) De l’âge fictif à l’âge positif de l’humanité : la loi intellectuelle des trois états (Auguste Comte, Discours sur l’esprit positif). Le progrès de la connaissance rend les croyances inutiles et nuisibles au

prémisses   qui   constituent   des   obstacles   au   changement,  de  même  que  nos  manières  linéaires  d’aborder  des  problèmes  complexes.     Deuxième  partie     1/Du  positivisme  au  constructivisme.  Dans  ce  cadre,  le  processus  de  changement  part  d'une   réinterprétation  de  la  problématique  et  non  de  son  explication.   Dans   ce   processus