Potestas

notons tout de même que cette idée était présente bien avant Darwin : en effet, dès l’antiquité certains êtres humains étaient considérés comme inutile à la société, et donc tout simplement supprimé. Ainsi, dans la Rome antique, une loi la Patrias Potestas spécifiait que les pères de famille avaient le droit de disposer du sort de leur enfant, comme bon leur semblait. Des formes d’eugénisme intervenaient également dans les civilisations subissant la famine. Cette pratique semble alors intuitive : on

dresser un bilan permettant de répondre à la question I/ Travail de définition sur l’autorité parentale : 1/ L’autorité parentale remplace la puissance paternelle en 1970 La puissance paternelle de l’Antiquité au XIXème siècle : L'antique « patria potestas » du droit romain, comportant droit de vie et de mort sur l'enfant, est, en passant par la délégation au roi par la lettre de cachet pour l'enfant récalcitrant, demeurée dans notre pays puissance paternelle pendant au moins vingt siècles : elle était

Pour ce qui est des conclusions auxquelles je suis parvenu : On remarquera tout d’abord la lenteur du processus d’intégration des normes internationales. Cette durée traduit de la prégnance de notions comme celle de la souveraineté nationale, la potestas, dans les raisonnement des juristes. Il faut ensuite insister sur l’importance de l’arrêt Nicolo relativement • A la hiérarchie des normes, en constituant un revirement de jurisprudence par rapport à la solution de l’arrêt semoules de France (normes

d’aristocratie) qui repose sur 3 éléments fondamentaux : * sénat (regroupe membre de l’aristocratie, bénéficie d’une grande autorité morale). Il possède deux pouvoirs : l’auctoritas (autorité, pouvoir socialement reconnu. Un savoir faire reconnu) et le potestas (pouvoir légal mais pas absolu) * assemblée populaires : Comices (assemblée du peuple romain). La plus importante est le centuriate. L’assemblée a le pouvoir de voter les lois et d’élire les magistrats. * Les magistratures : C’est l’exercice

Français: attention d’éviter tout ce qui peut atteindre l’unité nationale» expliquait François Mitterrand le 17 septembre 1987), ce qui faisait dire au Professeur Claude-Albert Colliard, qu’il exerce un «arbitrage de puissance» alliant imperium et potestas, sauvegardant tout à la fois les intérêts supérieurs de l’Etat et de la nation d’une part, les droits et intérêts des citoyens qui composent la communauté nationale d’autre part. Il perd sa capacité décisionnelle constructive pour se cantonner à

se produit une mutation au tournant du XVIIIe  : l’ancien droit de vie ou de mort devient le pouvoir de faire vivre L’ancien droit de vie ou de mort du souverain, dérivé de la patria potestas (droit du père sur sa famille) = le pouvoir se définit comme droit de tout prendre Le pouvoir va dériver, se donner pour tâche de préserver la vie et va s’affirmer par la

Cette magistrature exceptionnelle fait penser à l'article 16 de notre constitution qui permet à notre président de récupérer les pleins pouvoirs (mais pour une durée illimitée) en cas de crise grave. Tous les magistrats ont ce que l'on appelle, la "potestas" (c'est à dire la puissance), ils peuvent donner des ordres dans l'exercice de leur fonction, ils représentent la République. Certains de ces magistrats ont également "l'aus picium", c'est la possibilité d'interroger les signes du ciel, les dieux

Sénat se maintient. Les magistratures républicaines tel que le Consul vont survivre. Le pouvoir même de celui qui est le chef de la vie public s’analyse encore avec celle des républicains. Par exemple le pouvoir d’Auguste qui est empereur est une potestas c’est a dire un pouvoir définît par le droit et donc limitée par le droit. Pendant près de 200 ans l’empereur ne prétend être que le princips c’est à dire le premier parmi les autres citoyens et rien de plus. B. L’auctoritas La vêture républicaine

A ce moment, Pépin Le Bref pose une question au pape: Est-ce que ce qui fait un roi franc, est le fait détenir le pouvoir ou non? Le pape lui répond alors que "mieux valait appeler roi celui qui avait la potestas (le pouvoir) que celui qui restait sans potestas royale". Il reprend donc la potestas (principe romain) et il dit donc que le roi est celui qui a le pouvoir effectif. Immédiatement après, Pépin Le Bref franchit le pas et dépose le dernier roi mérovingien, l'enferme dans un monastère et se

pape et également des évêques concernant leur décision priser collectivement autre étape lettre de Gélase à l'empereur Anastase. Gélase voulait restaurer l'autorité du Pape sur la partie orientale de l'empire. Le pape : auctoritas et l'empereur : potestas. Et il affirme la prédominance de la première sur la seconde. Au motif que qu'il doivent également repondre des actes du roi au moment des jugement dernier. L'empereur n'a donc de diriger la religion mais de promulguer des lois auxquelles les papes