Potestas

Creta ae f. craindre => timeo es ere timui, metuo is ere metui metutum crainte => timor oris m., metus us m. craintif => timidus a um crapaud => bufo, bufonis (m) craquer => crepo as are crepui crepitum crédit => gratia ae f., potestas atis f. créer => creo as are avi atum crépuscule => crepusculum i n. Crète => Creta ae f. creuser => fodio is ere fodi fossum creux => cavus a um, vanus a um cri => clamor oris m. crier => clamo as are avi atum, exclamo

la fois une norme suprême et intangible et une norme générale. - aspect de sa suprématie ds la hiérarchie des normes (I) : la décision impériale à la mm valeur qu’une loi de l’époque Républicaine, il l’explique grâce à la loi Regia (imperium et potestas) (A) Le transfert de souveraineté imposé par la loi Regia a conduit à mettre la décision impériale au sommet de la hiérarchie des normes (B) - aspect généralisable (II), Ulpien aurait pu seulement dire que quand l’empereur fait des édits, c’est

souverainete attachée a l’état : dvlpée au 16eme par Jean Bodin : 1576. = défendre les pouvoirs de l’état contre le pape et l’empereur . Selon lui et par la suite, en réalité elle comporte une 2ble dimension : -1 = synonyme de puissance suprême « summa potestas » -> elle implique que l’état puisse définir lui meme ses propres compétences. L’etat est le seul a définir aussi celle des cllecitivites ( Jellinek = idée de souveraineté « c’est la compétence des compétences » pour la souveraineté ) - 2 = dimension

prétentions des féodalités d'une part (féodalités qui le morcelait et miné de l'intérieur (seigneur)) et il a fallu aussi se dégager des pouvoirs religieux qui finalement le rongeait de l'extérieur. On est passé de la thèse théocratique «  Omnis potestas a Deo  » (tous les pouvoirs viennent de Dieu) à la thèse potentiellement démocratique selon laquelle la volonté divine est exprimé par le peuple, «  vox populi vox  » (voix de Dieu). Né au 16ième siècle, la notion d'état disparaîtra peut-être un

noms des rois français. Ainsi, ils sont nommés Louis, Charles. Cette propagande n’est pas tout à fait erronée car els capétiens épousent des carolingiens. Un courant de propagande met l’accent sur ls prérogatives royales. Le roi de France a la potestas (le pouvoir, la puissance), l’auctoritas, l’imperium (pouvoir de commander), la maiestas (c’est le plus grand). Ce roi est nécessaire pour gouverner le royaume. Les auteurs utilisent la visions organique du pouvoir, c'est-à-dire qu’ils entretiennent

violence, ni de force, elle s’imposerait d’elle-même. Il dit que cette autorité a été intégrée par l’Eglise. Il y a aussi la cité terrestre, où le pouvoir est tangible, il est la matière, il est la potestas qui s’oppose à l’auctoritas. Et de ce fait, l’auctoritas ecclésiastique emporte la potestas laïque. Il y a deux évêques, Jonas d’Orléans, et Hincmar de Reims. Chez ces théoriciens reprennent la théologie politique. Jonas d’Orléans est un évêque du 9ème siècle qui a connu Charlemagne, il écrit

personne. les Romains distinguaient plusieurs puissance: celle du mari et du père dans la famille: la patria protestas. Le pater familia exerce l'autorité sur sa femme et ses enfants. La puissance du maître sur ses élèves, voir sur ses esclaves(dominica potestas: la puissance du maître). Ces deux puissances sont des puissance limités, la puissance de l'Etat elle est illimité, 'souveraineté': en latin "imperium" droit de commander sans limite. L'Etat peut s'auto-réguler. C'est la spécificité de l'Etat, le

Magistrature supérieure | Magistrature inférieure | Dotés de l’IMPERIUM : * CENSEUR (recense les citoyens) ; * 2 CONSULS ; * 2 PRETEURS. | Dotés de POTESTAS : * EDILES ; * QUESTEURS * TRIBUNS. | Le Sénat, principal organe institutionnel, tien le budget, prépare les textes, rien ne peut se faire sans que le sénat soit intervenu à priori

l'homme (Aristote) ou l'homme est au service de l'Etat (Platon). Les formes du pouvoir diffèrent évidemment suivant l'un ou l'autre des préceptes. La seconde grande question a été celle de l'origine du pouvoir, qui est d'abord venue de Dieu (omnis potestas a Deo), puis du peuple (État-nation). Pour qu'un Etat fonctionne, il doit permettre l'exercice du pouvoir, mais doit également veiller à ce que ce dernier soit légitime. Cette légitimité a d'abord été, dans les sociétés primitives, un rapport de

il fallait procéder en deux temps distincts. D’abord, il fallait Gteindre ancienne puissance patemnelle par affranchissement a trois reprises de l'enfant par son pére biologique. Ensuite, il fallait former la nouvelle puissance patemelle — patria potestas — au profit du pater familias adoptant. Or, cette seconde phase se passait devant le magistrat, souvent le préteur, qui prenait acte de la déclaration des deux pares. La complexité de cette procédure justifie le recours & un magistrat professionnel