Potestas

des Etats de l’UE c’est une monnaie en commun. De plus, il y a une évolution et historiquement il faut rappeler que la thèse de Baudin mettait en évidence des notions pour attester de la souveraineté de l’Etat comme la notion d’imperium et la surra potestas. Et Lafèrière disait quand à lui que l’Etat dispose d’un pouvoir de droit autoritaire.VOC 222 38 min. L’adage qui dit qu’il faut rendre à César ce qui est à César et à dieu ce qui est à dieu ce qui signifie qu’il ne faut pas mélanger le spirituel

à la loi naturelle et divine bien loin de limiter la puissance du prince sert au contraire à justifier qu'elle soit sans limites. Lorsque Hobbes fera inscrire au frontispice de Léviathan la maxime du souverain (tirée du Livre de Job) : « Non est potestas super terram quae comparetur », il se trouvera de plain-pied sur un territoire tracé et délimité par Bodin. À vrai dire, chez ce dernier, l'appel à la loi de nature est purement rhétorique et sert, en fait, à éliminer toute référence à cette [11]

(2 - 4) : on distingue : L’édile curule et L’édile plébéien Fonction : - police des marchés - approvisionnement de la ville - entretien et police de la ville - organisation et surveillance des jeux 1 Les magistratures inférieures revêtent la potestas (ius edicendi : le droit de prendre des décisions et le coercitio : le droit de les faire appliquer) et ils ont le droit de prendre les auspices mineurs. (3) La République romaine 2 - Les magistratures supérieures2 (cum imperio) : Les préteurs

pour un signe d'élection. Le plus fort ne serait tel que parce que Dieu l'a voulu. Ainsi la volonté de Dieu viendrait justifier le pouvoir établi. L'argument, c'est l'idée que toute puissance vient de Dieu. Elle est tirée des Ecritures ("Non est potesta nisi a Deo", St Paul). Elle sert d'argument aux partisans de la monarchie de droit divin comme Bossuet. Toute puissance est légitime parce qu'elle est voulue par Dieu. A ce compte, on peut justifier tout ce qui existe, donc n'importe quoi, y compris

c’est une notion moderne. Elle apparait avec l’affirmation en Europe, contre la double tutelle du Pape et du Saint Empir. La souveraineté, on peut la traduire comme l’absence de subordination à l’égard d’une autre entité internationale : la SUMMA POTESTAS (puissance suprême). Elle n’équivaut pas au rejet de toute règle internationale pour autant. Théorie de Jellinek : (Théorie de l’autolimitation) un Etat souverain peut accepter des règles qui vont limiter sa liberté. Cette limitation que s’impose

eligendi cui patroni daretur optio, quin aut Antonium optaret aut Crassum? aderant multi alii; tamen utrum de his potius dubitasset aliquis, quin alterum nemo. quid? adulescentibus nobis cum esset Cotta et Hortensius, num quis, quoi quidem eligendi potestas esset, quemquam his anteponebat? Sur César Et maintenant, sur César, je voudrais bien entendre le jugement d'Atticus. [72] LXXII. - Elle est extraordinaire, dit Brutus, ton opiniâtreté à ne pas vouloir parler toi-même des vivants. Certes

contrôlée : Contrôlé par le biais du juge constitutionnel qui est à la fois le contrôleur de l’autonomie mais aussi et le garant de l’autonomie. Chapitre Second, L’exercice du pouvoir dans l’état : 1)La notion de souveraineté : A)Une suprema potestas (=suprême puissance) : La souveraineté est un droit constitutionnel de l’état, mais aussi le concept le plus controversé. Car depuis que les collectivités humaines vivent dans le cadre de l’état. L’état est par définition souverain, c’est caractère

empereurs. Insidieusement pour lui, l’autorité des pontifes (autoritas) est supérieure à l’autorité des rois (la potestas). Ces deux puissances sont directement voulues par dieu : le pape comme les rois tiennent leurs pouvoirs de dieu. Le dualisme n’empêche pas la coopération, l’un et l’autre doivent gouverner en collaborant à l’œuvre même de dieu. Les rois qui administrent ont une simple potestas alors que les pontifes qui fixent les principes ont autoritas. Grégoire dit le grand, un autre pape, conteste

et légitime puissance a donc nécessairement des bornes. Aussi l’écriture nous dit-elle : « Que votre soumission soit raisonnable » ; sit rationabile obsequium vestrum. « Toute puissance qui vient de Dieu est une puissance réglée » ; omnis potestas a Deo ordinata est. Car c’est ainsi qu’il faut entendre ces paroles, conformément à la droite raison et au sens littéral, et non conformément à l’interprétation de la bassesse et de la flatterie qui prétendent que toute puissance quelle qu’elle

faire face à une difficulté. A partir du 6ieme siècle cette royauté se stabilise, le roi qui a été désigné reste en place et devient l’organe principal du pouvoir dans la société. La puissance publique est confiée au roi et les romains le nomment « potestas ». Deuxième période, c’est la république romaine qui dure de 509 à 27 puis enfin la période de l’empire. 1) Rome au temps de la république. Le roi aurait été chassé par une révolte du peuple romain, du « patricia » en 509. À coté de