Potins de femmes

séductrices d'âge mûr, appelées cougars, du nom d'un félin prédateur, sont même devenues à la mode. Les stars montrent la voie (Demi Moore, Madonna...) et une série télé traite avec humour du phénomène (" Cougar Town ") décomplexant ainsi les autres femmes. Mêmes causes mêmes effets : cette révolution des moeurs est en train de gagner la France. Comme le montrent Véronique, Nathalie ou encore Géraldine, des " cougars " bien de chez nous qui ont accepté de nous faire entrer dans leur vie. Elles nous

gouvernant. Au Canada et dans bien d’autres pays, nous avons la mauvaise mentalité de nous basé sur l’apparence d’un candidat plutôt que ce qui est réellement important : son programme. Lors de la venue des élections, les rubriques des journaux à potins parlent beaucoup de la vie privée et de l’apparence des candidats. Nous nous intéressons davantage à leur vie privée qu’à leur projet. Au Canada, mais encore plus au Etats-Unis, il est très difficile pour un candidat de se démarquer s’il n’est pas

dans le genre » -points de discussion du jour : théorie queer, culture populaire, - glossaire : le queer, le genre, la performativité -lecture du jour (partie magistrale du cours) Historique des théories, faits de culture, -nouvelles de l’heure et potins Queer Le mot anglais “queer” a connu un succès considérable dans les années 1990, bien au-delà des seuls pays de langue anglaise. À une époque de division entre lesbiennes, gays, bisexuel-le-s et trans, le terme voulait regrouper toutes les personnes

le lendemain : il rencontrera le Patron, M. Walter, ainsi que des journalistes et des femmes. Chemin faisant, les deux compères arrivent aux portes des Folies-Bergères : on va assister - gratuitement - au spectacle. À la sortie, une fille, Rachel, remarque la prestance de Duroy et l'entraîne. Forestier, en connaisseur, constate : " Dis donc, mon vieux, sais-tu que tu as vraiment du succès auprès des femmes ? Il faut soigner ça. Ça peut te mener loin ” (P. 45). Chapitre Il : un dîner important

133) * Le rédacteur politique, qui fait et défait les ministres : M. Forestier * Le rédacteur en chef : M. Walter * Le directeur du journal : M. Walter * Des chroniqueurs : Jacques Rival et Norbert de Varenne * Reporter : Saint Potin Indiquez quel journaliste représente la probité, l’honnêteté intellectuelle : On nomme aujourd’hui la Presse 4ème pouvoir car elle vient après le pouvoir législatif (l’Assemblée Nationale et le Sénat), le pouvoir exécutif (le gouvernement) et le

philosophe et élite intellectuelle, l’Abbé Morellet en fait mention à la ligne 8 à 10 en parlant « des plus marquants des hommes des lettres français ». On peut y trouver Diderot, JJ Rousseau, Helvétius ou encore Raynal pour les plus connus. Aucune femmes n’y est mentionnées pourtant des auteurs comme Antoine Lilti décrit cette compagnie comme mixte : la baronne d’Aine, Mme d’Epinay (sa belle-sœur), Mme d’Houdetot, Mlle d’Ette, Mme St Aubin, Mme de Meaux ou encore Mme Geoffrin y étaient régulièrement

Personnages Georges Duroy: Beau, moustache, sans le sous, grand, blond, sait charmer les femmes, déserteur, employé aux bureaux de chemin de fer du Nord, n’a pas eu son bac, habite un immeuble insalubre et vieux à côté de la gare, Charles Forestier : Gros jeune homme, 27 ans, ex-soldat, souffre d’une bronchite, journaliste rédacteur politique à La Vie Française, à accès aux salles de spectacles sans payer Son père et sa mère sont morts quand il était jeune Jacques Rival : Maigre, 30-40 ans

de leur fille, Nana. Mais le destin la guette : victime d’un accident de travail , Coupeau s’est mis à boire, et le couple est entraîné progressivement vers la déchéance et la mort, sans la moindre compassion du voisinage : […] ils se régalaient de potins […]. La dégringolade de la Banban surtout les faisaient ronronner la journée entière, comme des matous qu’on caresse. Quelle dèche, quel décatissage, mes amis ! » (résumé du Robert des grands écrivains de la langue française) Résumé détaillé :

pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées

journalisme avec les magouilles de Saint-Potin, la politique avec Laroche-Mathieu et ses tractations malhonnêtes, les petits politiciens parvenus, le manque d’éducation du peuple et l’opportunisme. Maupassant aspire à une société juste, égalitaire, cultivée et solidaire, tout le contraire du caractère de Duroy. Cependant, on remarque quand même passablement d’admiration de la part de l’auteur pour son personnage principal. Duroy réussit tout, il a du succès avec les femmes, s’enrichit, devient connu, n’écrit