Potins de femmes

Jeanne, Bel-Ami a pour cadre un monde parisien trépidant dans lequel le héros, arriviste et séducteur, veut se frayer un chemin. Changeant et inconstant dans le domaine de l’amour comme dans celui des idées, Georges Duroy se sert de son corps et des femmes pour s’élever, d’où le surnom de Bel-Ami, que Laurine, fillette de Clotilde de Marelle, l’une de ses maîtresses, lui a donné. À travers le personnage, l’auteur nous fait découvrir le milieu du journalisme et de la Haute Banque, sur fond de scandales

yeux bleus clairs. Son allure charmante fait tourner les têtes de toutes les femmes, qu’elles soient célibataires, mariées, riches ou pauvres. Au début du roman, Duroy est quelqu’un de timide et ayant peu d’assurance, jusqu’au jour où une grande opportunité s’offre à lui : travailler dans le journalisme et devenir riche. Là, il n’hésitera pas à saisir toutes les occasions et les tourner à son avantage. Il voit les femmes comme des outils qui lui permettront d’atteindre son but et n’hésitera pas à

vingt-cinq ans, Georges Duroy, dans le monde professionnel et social, aspirant à la conquête de Paris. Il apparaît dans une situation plutôt critique : sans le sou, affamé, il exerce un travail laborieux et sans grand avenir, néanmoins il plaît déjà aux femmes. Un soir d’été, il fait la rencontre sur le boulevard d’un ancien camarade hussard, Charles Forestier, qui a mieux réussi que lui puisqu’il a un bon poste dans le milieu du journalisme. Forestier, bon camarade, va lui en ouvrir les portes et permettre

« Un roman c’est un miroir que l’on promène le long du chemin » cette citation de Stendhal lui permet de nous définir ici sa vision du réalisme. C’est en effet un courant littéraire du XIXe siècle qui vise à dépeindre la réalité le plus fidèlement possible. Maupassant vient lui-même y rajouter sa propre définition dans la préface de Pierre et Jean par la citation suivante « Le réaliste, s’il est un artiste, cherchera, non pas à nous donner la photographie banale de la vie, mais à nous en donner

sociale parisienne grâce à ses maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse et la politique. Sur fond de politique coloniale, Maupassant décrit les liens étroits entre le capitalisme, la politique, la presse mais aussi l’influence des femmes, privées de vie politique depuis le code Napoléon et qui œuvrent dans l’ombre pour éduquer et conseiller. Satire d'une société d'argent minée par les scandales politiques de la fin du xixe siècle, l’œuvre se présente comme une petite monographie de

bien fait, blond, avec une moustache et des yeux bleu clair. Il nous est au début présenté comme un jeune homme sans le sou de 25 ans, timide et peu sur de lui. Cependant joli garçon, il plait à toutes les femmes: jeunes, vieilles, riches, pauvres, célibataires ou mariées et grâce aux femmes qu’il a séduit il va réussir à gravir les échelons d’un grand journal parisien «  La Vie Française ». Au fil de son évolution, il prend de l'assurance, il devient plus fort et plus sûr de lui, plus habile dans

HLF Chanson de geste  poème narratif chanté, exploits guerriers Thèmes : héroïsme, patriotisme et mysticisme Inconnu : La chanson de Roland Littérature courtoise  élégance et affinité envers femmes (+ important que Dieu) Inconnu : Tristan et Iseult Inconnu : Légende du roi Arthur Littérature populaire & bourgeoise Narrative : Inconnu : Les fabliaux (on veut faire rire) Inconnu : Le roman de Renart Dramatique Inconnu : La Passion (du Christ) Inconnu : Farce de maître Pathelin Poésie

difficultés et M.Forestier refusa que sa femme l'aide une seconde fois. Il tentera deux fois de réécrire sa suite sur l'article de l'Algérie mais il obtiendra deux échecs puis ne poursuivra pas la suite de cet article. M.Forestier demande à Saint-Potin de l'initié au enquête mais celui-ci lui montrera plutôt la ruse des articles. Dans le temps il séduira Clotilde de Marelle, une femme marié avec deux enfants. Par ailleurs, une de ses filles nommé Laurine le baptise Bel-Ami. Ils se voient deux à trois

rédige son premier article sur l’Algérie où il s’est rendu pendant sa formation militaire avec l’aide de Madeleine Forestier. Duroy fait ses débuts à La Vie française initié au métier par son collègue Saint-Potin. A partir de là il se révèle, habile stratège et grand séducteur, et s’entoure de femmes influentes telles que Clothilde de Marelle avec qui il entretient une liaison pendant toute la durée de l’histoire, Madeleine Forestier qui devient sa femme après la mort de son mari, Virginie Walter ainsi

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