Potins de femmes

Xanthe BrennanB2122276010/11/21Commentaire du document Tirées d'un ensemble de correspondances privées écrites entre 1515 et 1517, ces lettres étaient adressées au duc de Mantoue, François II. Leur auteur, Stazio Gadio (1480-1534 ?), était secrétaire de Frédéric Gonzague, fils de François II de Mantoue et d'Isabelle d'Este, et l'a servi pendant sa période d'otage du pape Jules II, de 1510 à 1513, puis à la cour des Valois de François 1er, période qui s'étend de 1515 à 1517. On pense

bien que peu raffinée ; le reste du temps, il est englobé dans le couple «  les Verdurin », où il s’efface inévitablement derrière sa femme. Le docteur Cottard est, selon l’hôtesse, un savant doué et intelligent, il a « plus de diagnostic que Potin ». Il lui arrive même de mettre son talent au service de la petite société, comme, par exemple, « il dut un jour remettre sa mâchoire qu’elle [Mme Verdurin] avait décroché ». Du pianiste, on ignore jusqu’au nom, mais on sait qu’ils joue bien : « ça

peut supporter cette nouvelle trahison. Il vit avec : * son père Bart Bass : C’est un homme d’affaires ayant apparemment réussi dans le milieu de l’immobilier. Tout comme son fils, c’est un coureur de jupons, et il est souvent accompagné de femmes différentes, mais toujours à la plastique avantageuse. Il se mariera avec la mère de Serena, Lily Van der Woodsen avant de mourir. * sa belle-mère Lily van der Woodsen : Il ne cesse de la complimenter, voulant donner de lui l’image du beau-fils

L31 : L’exposition des faits ; on apprend la cause de leur colère L30 à 52 : La mise en place d’une vengeance ; mise en place d’un stratagème Que nous apprend cette scène des événements passés ? On apprend que deux seigneurs ont rencontré deux femmes sottes : « donzelles ridicules , pecques ». Caractérisation péjorative. Elles ont mal reçu les deux gentilshommes « se frottaient les yeux, baillaient, parlaient à l’oreille » Elles ont manifesté des signes d’impolitesse , qui laissent entrevoir

L31 : L’exposition des faits ; on apprend la cause de leur colère L30 à 52 : La mise en place d’une vengeance ; mise en place d’un stratagème Que nous apprend cette scène des événements passés ? On apprend que deux seigneurs ont rencontré deux femmes sottes : « donzelles ridicules , pecques ». Caractérisation péjorative. Elles ont mal reçu les deux gentilshommes « se frottaient les yeux, baillaient, parlaient à l’oreille » Elles ont manifesté des signes d’impolitesse , qui laissent entrevoir

tranquillité et son rythme que le soir. Le résumé du chapitre IV : Les premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aïcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et même plus

croire au chef-d’œuvre, à la passion d’une vie, à la beauté d’une confession… Là encore, la religion des pauvres d’esprit. Le roman comme opium du peuple, comme pensée dévaluée d’un spectacle aliénant, comme déballage des affaires personnelles, des potins et des phobies. Ce qui marque l’équivoque d’un discours : entre fiction et réalité, plus vrai que nature. Et qu’importe si c’est vrai puisque ce qui s’y raconte pourrait tout-à-fait l’être. La vérité est une utopie et l’équivoque est son île. 9

terrasses : Des murets saillants soulignent les pièces du second niveau et ils servent de parapet au dessus du patio. C’est un lieu de prédilection des femmes qui trouvent de multiples prétextes pour passer quelques heures de la journée, étendre le linge, rouler le couscous, faire sécher la viande, surtout s’informer des derniers potins de la ville dans le long bavardage avec les voisines. En résumé, elles Constituent l’espace féminin par excellence, elles permettent une communication discrète

Zineb.Sa mère se met en colère. Triste et pris de faim,, le petit enfant plonge dans ses rêveries. Le narrateur nous rapporte ensuite l'histoire de Lalla khadija et son mari l'oncle Othman racontée aux voisines par Rahma.la veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des tambours et Sidi Mohamed une trompette. Il participe au Msid aux préparatifs de la fête. Le lendemain , il accompagne son père chez le coiffeur où il écoute sans interêt les conversations des adultes.Le jour de l'achoura, le petit enfant

qui revient de Paris. Voix off de Marjane adulte : « À cette époque, je menais une vie tranquille et sans histoires… ». Elle veut devenir prophète… 5 ) Carton : Téhéran 1978. Lors d’une soirée, Marji surprend les conversations des adultes : les femmes s’entretiennent de sujets frivoles, son père et une autre femme s’inquiètent d’un ami commun qui est en prison. Marji et son cousin courent entre les jambes des adultes. 6 ) Décor d’immeubles modernes. Voix off de Marji enfant qui explique à sa