Potlatch

L’anthropologie appuie sur la dimension stratégique, s’intéresse aux rapports économiques, par exemple : les dons  acte généreux qui oblige à contre donner. Peut-être, un don certes généreux mais aussi à double tranchant (exemple : des dons de type potlatchs est un don au cours duquel le donateur montre que sa générosité est à l’image de sa personne. – dans certaines sociétés le don est une manière de montrer sa supériorité, peut permettre de gouverner). L’anthropologie religieuse, les anthropologues

on s'aperçoit en effet que laKula peut être mise utilement en parallèle avec nombre de systèmes analogues. Dès 1900, le père Lambert découvrait, en Nouvelle-Calédonie, des potlatch semblables à ceux des Indiens Kwakiutl (5) - et, selon la définition, un peu trop concise, de Marcel Mauss, « la Kula n'est au fond qu'un potlatch intertribal ». En 1910, C. G. Seligman avait parlé du hiri des Motu, très proche lui aussi des prestations cérémonielles trobriandaises (6). Le Dr W. E. H. Stanner étudia de

l'isolement de certains groupes. Dans le Politique, Platon dit que le Roi est un tisserand sociale. C'est ce qui se passe de nos jours. Dans la société est soudé. Rendre visite est un des grands facteurs de solidarité. On a la fête du don. C'est la potlatch. Les gens puissant se convient entre eux et ils donnent leur richesse et les autres familles vont redonné une fête. On cherche à chaque fois à redonner. 27 – La justice ♦ La racine c'est Jus : traduit par droit. « Jus Pater » qui est Jupiter

et dont la fonction principale est d’afficher un statut social. Ce gaspillage prend deux formes: – d'une part, d'une consommation ostentatoire : réceptions, cérémonies. Il faut afficher ostensiblement qu’on a les moyens: il s'agit d'une sorte de « potlatch » mais à un niveau individuel (ou familial). Ici, on « gaspille » son argent. – D'autre part, de ce que Veblen appelle des « faux-semblants », et qu'on peut appeler les loisirs: le sport (golf, yachting, tennis), les « arts d’agréments » (musique

XIXe siècle[56] , et il est perçu différemment selon le pays où il a été implanté. L'on peut opposer au capitalisme : • l'économie primitive, où les échanges sont marginaux et chaque groupe exploite la nature pour son propre compte ; • l'économie de potlatch, où les échanges, même importants, ne visent pas à une accumulation de capital (ni parfois même à la consommation : il arrive que les biens soient détruits purement et simplement à l'issue de l'échange), mais à une démonstration symbolique de puissance

rencontrer quelqu’un et qu’on est seul on ne peut pas : il faut qu’on soit plusieurs pour se rencontrer, plusieurs au moins virtuellement. On voit que cette question n’est pas aussi facile que ça puisque l’origine du marché en étude d’ethnologie c’est le Potlatch : deux tribus qui ne se rencontre jamais mais qui veulent échanger entre elles. Comment vont-elles faire ? Théorie/ pas certitude selon laquelle une tribu met une chèvre avec son ticket jusqu’à la limite du territoire et l’autre vient et remplace

la nature du lien social. Il va remonter aux formes les plus archaïques du contrat et de l’échange que sont le don et le contre don dans les communautés les plus « primitives ». Il va étudier le fameux « potlatch » c’est une règle d’échange qui régissait les indiens du N.Amérique. Dans le potlatch, les indiens passent leur temps à s’échanger toute sorte de chose. Mais ce n’est pas un échange rationnel, on échange avec des aspects destructeurs, on soumet l’autre dans une obligation de rendre. Au

(1974) em seu ensaio sobre a dádiva. As trocas e contratos nas sociedades tribais faziam-se freqüentemente sob a forma de presentes, teoricamente voluntários, mas na realidade obrigatórios, sob pena de guerra privada ou pública. Mauss descreve o potlatch como forma de prestação total baseada no princípio da rivalidade e do antagonismo, em que o mecanismo mais importante era aquele que obrigava a retribuir o presente recebido. Recusar-se a dar, como a receber, significava recusar a comunhão e a aliança

de la théorie du potlatch, système des dons échangés. Dans la transaction entre tribus, ce ne sont pas des biens qui s'échangent, ce sont des politesses, des festins, par le biais d'un contrat implicite. Ce système appelé « système des prestations totales » est un effort coûteux pour les individus qui vise à créer un lien social qui se traduit dans la réciprocité de la relation. La triple obligation dégagée par Mauss, donner, recevoir et rendre constitue l'ensemble appelé potlatch. Aucune société

triple dimension (Figure n°1, ci-après): donner, recevoir puis rendre, où l’action de recevoir implique que l’on accepte d’entrer en relation avec l’autre en ne lui rendant pas immédiatement, mais de façon différée. Figure 1 : Le cycle triadique du potlatch : donner, recevoir, rendre Le donataire (débiteur) … Endettement … DON Recevoir (2) Rendre (3) CONTRE-DON Donner (1) ……. Etc. Temps … Le donateur (créancier) Solde créditeur … Mauss (1923-1924) conceptualise