Pour Ou Contre Suppression Du Smic

croissance pour la période suivante. La deuxième façon de penser consiste à dire que les chiffres de la croissance sont endogènes. Pour les économistes de l'offre, en ce qui concerne la question de la productivité, une hausse de cette dernière ne joue pas contre l'activité et l'emploi. Au contraire, la croissance sur la période suivante en est d'autant boostée, et donc l'emploi également. La logique comptable considère les hausses de productivité trop importantes nuisible pour l'emploi car elle permettent

la région, le département et la commune. Elles disposent d’une administration, de financements et d’un budget autonomes. Les organismes paritaires : (organismes sociaux : Sécurité sociale et l’UNEDIC) dont le but est de protéger les personnes contre les risques sociaux. Il s’agit des événements de l’existence entraînant des coûts supplémentaires ou une perte de revenu : maladie, vieillesse, perte d’emploi, enfants… Les organismes sociaux sont appelés paritaires car ils sot formés d’un nombre

ouvriers sont plus touchés par le chômage mais même les cadres ne sont plus à l’abri. Les sans diplômes sont plus au chômage. Les immigrés sont plus au chômage que les autres. Le chômage alimente la pauvreté, 85% des chômeurs touchent moins que le SMIC et 36% ne touchent aucune allocation. Les femmes occupent en majorité des postes d’employés(secrétaire). Seules 33% d’entre elles sont cadres (moins d’autorité?), elles sont très peu à être ouvriers car ce sont souvent des métiers très physiques. Les

Familiales). Dans le contrat, le contenu et les clauses particulières qui sont déterminés par l’employeur et le salarié, sachant toute fois que les clauses contraires à l’ordre public sont interdites : clause de célibat, rémunération inférieure au Smic, clause discriminatoire… ; que les contrats dont la rédaction est obligatoire doivent comporter, au minimum, les mentions prévues par le code du travail. Sont visés les contrats à durée déterminée ou de travail temporaire, mais aussi, s’agissant des

semble qu’il vaut mieux travailler ou chercher du travail aux Pays-Bas. Le salaire minimum mensuel néerlandais est de 8 % plus élevé que le SMIC, mais son montant horaire est inférieur de 5 %. En revanche, la différence des taux de chômage est indiscutable. Selon les données 2 harmonisées d’Eurostat, le pourcentage de chômeurs est de 4,4 % aux Pays-Bas contre 10,0 % en France en juillet 2010. Certes, on peut souligner l’existence d’un salaire minimum jeunes beaucoup plus bas, (dont le montant

collection « Montchrestien »,1999. • www.insee.fr • Introduction La situation de l’emploi en France est paradoxale : le taux d’activité y est faible par rapport à nos principaux pays partenaires (55% de la population totale en France, contre près de 60% en moyenne dans les pays de l’Union Européenne) d’une part, et le taux de chômage y est élevé, d’autre part. Nombreux économistes et politiques pensent alors que le niveau de protection sociale serait excessif en France, et conduirait

devoirs ». 1947 : Grève nationale étudiante contre le projet de réduction du montant des bourses d’études et contre l’augmentation des droits d’inscription à l’université. 1948 : Vote de la loi sur la sécurité sociale étudiante. Création de la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF). 1953 : Mise en route du plan Le Gorgeu de constructions universitaires. Mobilisation pour réclamer des aides étudiantes plus importantes. 1954 : Mobilisation contre l’insuffisance des crédits budgétaires à

nationale et étrangère) sont aussi : Les reformes politiques comme l’abolition de la peine du mort Les radios libres Politique de relance économique par la redistribution des revenues . « Augmentation du SMIC de 10 %, des allocations familiales et logement de 25 %, handicapés de 20 %. Suppression de la Cour de sûreté de l'État. Loi d'amnistie, qui inclut les « délits homosexuels » Régularisation des étrangers en situation irrégulière qui exercent un travail et peuvent le prouver Création de l'impôt

règlementaires, européennes, conventionnelles au droit administratif parce que le contrôle du droit de travail relève pour l’essentiel de l’inspection du travail. 2- la protection sociale Elle a pour objectif de garantir l’individu ou le ménage contre tous les risques sociaux, d’origine professionnelle ou non, susceptible d’altérer son revenu en portant atteinte à la capacité de travail (la maladie, l’accident professionnel ou non, l’invalidité, la vieillesse, le décès...) ou d’entrainer des dépenses

« gauche » en ce qu’elles luttent contre les privilèges de ceux qui sont les mieux protégés. Il écrit ainsi : «  les réformes pro-marché n’impliquent pas d’échanger plus d’efficacité contre moins de justice sociale. Bien au contraire, et c’est en ce sens qu’elles sont de gauche, elles réduisent les privilèges » Rappelons aussi les idées du modèle néoclassique c’est-à-dire que le chômage involontaire est dû aux entraves au libre jeu du marché, qui rassemblent le SMIC, les syndicats, les prélèvements