Pourquoi Désirons Nous

meme si ce n'est pas "moral". Voila finalement, je n'ai pas repondu au sujet mais seulement posé des questions (je n'ai pas ici debalé ce que j'avais appris car.. je n'ai rien appris sur le desirs, mais j'ai reflechi au long de ma reponse, c'est pourquoi cela vous paraitra peut etre un raisonement illogique, mal organisé ect...) - Est-il possible de ne rien desirer? - Que recherche t-on dans le desir? - Desirer vous quelque chose que vous possedez deja? - Doit-on selectionner nos desir? - Difference

seulement une vie à vivre, on ne sait ce qui va suivre demain. D’après moi, le bonheur est un ensemble de petits instants que l’on vit chaque jour. Donc, si désirer quelque chose nous satisfait, nous émerveille et nous apaise pourquoi s’en priver? Par exemple, si nous désirons de se dépasser, de s’améliorer, c’est ce désir qui nous donne cette volonté d’agir et de réussir qui résulterait une meilleure estime de soi-même. Tandis que si nous n’agissons pas et rester tel qu’hier, c’est a ce moment que

Le mensonge est bien souvent considéré comme la faute morale par excellence, et la Religion fait état d’une « Sainte horreur du mensonge »… Pourquoi ? Pourquoi faudrait-il toujours dire la vérité, toute la vérité ? Ne dit-on pas, au contraire, que « toute vérité n’est pas bonne à dire » ? La vérité est, par excellence, ce que nous désirons savoir. Elle possède un sens formel (la cohérence du discours) et un sens matériel (la conformité avec le réel). Mais les deux sont liés, spécialement quand

sur la distinction entre amour-passion et amour-goût. Crébillon emprunte la théorie de Spinoza selon laquelle le désir est un trop plein qui se déverse : « Nous ne désirons aucune chose parce que nous la trouvons bonne mais, au contraire, nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous la désirons ». Le désir est premier, nous désirons avant d'avoir perçu un objet désirable. Le partisan de l'amour-goût comme Versac, représentant libertin par excellence dans le roman de Crébillon, est convaincu que

dans la main de Dieu. Cette conscience nous permet de nous réjouir de cet Être infini, éternel et parfait dont nous émanons et dont nous tirons toute notre puissance. Dieu est l’idée par excellence d’une chose qui accroît notre puissance, et c’est pourquoi il est l’objet suprême de notre amour (rappelons la définition de l’amour : une joie, c’est-à-dire une augmentation de puissance, qu’accompagne l’idée d’une cause extérieure). De plus, par la logique des passions, tout notre bonheur dépend de ce

vérité ? Le mensonge est bien souvent considéré comme la faute morale par excellence, et la Religion fait état d’une « Sainte horreur du mensonge »… Pourquoi ? Pourquoi faudrait-il toujours dire la vérité, toute la vérité ? Ne dit-on pas, au contraire, que « toute vérité n’est pas bonne à dire » ? La vérité est, par excellence, ce que nous désirons savoir. Elle possède un sens formel (la cohérence du discours) et un sens matériel (la conformité avec le réel). Mais les deux sont liés, spécialement

laquelle nous désirons que de déterminer l’objet de notre désir et la raison pour laquelle ce dernier semble incessant et insatiable. Ainsi Hobbes déplace-t-il le problème classique du désir : il lui importe moins de comprendre pourquoi l’homme désire que de comprendre pourquoi le désir est insatiable ; telle est la singularité de sa démarche. Ce problème de l’insatiabilité du désir doit être affronté comme tel : pourquoi ne sommes-nous jamais satisfaits de ce que nous possédons ? Pourquoi le désir

heureuse qu’on s’assemble en une cité." Aristote. En effet, on peut remarquer une certaine entente entre les hommes, chacun pouvant concevoir qu'un des buts, si ce n'est l'ultime but de notre vie, est d'être heureux. Comme l'écrit Aristote, nous ne désirons pas seulement vivre, c'est-à-dire satisfaire nos besoins élémentaires mais nous souhaitons vivre bien, être heureux. On assiste cependant à un paradoxe entre moyen et fin, chacun consent au bonheur comme fin mais pas aux voix menant à ce bonheur

le pousser, en grand libertin qu'il est, à multiplier ses mensonges et ses excès d'égo qui vont lui porter préjudice. Peut-on donc admettre que le fait désir est mauvais, mal pour l'esprit et pour notre entourage? Et donc si le désir est mauvais, pourquoi continuer à désirer, et à se faire souffrir ? Mais le désir a une particularité chez l'homme, c'est sa conscience qui va admettre qu'il a besoin de ceci ou cela. C'est elle qui va faire que l'homme va désirer et est prêt a tout pour obtenir ce qu'il

Cours de philosophie/ M. Mohandi Entraînement à la dissertation Analyse et problématisation de sujets de dissertation 1) Pourquoi l'homme peut-il parfois désirer l'inconscience ? Une reformulation du sujet donnerait la question suivante : pour quelles raisons pourrait-on désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous